S'il est une capitale dans toute la région méditerranéenne, voire au-delà, qui traîne les problèmes spécifiques aux grandes villes, sans pour autant disposer d'infrastructures dignes des plus grandes cités, Alger en est la parfaite illustration. Les visiteurs, qui succombent très facilement aux charmes de la ville, découvrent très rapidement qu'elle n'est pas fonctionnelle. Trop encombrée et dépourvue de centre économique et culturel à proprement parler. Le projet Alger Médina apporte la solution aux problèmes de la capitale. Outre que celle-ci s'offre une autre et salutaire ouverture sur la Méditerranée, elle se crée un véritable cœur d'activité humaine, dans un cadre très agréable. 10. 000 emplois, de l'infrastructure hôtelière, des bureaux et autres services touristiques de premier ordre. Il n'y a pas de doute : Alger va connaître sa seconde vie. S'il est une capitale dans toute la région méditerranéenne, voire au-delà, qui traîne les problèmes spécifiques aux grandes villes, sans pour autant disposer d'infrastructures dignes des plus grandes cités, Alger en est la parfaite illustration. Les visiteurs, qui succombent très facilement aux charmes de la ville, découvrent très rapidement qu'elle n'est pas fonctionnelle. Trop encombrée et dépourvue de centre économique et culturel à proprement parler. Le projet Alger Médina apporte la solution aux problèmes de la capitale. Outre que celle-ci s'offre une autre et salutaire ouverture sur la Méditerranée, elle se crée un véritable cœur d'activité humaine, dans un cadre très agréable. 10. 000 emplois, de l'infrastructure hôtelière, des bureaux et autres services touristiques de premier ordre. Il n'y a pas de doute : Alger va connaître sa seconde vie. Un grand soulagement pour la cité Le projet Alger Médina représente une consolidation d'infrastructures pour la capitale. A Alger, grand événement est synonyme de « grande pagaille ». Pour une capitale qui a organisé la réunion des ministres de l'Afrec, les Jeux panarabes, le Sommet de la ligue arabe et d'autres évènements de grande ampleur, Alger dispose de peu d'infrastructures. Le même scénario se répète à chaque fois que la ville abrite une rencontre d'une grande envergure : saturation des hôtels et de la circulation routière. Les cinq hôtels de renommée à Alger (le Sheraton, le Sofitel, le Mercure, l'Hilton et El Djazaïr) ont une capacité d'accueil très limitée qui ne dépasse pas le millier de chambres. A cause de cela, beaucoup de réunions d'affaires sont annulées à chaque fois qu'un rendez-vous politique pointe. « Je me rappelle avoir reporté une réunion avec mes associés belges qui devaient venir à Alger pour une réunion de travail à cause du sommet de la Ligue arabe. C'était impossible de trouver une chambre à l'hôtel » a témoigné Fouzi R. homme d'affaires algérien. Ainsi, le manque d'infrastructures risque de faire perdre au pays beaucoup d'opportunités économiques. En plus, sur un plan international, ceci donne à Alger l'image d'une capitale en deçà des standards internationaux. Un projet comme Alger Médina s'avère ainsi vital pour une capitale d'une grande importance que ce soit sur le plan maghrébin, arabe ou méditerranéen. « Alger Médina vise, à offrir sur place aux opérateurs économiques nationaux et étrangers et à la clientèle les meilleures conditions de travail, de services et de loisirs » lit-on dans le communiqué de presse du projet en question. Regroupant des projets immobiliers ou hôteliers d'affaires, cet espace permettra l'organisation de toutes sortes d'évènements dans des conditions meilleures que celles existantes jusque-là. De plus, les embouteillages qui étranglent la capitale depuis quelque temps peuvent être réduits. Pour les populations d'Alger, un tel projet ne peut être que le bienvenu. Alger pourra enfin respirer ! Transférant une bonne partie de l'activité événementielle dans cet espace, la pression diminuera certainement d'une manière remarquable. Il est à souligner que le business center a été déjà achevé en 2005. L'impact économique d'un tel projet est certain. Il est en mesure d'attirer des investisseurs qui fuient le manque de moyens et d'infrastructures nécessaires pour leur travail. S. A. Un grand soulagement pour la cité Le projet Alger Médina représente une consolidation d'infrastructures pour la capitale. A Alger, grand événement est synonyme de « grande pagaille ». Pour une capitale qui a organisé la réunion des ministres de l'Afrec, les Jeux panarabes, le Sommet de la ligue arabe et d'autres évènements de grande ampleur, Alger dispose de peu d'infrastructures. Le même scénario se répète à chaque fois que la ville abrite une rencontre d'une grande envergure : saturation des hôtels et de la circulation routière. Les cinq hôtels de renommée à Alger (le Sheraton, le Sofitel, le Mercure, l'Hilton et El Djazaïr) ont une capacité d'accueil très limitée qui ne dépasse pas le millier de chambres. A cause de cela, beaucoup de réunions d'affaires sont annulées à chaque fois qu'un rendez-vous politique pointe. « Je me rappelle avoir reporté une réunion avec mes associés belges qui devaient venir à Alger pour une réunion de travail à cause du sommet de la Ligue arabe. C'était impossible de trouver une chambre à l'hôtel » a témoigné Fouzi R. homme d'affaires algérien. Ainsi, le manque d'infrastructures risque de faire perdre au pays beaucoup d'opportunités économiques. En plus, sur un plan international, ceci donne à Alger l'image d'une capitale en deçà des standards internationaux. Un projet comme Alger Médina s'avère ainsi vital pour une capitale d'une grande importance que ce soit sur le plan maghrébin, arabe ou méditerranéen. « Alger Médina vise, à offrir sur place aux opérateurs économiques nationaux et étrangers et à la clientèle les meilleures conditions de travail, de services et de loisirs » lit-on dans le communiqué de presse du projet en question. Regroupant des projets immobiliers ou hôteliers d'affaires, cet espace permettra l'organisation de toutes sortes d'évènements dans des conditions meilleures que celles existantes jusque-là. De plus, les embouteillages qui étranglent la capitale depuis quelque temps peuvent être réduits. Pour les populations d'Alger, un tel projet ne peut être que le bienvenu. Alger pourra enfin respirer ! Transférant une bonne partie de l'activité événementielle dans cet espace, la pression diminuera certainement d'une manière remarquable. Il est à souligner que le business center a été déjà achevé en 2005. L'impact économique d'un tel projet est certain. Il est en mesure d'attirer des investisseurs qui fuient le manque de moyens et d'infrastructures nécessaires pour leur travail. S. A.