L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a confirmé hier la tenue d'une réunion extraordinaire de ses ministres, le 29 novembre au Caire, selon un porte-parole au siège du cartel à Vienne. "Nous confirmons la réunion du Caire", a-t-il indiqué ajoutant qu'il s'agira d'une réunion "d'un jour au maximum". Le cartel va examiner la réponse à apporter à la poursuite de l'effondrement des cours du brut, malgré la décision prise lors de la réunion du 24 octobre à Vienne de réduire la production de 1,5 millions de barils par jour. Cette réunion se tiendra en marge de celle de l'Organisation des pays arabes exportateurs de pétrole (Opaep). L'Iran a déjà indiqué, hier, qu'il soutiendrait une décision de baisser la production de l'Opep à la réunion prévue au Caire, selon l'agence de presse iranienne, Mehr. La réunion ordinaire de décembre des ministres de l'Opep est toujours prévue le 17 décembre à Oran en Algérie. Le marché du pétrole restait focalisé ces dernières semaines sur la détérioration de l'économie mondiale, qui se traduit par un ralentissement de la demande, voir une chute dans les pays riches. Hier, lors des premiers échanges électroniques en Asie, les cours du brut étaient orientés à la hausse, le marché anticipant, selon les courtiers, une tendance à long terme à la baisse. Dans les échanges matinaux, le prix du baril de "light sweet crude" pour livraison en décembre gagnait 32 cents à 58,56 dollars le baril. Le baril de pétrole Brent, pour livraison en décembre, prenait 27 cents à 56,51 dollars. Jeudi, les prix du pétrole ont rebondi, après être tombés à des niveaux jamais vus depuis près de deux ans, soutenus par l'annonce d'une réunion d'urgence de l'Opep. A New York, le baril avait gagné 2,08 dollars à 58,24 dollars en clôture après avoir plongé lors de la séance à 54,67 dollars. A Londres, le baril n'avait plus été si bon marché depuis mai 2005, touchant 50,60 dollars jeudi. Il a ainsi perdu presque les deux tiers de sa valeur depuis ses sommets du 11 juillet à plus de 147 dollars. L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a confirmé hier la tenue d'une réunion extraordinaire de ses ministres, le 29 novembre au Caire, selon un porte-parole au siège du cartel à Vienne. "Nous confirmons la réunion du Caire", a-t-il indiqué ajoutant qu'il s'agira d'une réunion "d'un jour au maximum". Le cartel va examiner la réponse à apporter à la poursuite de l'effondrement des cours du brut, malgré la décision prise lors de la réunion du 24 octobre à Vienne de réduire la production de 1,5 millions de barils par jour. Cette réunion se tiendra en marge de celle de l'Organisation des pays arabes exportateurs de pétrole (Opaep). L'Iran a déjà indiqué, hier, qu'il soutiendrait une décision de baisser la production de l'Opep à la réunion prévue au Caire, selon l'agence de presse iranienne, Mehr. La réunion ordinaire de décembre des ministres de l'Opep est toujours prévue le 17 décembre à Oran en Algérie. Le marché du pétrole restait focalisé ces dernières semaines sur la détérioration de l'économie mondiale, qui se traduit par un ralentissement de la demande, voir une chute dans les pays riches. Hier, lors des premiers échanges électroniques en Asie, les cours du brut étaient orientés à la hausse, le marché anticipant, selon les courtiers, une tendance à long terme à la baisse. Dans les échanges matinaux, le prix du baril de "light sweet crude" pour livraison en décembre gagnait 32 cents à 58,56 dollars le baril. Le baril de pétrole Brent, pour livraison en décembre, prenait 27 cents à 56,51 dollars. Jeudi, les prix du pétrole ont rebondi, après être tombés à des niveaux jamais vus depuis près de deux ans, soutenus par l'annonce d'une réunion d'urgence de l'Opep. A New York, le baril avait gagné 2,08 dollars à 58,24 dollars en clôture après avoir plongé lors de la séance à 54,67 dollars. A Londres, le baril n'avait plus été si bon marché depuis mai 2005, touchant 50,60 dollars jeudi. Il a ainsi perdu presque les deux tiers de sa valeur depuis ses sommets du 11 juillet à plus de 147 dollars.