L'association Limma organise du 2 au 4 décembre la deuxième édition du festival Assimajazz, frère jumeau du festival Dimmajazz de Constantine. De son côté, le CCF programme un concert de Franck Amsallem Trio demain à 19 heures à la salle Ibn-Zeydoun. Jazz, jazz, jazz pour toutes les pointures. L'association Limma organise du 2 au 4 décembre la deuxième édition du festival Assimajazz, frère jumeau du festival Dimmajazz de Constantine. De son côté, le CCF programme un concert de Franck Amsallem Trio demain à 19 heures à la salle Ibn-Zeydoun. Jazz, jazz, jazz pour toutes les pointures. Dès demain, les amoureux du Jazz pourront s'adonner en direct et sans retenue à la contemplation et à l'audition de leur genre musical préféré. Invité par le CCF, c'est le trio de Franck Amsallem qui ouvre la danse dès demain soir. Puis, à partir du mardi 2 décembre, les amateurs de cette musique afro-américaine qui a conquis la planète pourront apprécier une palette de talents variés à raison de deux groupes par jour. Le célèbre pianiste et compositeur Franck Amsallem se produira avec son trio composé de trois musiciens de renommée internationale : Karl Januska à la batterie, Sylvain Romano à la contrebasse et Rick Margitza au saxophone. Le saxophoniste né à Détroit a appris à jouer avec des sommités comme Donald Sinta à l'Université du Michigan. Il a ensuite étudié le jazz avec Sonny Stitt, Michael Brecker, Gerry Niewodd et David Liebman. Il a fréquenté la Berklee School de Boston avant de partir à la Nouvelle Orléans. Ayant joué avec le grand Miles Davis en 1989 il déclare avoir à son contact appris à comprendre la magie du silence. Après cette formidable entrée en matière, le public algérois pourra découvrir un jazz aux fragrances épicées avec le groupe Daxar qui inaugure la deuxième édition de Assimajazz. Le groupe, fondé par le joueur de luth et guitariste Moulay Aït Si Ahmed se compose de quatre autres musiciens : Hervé Le Bouche à la batterie, Aurélien Guyot au violon, Amar Chaoui aux percussions et Marc Israël à la basse. Ce groupe dont les membres sont venus de différents horizons (jazz, pop, variétés, raï, musiques traditionnelles) s'inscrit résolument dans la World Oriental. Après ce jazz parfumé, un retour à l'Afrique pure et dure est offert au public avec le groupe du Burkinabé Eugène Kounker. Le compositeur dont le dernier album date de 2007 est célèbre pour ses créations qui font fusionner la musique traditionnelle africaine avec Blues, jazz et musique afro-caribéenne. Ayant fait ses classes auprès du pianiste congolais, Ray Lema, véritable mammouth du genre, Eugène Kounker a reçu de nombreux prix dont le Kundé, trophée de la musique burkinabé en avril 2008. Le mercredi 3 décembre, le trio Yapa se produira à partir de 19h30. Existant depuis plus de 10 ans, ce groupe est composé de Simon Chenet (guitare folk, guitare cithare), Fabrice Bourguignat (guitare folk, mandoline, Lap Steel), Christophe Combet (guitare cordes nylon) et de Xavier Hamon (batterie et percussions). Le même soir se produira Frederic Monino, bassiste virtuose qui a une trentaine d'albums à son actif. Il a multiplié les collaborations artistiques comme accompagnateur, des musiques méditerranéennes à la musique brésilienne, des musiques traditionnelles à la chanson française, des musiques improvisées à la musique contemporaine et du jazz au flamenco. Le dernier jour du festival, le groupe libanais Indjez fera découvrir un jazz oriental surprenant en ouverture. En deuxième partie, le groupe AJT & Guest clôturera le festival. Anciennement connu sous le nom de Rippert Band, groupe de jazz fusion avec deux albums à son actif, le groupe change de style en 1994 et prend le nom d'Acid Jazz. De veine très