Dans un long communiqué Liamine Zeroual a, de nouveau, indiqué qu'il a définitivement tourné la page et qu'il a abandonné la politique et toute ambition donc de revenir sur les devants de l'échiquier national. Dans un long communiqué Liamine Zeroual a, de nouveau, indiqué qu'il a définitivement tourné la page et qu'il a abandonné la politique et toute ambition donc de revenir sur les devants de l'échiquier national. Finalement, l'ex-président de la République, Liamine Zeroual, ne sera pas de la partie lors de la prochaine élection présidentielle. Il vient, en effet, de rompre le silence en opposant un ferme démenti aux rumeurs qui l'ont donné pour potentiel partant à la course vers la magistrature suprême. Dans un long communiqué rendu public hier Liamine Zeroual a, de nouveau, indiqué qu'il a définitivement tourné la page et qu'il a abandonné la politique et toute ambition donc de revenir sur les devants de l'échiquier national. Celui qui a eu le privilège d'être sur la plus haute marche du pouvoir de janvier 1994 à avril 1999 d'abord en tant que chef de l'Etat avant d'être élu à la présidence de la République le 16 novembre 1995, est donc resté égal à lui-même. Vivant dans sa ville natale, Batna, en retrait de la scène nationale après avoir écourté son mandat provoquant ainsi des élections présidentielles anticipées, qui ont vu Abdelaziz Bouteflika lui succéder au palais d'El Mouradia, Zeroual a tout fait depuis pour éviter, autant se faire que peut, les feux de la rampe. Et, s'imposant une ligne de conduite semblable à celle d'un citoyen ordinaire, il a de tout temps refusé de participer aux cérémonies et autres festivités en déclinant poliment les invitations quelles qu'en soient leurs origines. Et c'est ainsi que, contrairement aux ex-présidents de la République, Chadli Bendjedid, Ahmed Ben Bella et Ali Kafi, il a toujours décliné les invitations à assister aux manifestations officielles, émanant des hautes autorités du pays à l'occasion de la célébration de dates historiques et, notamment, celle relative au déclenchement de la révolution du 1er novembre 1954. Cependant il y a quelques jours des informations faisant état de sa probable candidature ont circulé avec insistance. De nombreux organes de la presse nationale, se faisant le relais de quelques membres de la famille révolutionnaire, des fils de chahid, particulièrement, qui lui ont rendu visite à Batna chez lui, ont évoqué l'éventualité de sa participation à l'élection présidentielle. Car, selon les hôtes de Zeroula, ce dernier aurait exprimé sa disponibilité à être candidat avec la condition, toutefois, que le peuple émet son souhait en ce sens. Des comités de soutien ont alors commencé à voir le jour sur l'ensemble du territoire national pour servir de tremplin à cette éventuelle candidature. Il a même été prévu d'organiser des rencontres regionales et locales, comme celle programmée à Annaba pour ce vendredi, en vue de soutenir cette hypothétique candidature. D'aucuns ont même avancé que ces comités ont réussi le pari de récolter déjà 100.000 signatures en un court laps de temps. Des hommes politiques, comme Abdelaziz Belkhadem qui a déclaré que « l'ex président a le droit d'être candidat », ont donné du crédit à cette probabilité. Mais finalement, avec ce ferme démenti de Liamine Zeroual, il s'est avéré que son éventuelle candidature, ne reposait que sur des informations tronquées. K. H. Finalement, l'ex-président de la République, Liamine Zeroual, ne sera pas de la partie lors de la prochaine élection présidentielle. Il vient, en effet, de rompre le silence en opposant un ferme démenti aux rumeurs qui l'ont donné pour potentiel partant à la course vers la magistrature suprême. Dans un long communiqué rendu public hier Liamine Zeroual a, de nouveau, indiqué qu'il a définitivement tourné la page et qu'il a abandonné la politique et toute ambition donc de revenir sur les devants de l'échiquier national. Celui qui a eu le privilège d'être sur la plus haute marche du pouvoir de janvier 1994 à avril 1999 d'abord en tant que chef de l'Etat avant d'être élu à la présidence de la République le 16 novembre 1995, est donc resté égal à lui-même. Vivant dans sa ville natale, Batna, en retrait de la scène nationale après avoir écourté son mandat provoquant ainsi des élections présidentielles anticipées, qui ont vu Abdelaziz Bouteflika lui succéder au palais d'El Mouradia, Zeroual a tout fait depuis pour éviter, autant se faire que peut, les feux de la rampe. Et, s'imposant une ligne de conduite semblable à celle d'un citoyen ordinaire, il a de tout temps refusé de participer aux cérémonies et autres festivités en déclinant poliment les invitations quelles qu'en soient leurs origines. Et c'est ainsi que, contrairement aux ex-présidents de la République, Chadli Bendjedid, Ahmed Ben Bella et Ali Kafi, il a toujours décliné les invitations à assister aux manifestations officielles, émanant des hautes autorités du pays à l'occasion de la célébration de dates historiques et, notamment, celle relative au déclenchement de la révolution du 1er novembre 1954. Cependant il y a quelques jours des informations faisant état de sa probable candidature ont circulé avec insistance. De nombreux organes de la presse nationale, se faisant le relais de quelques membres de la famille révolutionnaire, des fils de chahid, particulièrement, qui lui ont rendu visite à Batna chez lui, ont évoqué l'éventualité de sa participation à l'élection présidentielle. Car, selon les hôtes de Zeroula, ce dernier aurait exprimé sa disponibilité à être candidat avec la condition, toutefois, que le peuple émet son souhait en ce sens. Des comités de soutien ont alors commencé à voir le jour sur l'ensemble du territoire national pour servir de tremplin à cette éventuelle candidature. Il a même été prévu d'organiser des rencontres regionales et locales, comme celle programmée à Annaba pour ce vendredi, en vue de soutenir cette hypothétique candidature. D'aucuns ont même avancé que ces comités ont réussi le pari de récolter déjà 100.000 signatures en un court laps de temps. Des hommes politiques, comme Abdelaziz Belkhadem qui a déclaré que « l'ex président a le droit d'être candidat », ont donné du crédit à cette probabilité. Mais finalement, avec ce ferme démenti de Liamine Zeroual, il s'est avéré que son éventuelle candidature, ne reposait que sur des informations tronquées. K. H.