Plus de 12.000 mines de divers types ont été découvertes et détruites en novembre dernier dans les régions frontalières est et ouest d'Algérie, selon l'APS. 12.887 mines au total ont été récupérées et détruites, dont plus de 11.000 mines antipersonnel disséminées dans ces zones par l'armée française entre 1954 et 1962. Des mines anti-groupe et éclairantes ont également été découvertes au cours d'opérations de déminage. A la fin novembre de cette année, un total de 343.356 mines, soit 287.890 antipersonnel, 54.234 anti-groupe et 1.232 éclairantes ont été trouvées et détruites par l'armée algérienne depuis le début des opérations de déminage. Rappelons qu'une étude sur les besoins de sensibilisation aux risques des mines antipersonnel dans les régions est et ouest de l'Algérie a été déjà réalisée par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) en collaboration avec le Comité interministériel algérien de suivi de l'application de la Convention d'Ottawa sur les mines antipersonnel. L'objectif essentiel de la stratégie de cette étude est d'arriver en 2012 à «zéro mine, zéro victime», selon les promoteurs de cette action. Il s'agit également «d'identifier les connaissances et les comportements des populations des zones affectées par les mines et engins non explosés afin d'analyser les besoins en sensibilisation pour la prévention des accidents par mines en Algérie ». A la fin août 2008, les travaux de déminage humanitaire ont permis la découverte et la destruction de 304.618 mines anti-personnel et de 1.113 mines éclairantes. Environ huit millions de mines antipersonnel en Algérie sur les 11 millions semées par l'armée coloniale française ont été détruites. La fin du projet relatif à l'atelier sur la prise en charge des victimes algériennes des mines antipersonnel aura lieu probablement avec la tenue de la deuxième conférence d'examen de la convention prévue en 2009. Les rapports qui seront présentés par l'Algérie à cette occasion seront enrichissants et refléteront une excellente mise en place du plan d'action de Nairobi, selon des experts. A. A. Plus de 12.000 mines de divers types ont été découvertes et détruites en novembre dernier dans les régions frontalières est et ouest d'Algérie, selon l'APS. 12.887 mines au total ont été récupérées et détruites, dont plus de 11.000 mines antipersonnel disséminées dans ces zones par l'armée française entre 1954 et 1962. Des mines anti-groupe et éclairantes ont également été découvertes au cours d'opérations de déminage. A la fin novembre de cette année, un total de 343.356 mines, soit 287.890 antipersonnel, 54.234 anti-groupe et 1.232 éclairantes ont été trouvées et détruites par l'armée algérienne depuis le début des opérations de déminage. Rappelons qu'une étude sur les besoins de sensibilisation aux risques des mines antipersonnel dans les régions est et ouest de l'Algérie a été déjà réalisée par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) en collaboration avec le Comité interministériel algérien de suivi de l'application de la Convention d'Ottawa sur les mines antipersonnel. L'objectif essentiel de la stratégie de cette étude est d'arriver en 2012 à «zéro mine, zéro victime», selon les promoteurs de cette action. Il s'agit également «d'identifier les connaissances et les comportements des populations des zones affectées par les mines et engins non explosés afin d'analyser les besoins en sensibilisation pour la prévention des accidents par mines en Algérie ». A la fin août 2008, les travaux de déminage humanitaire ont permis la découverte et la destruction de 304.618 mines anti-personnel et de 1.113 mines éclairantes. Environ huit millions de mines antipersonnel en Algérie sur les 11 millions semées par l'armée coloniale française ont été détruites. La fin du projet relatif à l'atelier sur la prise en charge des victimes algériennes des mines antipersonnel aura lieu probablement avec la tenue de la deuxième conférence d'examen de la convention prévue en 2009. Les rapports qui seront présentés par l'Algérie à cette occasion seront enrichissants et refléteront une excellente mise en place du plan d'action de Nairobi, selon des experts. A. A.