Les étudiants de l'université d'Alger ont témoigné, hier, de leur solidarité avec le peuple palestinien dans de larges manifestations dans plusieurs facultés. Des centaines d'étudiants ont répondu favorablement à l'appel de l'organisation estudiantine l'UGEL (Union Général des étudiants libres) et ont tenu, une fois de plus, à dénoncer les pratiques barbares d'Israel sur la population désarmée de Ghaza. Ces centaines d'étudiants, toutes tendances confondues, ont crié haut et fort leur solidarité avec le peuple palestinien, et ont appelé les pays arabes et l'opinion internationale à exprimer unanimement leur refus à cette situation et surtout à faire suivrer leursdéclarations par des actes concrets. À 10 heures du matin, les étudiants ont commencé à se réunir à la fac centrale d'Alger. Au bout d'un moment des centaines de voix rejoignent ce chœur dénonciateur. Pour empêcher la sortie de ces étudiants partiellement enragés vers les rues d'Alger, un important dispositif de sécurité a été mis en place, à la sortie de la fac centrale. Pourtant le recteur de l'université d'Alger, Tahar Hadjar, assure avoir accordé aux étudiants le droit de manifestation mais uniquement à l'intérieur de l'université. Sur les lieux, cette manifestation durera jusqu'aux dernières heures de l'après midi où plusieurs bus destinés habituellement à leur transport entre les différents pôles et campus universitaires, sont mis à leur disposition, dans ces circonstances, pour une autre fin. En effet, les étudiants manifestants ont été dirigés vers le siége de l'UGTA où se tenait un meeting de soutien à la population de Ghaza. Par ailleurs, la faculté des sciences humaines et sociales de Bouzareah a vu, hier matin, l'ébauche d'une marche qui aurait pu être grandiose, mais, les forces de l'ordre ont empêché les étudiants de quitter l'enceinte de l'université. Il est à noter que l'agitation des étudiants de l'université d'Alger face aux massacres israéliens commis contre la population de Ghaza s'est manifestée depuis le premier jour de ce second semestre des études. En effet, avant-hier, les études ont été en grande partie paralysée à travers plusieurs facultés, telle la fac de droit et celle des sciences politiques et de l'information et de la communication. Ces dernières gardent les séquelles d'une longue journée de manifestations : des pancartes exprimant la solidarité inconditionnelle avec le peuple palestinien et un appel au cessez le feu contre cette zone. Par ailleurs, un long drapeau palestinien flotte au dessous des blocs des facultés des sciences Politiques et de l'Information et de la communication. M. A. Les étudiants de l'université d'Alger ont témoigné, hier, de leur solidarité avec le peuple palestinien dans de larges manifestations dans plusieurs facultés. Des centaines d'étudiants ont répondu favorablement à l'appel de l'organisation estudiantine l'UGEL (Union Général des étudiants libres) et ont tenu, une fois de plus, à dénoncer les pratiques barbares d'Israel sur la population désarmée de Ghaza. Ces centaines d'étudiants, toutes tendances confondues, ont crié haut et fort leur solidarité avec le peuple palestinien, et ont appelé les pays arabes et l'opinion internationale à exprimer unanimement leur refus à cette situation et surtout à faire suivrer leursdéclarations par des actes concrets. À 10 heures du matin, les étudiants ont commencé à se réunir à la fac centrale d'Alger. Au bout d'un moment des centaines de voix rejoignent ce chœur dénonciateur. Pour empêcher la sortie de ces étudiants partiellement enragés vers les rues d'Alger, un important dispositif de sécurité a été mis en place, à la sortie de la fac centrale. Pourtant le recteur de l'université d'Alger, Tahar Hadjar, assure avoir accordé aux étudiants le droit de manifestation mais uniquement à l'intérieur de l'université. Sur les lieux, cette manifestation durera jusqu'aux dernières heures de l'après midi où plusieurs bus destinés habituellement à leur transport entre les différents pôles et campus universitaires, sont mis à leur disposition, dans ces circonstances, pour une autre fin. En effet, les étudiants manifestants ont été dirigés vers le siége de l'UGTA où se tenait un meeting de soutien à la population de Ghaza. Par ailleurs, la faculté des sciences humaines et sociales de Bouzareah a vu, hier matin, l'ébauche d'une marche qui aurait pu être grandiose, mais, les forces de l'ordre ont empêché les étudiants de quitter l'enceinte de l'université. Il est à noter que l'agitation des étudiants de l'université d'Alger face aux massacres israéliens commis contre la population de Ghaza s'est manifestée depuis le premier jour de ce second semestre des études. En effet, avant-hier, les études ont été en grande partie paralysée à travers plusieurs facultés, telle la fac de droit et celle des sciences politiques et de l'information et de la communication. Ces dernières gardent les séquelles d'une longue journée de manifestations : des pancartes exprimant la solidarité inconditionnelle avec le peuple palestinien et un appel au cessez le feu contre cette zone. Par ailleurs, un long drapeau palestinien flotte au dessous des blocs des facultés des sciences Politiques et de l'Information et de la communication. M. A.