La grève ouverte et illimitée en matière d'enseignement à laquelle ont appelé le syndicat national des maîtres assistants en sciences médicales et celui des professeurs et docents, a été massivement suivie à Constantine. Hier, et au premier jour d'une grève nationale, la faculté de médecine de la wilaya de Constantine a été entièrement paralysée. Maîtres assistants, professeurs et docents, s'accordent à dire que le gouvernement a prouvé son incapacité de répondre favorablement à leurs revendications essentielles concernant notamment la grille des salaires et le régime indemnitaire. « On ne comptent pas faire marche arrière. Nous nous sommes engagés, et cette fois-ci, on va aller jusqu'au bout de nos revendications pour arracher nos droits justes et légitimes », s'insurgent les grévistes. Pour les enseignants de médecine, il n'est plus question de reprendre les cours jusqu'à satisfaction de leurs revendications. « On tient pleinement les commandes de ce mouvement », persistent-ils à dire. Un tour d'horizon dans cette faculté nous a permis de constater sur place le haut niveau de mobilisation des enseignants et des adhérents affiliés à ces deux syndicats de la santé. Il n'y a pas eu de problèmes majeurs à signaler. Tout s'est déroulé dans le calme ou presque. Même du côté des étudiants, il n'y a pas eu de contre-mouvement. Contacté par nos soins, le président du bureau syndical des maîtres assistants nous a affirmé que le mouvement risque de durer dans le temps puisque, dit-il, « il dépend de la bonne volonté du gouvernement ». Le docteur Kitouni précise que les maîtres assistants, les professeurs et docents contrôlent parfaitement le mouvement « les hospitalo-universitaires ont carrément boycotté les cours. Les hôpitaux seront paralysés incessamment , une fois concerté avec l'intersyndicale ». Pour ce qui taux de suivi, notre interlocuteur dira : « Le taux restera à 100% tout temps ». K. B. La grève ouverte et illimitée en matière d'enseignement à laquelle ont appelé le syndicat national des maîtres assistants en sciences médicales et celui des professeurs et docents, a été massivement suivie à Constantine. Hier, et au premier jour d'une grève nationale, la faculté de médecine de la wilaya de Constantine a été entièrement paralysée. Maîtres assistants, professeurs et docents, s'accordent à dire que le gouvernement a prouvé son incapacité de répondre favorablement à leurs revendications essentielles concernant notamment la grille des salaires et le régime indemnitaire. « On ne comptent pas faire marche arrière. Nous nous sommes engagés, et cette fois-ci, on va aller jusqu'au bout de nos revendications pour arracher nos droits justes et légitimes », s'insurgent les grévistes. Pour les enseignants de médecine, il n'est plus question de reprendre les cours jusqu'à satisfaction de leurs revendications. « On tient pleinement les commandes de ce mouvement », persistent-ils à dire. Un tour d'horizon dans cette faculté nous a permis de constater sur place le haut niveau de mobilisation des enseignants et des adhérents affiliés à ces deux syndicats de la santé. Il n'y a pas eu de problèmes majeurs à signaler. Tout s'est déroulé dans le calme ou presque. Même du côté des étudiants, il n'y a pas eu de contre-mouvement. Contacté par nos soins, le président du bureau syndical des maîtres assistants nous a affirmé que le mouvement risque de durer dans le temps puisque, dit-il, « il dépend de la bonne volonté du gouvernement ». Le docteur Kitouni précise que les maîtres assistants, les professeurs et docents contrôlent parfaitement le mouvement « les hospitalo-universitaires ont carrément boycotté les cours. Les hôpitaux seront paralysés incessamment , une fois concerté avec l'intersyndicale ». Pour ce qui taux de suivi, notre interlocuteur dira : « Le taux restera à 100% tout temps ». K. B.