Dans une entrevue au quotidien L'Equipe, l'ancien meneur de jeu de l'équipe de France Zinédine Zidane a tenu à régler ses comptes avec certains de ses anciens collègues, en premier lieu, Emmanuel Petit et Jérôme Rothen. Dans une entrevue au quotidien L'Equipe, l'ancien meneur de jeu de l'équipe de France Zinédine Zidane a tenu à régler ses comptes avec certains de ses anciens collègues, en premier lieu, Emmanuel Petit et Jérôme Rothen. Dans une entrevue au quotidien L'Equipe parue ce vendredi, l'ancien stratège de l'équipe de France s'est totalement livré. Le natif de Marseille y parle de football, son sport de coeur, de ceux qui le font encore vibrer comme l'ancien olympien Franck Ribéry, aujourd'hui au Bayern Munich, ou de Diego Maradona, à la tête depuis peu de la sélection argentine. Jusque là, tout va bien. Mais au moment de parler de ses détracteurs, Zidane se lâche car c'est sa fierté que l'on attaque, celle de champion mais surtout d'homme. Depuis plusieurs mois, l'image de l'ancien joueur de la Juventus de Turin a été écornée. La publication récente de sa biographie non-autorisée de la journaliste Besma Lahouri n'a probablement fait qu'attiser la colère de "Zizou"'. "[...] et cette dame (Besma Lahouri) qui a fait ce livre, cette soi-disant autobiographie...Les gens pensent que c'est moi qui ai écrit ce livre, alors que je n'ai rien avoir avec. Jusque là, je n'ai rien dit car je n'avais pas envie de polémiquer...Maintenant puisqu'on m'en parle, il y a des choses que j'ai envie de dire. Moi, la malhonnêteté et le mensonge, je ne peux pas les supporter", déclare-t-il à propos de l'enquête. «Petit, je ne veux plus le voir» Comme prévu, Zidane se défend et adopte la position de la victime. Et ce n'est pas tout. Invité également à se prononcer sur le cas de son ancien partenaire en Bleu, Emmanuel Petit, Zidane répond avec une pointe de dédain, voire de condescendance. "Je ne veux plus le voir. Je l'ai croisé, déjà. Je lui ai dit ce que j'avais à lui dire. J'ai vu l'article dans le Parisien. Il débinait sur moi, sur mes relations avec les grands patrons. Il fait quoi, lui, aujourd'hui, Petit ? Il se moque de qui ? On le voit partout", lance-t-il. Le meneur de jeu note également le manque de franchise de l'ancien Gunner, voire sa lâcheté au moment de mettre leurs points de désaccord à plat. Zidane a finalement choisi la rancoeur malgré les exploits vécus ensemble. Autre livre, autre contenu mais substance toujours aussi acide, le livre tout en franchise de Jérôme Rothen, qui s'est depuis attiré quelques inimitiés. Le Parisien y fait notamment mention d'une insulte lancée par l'emblématique numéro 10 lors d'un match de Coupe d'Europe. "Il m'avait promis de m'envoyer son livre en me disant que je verrais que rien de méchant n'était écrit. Trois semaines après, j'ai vu que le bouquin sortait. Le voir dans une émission de télé affirmer: "J'ai eu Zidane au téléphone, ça s'est réglé". Maintenant, ce qui me dérange ce n'est pas le fait dire tout ça, c'est que moi, je l'ai croisé plusieurs fois. Si vous n'êtes pas d'accord ou si je vous ai dit quelque chose qui vous a touché, on en parle. Quand on est honnête, c'est ce qu'on fait." Rothen serait finalement un menteur et Petit un lâche qui "n'a rien fait". Une chose est certaine et se confirme après ces propos: Zidane et est restera un personnage à part entière dans et en dehors du monde du football. Dans une entrevue au quotidien L'Equipe parue ce vendredi, l'ancien stratège de l'équipe de France s'est totalement livré. Le natif de Marseille y parle de football, son sport de coeur, de ceux qui le font encore vibrer comme l'ancien olympien Franck Ribéry, aujourd'hui au Bayern Munich, ou de Diego Maradona, à la tête depuis peu de la sélection argentine. Jusque là, tout va bien. Mais au moment de parler de ses détracteurs, Zidane se lâche car c'est sa fierté que l'on attaque, celle de champion mais surtout d'homme. Depuis plusieurs mois, l'image de l'ancien joueur de la Juventus de Turin a été écornée. La publication récente de sa biographie non-autorisée de la journaliste Besma Lahouri n'a probablement fait qu'attiser la colère de "Zizou"'. "[...] et cette dame (Besma Lahouri) qui a fait ce livre, cette soi-disant autobiographie...Les gens pensent que c'est moi qui ai écrit ce livre, alors que je n'ai rien avoir avec. Jusque là, je n'ai rien dit car je n'avais pas envie de polémiquer...Maintenant puisqu'on m'en parle, il y a des choses que j'ai envie de dire. Moi, la malhonnêteté et le mensonge, je ne peux pas les supporter", déclare-t-il à propos de l'enquête. «Petit, je ne veux plus le voir» Comme prévu, Zidane se défend et adopte la position de la victime. Et ce n'est pas tout. Invité également à se prononcer sur le cas de son ancien partenaire en Bleu, Emmanuel Petit, Zidane répond avec une pointe de dédain, voire de condescendance. "Je ne veux plus le voir. Je l'ai croisé, déjà. Je lui ai dit ce que j'avais à lui dire. J'ai vu l'article dans le Parisien. Il débinait sur moi, sur mes relations avec les grands patrons. Il fait quoi, lui, aujourd'hui, Petit ? Il se moque de qui ? On le voit partout", lance-t-il. Le meneur de jeu note également le manque de franchise de l'ancien Gunner, voire sa lâcheté au moment de mettre leurs points de désaccord à plat. Zidane a finalement choisi la rancoeur malgré les exploits vécus ensemble. Autre livre, autre contenu mais substance toujours aussi acide, le livre tout en franchise de Jérôme Rothen, qui s'est depuis attiré quelques inimitiés. Le Parisien y fait notamment mention d'une insulte lancée par l'emblématique numéro 10 lors d'un match de Coupe d'Europe. "Il m'avait promis de m'envoyer son livre en me disant que je verrais que rien de méchant n'était écrit. Trois semaines après, j'ai vu que le bouquin sortait. Le voir dans une émission de télé affirmer: "J'ai eu Zidane au téléphone, ça s'est réglé". Maintenant, ce qui me dérange ce n'est pas le fait dire tout ça, c'est que moi, je l'ai croisé plusieurs fois. Si vous n'êtes pas d'accord ou si je vous ai dit quelque chose qui vous a touché, on en parle. Quand on est honnête, c'est ce qu'on fait." Rothen serait finalement un menteur et Petit un lâche qui "n'a rien fait". Une chose est certaine et se confirme après ces propos: Zidane et est restera un personnage à part entière dans et en dehors du monde du football.