Le secrétaire général du FLN et néanmoins ministre d'Etat représentant personnel du président de la République a confirmé que Abdelaziz Bouteflika est potentiellement partant pour la course à la prochaine présidentielle, prévue au mois d'avril 2009. Abdelaziz Belkhadem a en effet déclaré que « Bouteflika annoncera sa candidature avant le mois de mars ». Ces propos tenus par Belkhadem hier à l'APN en marge de la présentation par le premier ministre, Ahmed Ouyahia, du plan, d'action de son gouvernement, rejoignent ceux de son collègue au gouvernement Aboudjerra Soltani. Interrogé récemment par la presse lors d'une émission de la radio le président du MSP a indiqué que le président de la république pourrait annoncer sa candidature vers la fin du mois de février ou au début du mois de mars. Abdelaziz Belkhadem s'est par ailleurs prononcé sur l'affaire du diplomate algérien, Mohamed Ziane Hassani en estimant qu'il est bel et bien sequetré. Ila dit ne pas comprendre ce que veulent les autorités francises et la justice française. De plus, selon lui, cette « séquestration constitue une violation de la loi et de la convention de Vienne ». A. S. Le secrétaire général du FLN et néanmoins ministre d'Etat représentant personnel du président de la République a confirmé que Abdelaziz Bouteflika est potentiellement partant pour la course à la prochaine présidentielle, prévue au mois d'avril 2009. Abdelaziz Belkhadem a en effet déclaré que « Bouteflika annoncera sa candidature avant le mois de mars ». Ces propos tenus par Belkhadem hier à l'APN en marge de la présentation par le premier ministre, Ahmed Ouyahia, du plan, d'action de son gouvernement, rejoignent ceux de son collègue au gouvernement Aboudjerra Soltani. Interrogé récemment par la presse lors d'une émission de la radio le président du MSP a indiqué que le président de la république pourrait annoncer sa candidature vers la fin du mois de février ou au début du mois de mars. Abdelaziz Belkhadem s'est par ailleurs prononcé sur l'affaire du diplomate algérien, Mohamed Ziane Hassani en estimant qu'il est bel et bien sequetré. Ila dit ne pas comprendre ce que veulent les autorités francises et la justice française. De plus, selon lui, cette « séquestration constitue une violation de la loi et de la convention de Vienne ». A. S.