Cent-quatre centres hospitaliers répartis sur 33 wilayas se sont engagés à appliquer les 10 recommandations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour la lutte contre la mortalité maternelle et infantile selon Zakia Foudil Cherif. Cette affirmation a eu lieu hier au cours d'une fongiforme de presse d'El Moudjahid. Il convient de mentionner, à cet effet, que l'Algérie aurait signé la convention de l'OMS en question. Ce qui reste à faire, c'est de les faire appliquer dans les différents centres hospitaliers à travers le pays. Les 10 recommandations s'adressent aux éléments du corps médical et les encouragent à changer les mauvaises habitudes de la maternité. Le pilier de ces recommandations est la formation du personnel médical et paramédical et l'information des femmes. L'allaitement naturel et la proximité de l'enfant avec sa mère pendant les premières heures après l'accouchement en sont, aussi, deux recommandations très importantes. La diffusion des dix recommandations s'inscrit dans le cadre du programme national de périnatalité et de néonatalogie appliqué entre 2006 et 2009. Un programme pour lequel un budget de 2,7 milliards de dinars a été dégagé par le ministère de la Santé. Il convient de rappeler que la mortalité infantile est estimée à quelques 15.000 en 2007 en Algérie soit un taux de 26 %. Les pouvoirs publics visent à diminuer ce taux à 19 % à l'horizon 2015. S'agissant de la mortalité infantile, le professeur Djamil Lebane, coordinateur du Programme national de périnatalité et de néonatalogie, a avancé que 80 % des cas touchent les nouveaux nés. Parmi ces derniers nés 80% meurent au cours de la première semaine. «Ceci nous démontre la necessité d'agir pour la maternité» a déduit M. Lebane. L. B. Cent-quatre centres hospitaliers répartis sur 33 wilayas se sont engagés à appliquer les 10 recommandations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour la lutte contre la mortalité maternelle et infantile selon Zakia Foudil Cherif. Cette affirmation a eu lieu hier au cours d'une fongiforme de presse d'El Moudjahid. Il convient de mentionner, à cet effet, que l'Algérie aurait signé la convention de l'OMS en question. Ce qui reste à faire, c'est de les faire appliquer dans les différents centres hospitaliers à travers le pays. Les 10 recommandations s'adressent aux éléments du corps médical et les encouragent à changer les mauvaises habitudes de la maternité. Le pilier de ces recommandations est la formation du personnel médical et paramédical et l'information des femmes. L'allaitement naturel et la proximité de l'enfant avec sa mère pendant les premières heures après l'accouchement en sont, aussi, deux recommandations très importantes. La diffusion des dix recommandations s'inscrit dans le cadre du programme national de périnatalité et de néonatalogie appliqué entre 2006 et 2009. Un programme pour lequel un budget de 2,7 milliards de dinars a été dégagé par le ministère de la Santé. Il convient de rappeler que la mortalité infantile est estimée à quelques 15.000 en 2007 en Algérie soit un taux de 26 %. Les pouvoirs publics visent à diminuer ce taux à 19 % à l'horizon 2015. S'agissant de la mortalité infantile, le professeur Djamil Lebane, coordinateur du Programme national de périnatalité et de néonatalogie, a avancé que 80 % des cas touchent les nouveaux nés. Parmi ces derniers nés 80% meurent au cours de la première semaine. «Ceci nous démontre la necessité d'agir pour la maternité» a déduit M. Lebane. L. B.