La wilaya de Guelma n'est plus confrontée comme c'était le cas dans un passé récent, à une tension et à une pénurie de gaz butane, notamment durant la période hivernale. En effet, actuellement 17 communes sur les 34 sont alimentées par cette précieuse source d'énergie et ce, grâce aux divers programmes initiés par les pouvoirs publics. En effet, ces cinq dernières années, les localités enclavées et au relief montagneux de Ain-Larbi, Tamlouka, Ain Maklouf, Bendjerah, Guelaât Bou Sbaa, Bouati et Hammam Debagh en ont été pourvues. Comme à l'accoutumée, la Direction des mines et de l'industrie, instruite par le chef de l'exécutif, s'attèle à veiller à la mise en place de stocks de bouteilles de gaz butane au niveau des chefs-lieux de wilaya et de daïra qui disposent de vastes dépôts ravitaillés par une flotte de semi-remorques qui se déplacent quotidiennement au centre-enfûteur de Skikda. Actuellement, les communes de Khézaras, Ain Sandel, Bouhamdane, Sellaoua Announa, Ain Ben Beida, Oued Fragha, Djeballa, Beni Mazline sont confrontées à une certaine tension qui prévaut quant à la disponibilité des fameuses bouteilles de gaz qui sont écoulées à des prix prohibitifs par une faune de revendeurs assoiffés par le gain facile. Tôt dans la matinée les campagnards emmitouflés dans des djellabas, font la chaîne dans les stations Naftal, pour acquérir quelques bouteilles au prix officiel et qui seront transportées à bord de remorques mobylettes, camionnettes et même à dos d'âne. Ce précieux combustible est privilégié par les fellahs pour le chauffage et leurs besoins domestiques. Consécutivement aux fermes instructions du wali, tous les établissement scolaires sont chauffés au gaz naturel, butane, au mazout et la Direction de l'éducation est chargée de veiller au suivi. Les APC des communes rurales achètent de grandes quantités de fuel pour satisfaire les besoins des écoles primaires et de leurs structures. Dans certaines régions reculées et montagneuses des familles de paysans se chauffent encore au bois qui est ramassé et entreposé avant la saison hivernale. De toute évidence, la situation s'est notablement améliorée et seules les zones rurales et les mechtas sont encore confrontées à la rareté de la fameuse bouteille de gaz. L'espoir est permis puisque le programme 2009-2013 prévoit l'inscription du gaz naturel dans une dizaine de communes. H. B. La wilaya de Guelma n'est plus confrontée comme c'était le cas dans un passé récent, à une tension et à une pénurie de gaz butane, notamment durant la période hivernale. En effet, actuellement 17 communes sur les 34 sont alimentées par cette précieuse source d'énergie et ce, grâce aux divers programmes initiés par les pouvoirs publics. En effet, ces cinq dernières années, les localités enclavées et au relief montagneux de Ain-Larbi, Tamlouka, Ain Maklouf, Bendjerah, Guelaât Bou Sbaa, Bouati et Hammam Debagh en ont été pourvues. Comme à l'accoutumée, la Direction des mines et de l'industrie, instruite par le chef de l'exécutif, s'attèle à veiller à la mise en place de stocks de bouteilles de gaz butane au niveau des chefs-lieux de wilaya et de daïra qui disposent de vastes dépôts ravitaillés par une flotte de semi-remorques qui se déplacent quotidiennement au centre-enfûteur de Skikda. Actuellement, les communes de Khézaras, Ain Sandel, Bouhamdane, Sellaoua Announa, Ain Ben Beida, Oued Fragha, Djeballa, Beni Mazline sont confrontées à une certaine tension qui prévaut quant à la disponibilité des fameuses bouteilles de gaz qui sont écoulées à des prix prohibitifs par une faune de revendeurs assoiffés par le gain facile. Tôt dans la matinée les campagnards emmitouflés dans des djellabas, font la chaîne dans les stations Naftal, pour acquérir quelques bouteilles au prix officiel et qui seront transportées à bord de remorques mobylettes, camionnettes et même à dos d'âne. Ce précieux combustible est privilégié par les fellahs pour le chauffage et leurs besoins domestiques. Consécutivement aux fermes instructions du wali, tous les établissement scolaires sont chauffés au gaz naturel, butane, au mazout et la Direction de l'éducation est chargée de veiller au suivi. Les APC des communes rurales achètent de grandes quantités de fuel pour satisfaire les besoins des écoles primaires et de leurs structures. Dans certaines régions reculées et montagneuses des familles de paysans se chauffent encore au bois qui est ramassé et entreposé avant la saison hivernale. De toute évidence, la situation s'est notablement améliorée et seules les zones rurales et les mechtas sont encore confrontées à la rareté de la fameuse bouteille de gaz. L'espoir est permis puisque le programme 2009-2013 prévoit l'inscription du gaz naturel dans une dizaine de communes. H. B.