«L'installation des antennes relais sur les toits, en milieu urbain est porteuse de danger pour la santé publique. Les conséquences des ondes électromagnétiques sont reconnues capables de provoquer des cancers de la peau…» ont tenu à dénoncer fermement aux autorités de la commune (APC et daïra) des habitants d'El Hadjar, dans une pétition signée par 45 familles. Un de leur voisin à la cité présidentielle, des 200 villas, avait en contrepartie d'une somme d'argent, accepté la pose d'une antenne relai sur son toit, ce qui a provoqué l'ire des riverains lesquels ont rapidement manifesté leur hostilité et alerté le chef de daïra. Mais à leur grande surprise, le voisin incriminé refuse d'obtempérer au diktat des locataires mécontents. Les autorités, de leur côté n'ont pas donné suite aux revendications des plaignants. Ces derniers, menés par un professeur de physique à l'université Badji Mokhtar de Annaba, n'écartent pas l'éventualité de faire intervenir la justice si les antennes ne sont pas enlevées dans une semaine à compter d'hier samedi. Les pétitionnaires font valoir dans leurs doléances le fait admis par tous les milieux médicaux dans le monde concernant la nocivité de tels équipements sur la santé de l'homme, notamment chez les personnes âgées et les enfants, vu les potentialités de leur système immunitaire. «En France et même dans toute l'Europe, disent-ils, les antenne de téléphonie mobile sont interdites au milieu des agglomérations à cause des émanations électromagnétiques très puissantes…» estiment les habitants en colère dans leur pétition. R. M. «L'installation des antennes relais sur les toits, en milieu urbain est porteuse de danger pour la santé publique. Les conséquences des ondes électromagnétiques sont reconnues capables de provoquer des cancers de la peau…» ont tenu à dénoncer fermement aux autorités de la commune (APC et daïra) des habitants d'El Hadjar, dans une pétition signée par 45 familles. Un de leur voisin à la cité présidentielle, des 200 villas, avait en contrepartie d'une somme d'argent, accepté la pose d'une antenne relai sur son toit, ce qui a provoqué l'ire des riverains lesquels ont rapidement manifesté leur hostilité et alerté le chef de daïra. Mais à leur grande surprise, le voisin incriminé refuse d'obtempérer au diktat des locataires mécontents. Les autorités, de leur côté n'ont pas donné suite aux revendications des plaignants. Ces derniers, menés par un professeur de physique à l'université Badji Mokhtar de Annaba, n'écartent pas l'éventualité de faire intervenir la justice si les antennes ne sont pas enlevées dans une semaine à compter d'hier samedi. Les pétitionnaires font valoir dans leurs doléances le fait admis par tous les milieux médicaux dans le monde concernant la nocivité de tels équipements sur la santé de l'homme, notamment chez les personnes âgées et les enfants, vu les potentialités de leur système immunitaire. «En France et même dans toute l'Europe, disent-ils, les antenne de téléphonie mobile sont interdites au milieu des agglomérations à cause des émanations électromagnétiques très puissantes…» estiment les habitants en colère dans leur pétition. R. M.