actuelle, l'Acid jazz ou groove Jazz combine des influences de jazz avec des éléments issus de la musique soul, du funk, du disco et du hip-hop. L'Acid jazz a pris son essor dans les années 1980 et 1990, d'abord à Londres puis dans le monde entier. Bien des soirées magiques en perspective…. K. T. Dès demain, les amoureux du Jazz pourront s'adonner en direct et sans retenue à la contemplation et à l'audition de leur genre musical préféré. Invité par le CCF, c'est le trio de Franck Amsallem qui ouvre la danse dès demain soir. Puis, à partir du mardi 2 décembre, les amateurs de cette musique afro-américaine qui a conquis la planète pourront apprécier une palette de talents variés à raison de deux groupes par jour. Le célèbre pianiste et compositeur Franck Amsallem se produira avec son trio composé de trois musiciens de renommée internationale : Karl Januska à la batterie, Sylvain Romano à la contrebasse et Rick Margitza au saxophone. Le saxophoniste né à Détroit a appris à jouer avec des sommités comme Donald Sinta à l'Université du Michigan. Il a ensuite étudié le jazz avec Sonny Stitt, Michael Brecker, Gerry Niewodd et David Liebman. Il a fréquenté la Berklee School de Boston avant de partir à la Nouvelle Orléans. Ayant joué avec le grand Miles Davis en 1989 il déclare avoir à son contact appris à comprendre la magie du silence. Après cette formidable entrée en matière, le public algérois pourra découvrir un jazz aux fragrances épicées avec le groupe Daxar qui inaugure la deuxième édition de Assimajazz. Le groupe, fondé par le joueur de luth et guitariste Moulay Aït Si Ahmed se compose de quatre autres musiciens : Hervé Le Bouche à la batterie, Aurélien Guyot au violon, Amar Chaoui aux percussions et Marc Israël à la basse. Ce groupe dont les membres sont venus de différents horizons (jazz, pop, variétés, raï, musiques traditionnelles) s'inscrit résolument dans la World Oriental. Après ce jazz parfumé, un retour à l'Afrique pure et dure est offert au public avec le groupe du Burkinabé Eugène Kounker. Le compositeur dont le dernier album date de 2007 est célèbre pour ses créations qui font fusionner la musique traditionnelle africaine avec Blues, jazz et musique afro-caribéenne. Ayant fait ses classes auprès du pianiste congolais, Ray Lema, véritable mammouth du genre, Eugène Kounker a reçu de nombreux prix dont le Kundé, trophée de la musique burkinabé en avril 2008. Le mercredi 3 décembre, le trio Yapa se produira à partir de 19h30. Existant depuis plus de 10 ans, ce groupe est composé de Simon Chenet (guitare folk, guitare cithare), Fabrice Bourguignat (guitare folk, mandoline, Lap Steel), Christophe Combet (guitare cordes nylon) et de Xavier Hamon (batterie et percussions). Le même soir se produira Frederic Monino, bassiste virtuose qui a une trentaine d'albums à son actif. Il a multiplié les collaborations artistiques comme accompagnateur, des musiques méditerranéennes à la musique brésilienne, des musiques traditionnelles à la chanson française, des musiques improvisées à la musique contemporaine et du jazz au flamenco. Le dernier jour du festival, le groupe libanais Indjez fera découvrir un jazz oriental surprenant en ouverture. En deuxième partie, le groupe AJT & Guest clôturera le festival. Anciennement connu sous le nom de Rippert Band, groupe de jazz fusion avec deux albums à son actif, le groupe change de style en 1994 et prend le nom d'Acid Jazz. De veine très actuelle, l'Acid jazz ou groove Jazz combine des influences de jazz avec des éléments issus de la musique soul, du funk, du disco et du hip-hop. L'Acid jazz a pris son essor dans les années 1980 et 1990, d'abord à Londres puis dans le monde entier. Bien des soirées magiques en perspective…. K. T.