L'équipe de handball a bien rempli son contrat en terminant invaincue durant le second tour comptant pour le championnat du monde 2009 qui se déroulent en croatie. Les Verts se sont ainsi imposés mardi face à la formation cubaine (34-27). Dans un bilan d'autant de victoires que de matches, Ils ont gagné quatre matches consécutifs devant l'Egypte (28-22), le Brésil (29-28), l'Arabie saoudite (30-27) et cuba (34-27); les hommes de Kamel Akkeb s'étaient présentés au tour du président de l'IHF avec d'autres arguments à faire valoir face à leurs concurrents. L'équipe de handball a bien rempli son contrat en terminant invaincue durant le second tour comptant pour le championnat du monde 2009 qui se déroulent en croatie. Les Verts se sont ainsi imposés mardi face à la formation cubaine (34-27). Dans un bilan d'autant de victoires que de matches, Ils ont gagné quatre matches consécutifs devant l'Egypte (28-22), le Brésil (29-28), l'Arabie saoudite (30-27) et cuba (34-27); les hommes de Kamel Akkeb s'étaient présentés au tour du président de l'IHF avec d'autres arguments à faire valoir face à leurs concurrents. Les Fennecs n'étaient pas en position de force avant le tour principal. Rendre une copie parfaite,relevait de l'utopie face aux habitués de la haute compétition. Voilà ce que les Verts avaient à coeur de réaliser, jeudi, au moment de dresser un premier bilan dans ce Mondial 2009. Sans préparation adéquate, nous pouvons dire que les algériens ont tenté l'aventure ou le «suicide collectif». Epuisés, sans préparation physique ou psychologique, et loin d'être assurés d'accéder au tour principal de la compétition, eu égard à la composante de son groupe de la Mort, le groupe C, les coéquipiers de Sassi Boultif voyaient débarquer devant eux l'Allemagne championne du monde en titre, la Pologne vice -champion, du monde, la Russie 4 fois championne du monde, la Macédoine l'adversaire, sans doute, le plus coriace de ce groupe et enfin la Tunisie principal rival maghrébin. Autant dire que ces journées du tour préliminaire étaient tout sauf une promenade de santé pour les troupes de Akkeb. Surtout que l'importance de ce tour dépassait clairement l'ampleur qu'on pouvait lui donner. En effet, la règle veut qu'une équipe qualifiée pour la seconde phase conserve les points glanés face aux formations qui l'accompagnent au tour suivant. Sans la moindre victoire, largement battue, l'Algérie n'avait donc pas l'opportunité d'aborder la suite du tournoi avec sérénité, ce qui constitue un matelas confortable avant d'envisager des échéances plus prestigieuses. Et son zéro pointé, les coéquipiers du capitaine Tahar Labane étaient bien décidés à ne pas faire une croix dessus pour ne pas sortir bredouilles et montrer qu'ils savaient jouer au handball. Pourtant, malgré un statut de sextuple champion d'Afrique qui oblige le respect du microcosme handball, l'entame du second tour, la coupe du président de l'IHF match est incontestablement à l'avantage des Fennecs. Emmenés par la star nationale Tahar Labane, les hommes de Kamel, Akkeb sortent victorieux de leur quatre confrontations, avec une super production face au champion d'Afrique sortant l'Egypte (28-22), en s'appuyant sur une muraille dans le but nommée Rabir. Le gardien repousse inexorablement la plupart des tentatives adverse gardant ainsi sa formation à portée d'un exploit tout en écoeurant les artificiers adverses. Mais l'attaque algérienne, pas préparée du tout pour ce mondial, ne fonctionne pas au même tempo que les autres formations et souffre d'inefficacité face aux adversaires toujours aussi impressionnants. Les Verts retrouvent leur jeu Conséquence, les algériens dos au mur, ne tardent pas à réagir, reprenant leur force l'avantage et retrouvant le rythme au fil des matches au score au moment même ou l'adversaire, bien préparée retrouve le ton. Bien en jambes, les algériens plient peu à peu devant la variété et la vitesse des offensives adverses pour finir par ne plus être déterminant. Mais, avec le courage et les consignes du coach, les coéquipiers de Layadi passent d'un honorable score à un cinglant pour l'adversaire. La différence de niveau est faite et celle de l'expérience ne sera jamais égalée.Avec victoires consécutives, les Verts semblent en passe de retrouver leur jeu. Et pour cause, les matches disputés face aux clients de ce second tour, ne sont tout de même pas , qu'une formalité, mettant en exergue la capacité des partenaires des formations adverses à gérer la marque. Elles étaient toutes menaçantes, jusque-là assez discrètes, pour réaliser des victoires précieuses dans ce tour de classement; Au final, les algériens donnés archi-battus s'imposent sans vraiment trembler et peuvent envisager la suite avec sérénité. Car s'ils ne se sont jamais eu peur de rencontrer les ténors de la petite balle ronde. Une bande de jeunes sous la baguette d'un capitaine courage, développant un jeu bien huilé qui leur permet de voir beaucoup plus loin. Le tout animé et articulé autour d'une véritable originalité, une base arrière composée exclusivement de jeunes d'à peine 20 ans. Le trio infernal composé par Abderahim Berriah-Omar Chabour-sassi Boultif a semblé trouver ses repères au fil des matches comme l'atteste leurs 5 réalisations chacun lors de chaque match et pourrait bien s'avérer être un casse-tête insolvable pour les futurs adversaires des verts lors de la prochaine CAN 2010, comme l'a signalé Kamel Akkeb en fin du match face à cuba. «Après nos première défaites, nous avons fait les changements qu'il fallait. Je peux dire que j'ai laissé une grande équipe, composée majoritairement de jeunes dont 13 qui n'ont jamais pris part à un mondial. Mon successeur n'a qu'à établir un programme pour préparer l'avenir, à la seule condition que les nouveaux locataires de la FAHB l'aide dans sa tâche. Les joueurs n'ont pas du tout l'intention de s'arrêter là, ils vont tenter d'aller jusqu'au bout pour ramener le prochain trophée». se réjouit-il. W. A. Les Fennecs n'étaient pas en position de force avant le tour principal. Rendre une copie parfaite,relevait de l'utopie face aux habitués de la haute compétition. Voilà ce que les Verts avaient à coeur de réaliser, jeudi, au moment de dresser un premier bilan dans ce Mondial 2009. Sans préparation adéquate, nous pouvons dire que les algériens ont tenté l'aventure ou le «suicide collectif». Epuisés, sans préparation physique ou psychologique, et loin d'être assurés d'accéder au tour principal de la compétition, eu égard à la composante de son groupe de la Mort, le groupe C, les coéquipiers de Sassi Boultif voyaient débarquer devant eux l'Allemagne championne du monde en titre, la Pologne vice -champion, du monde, la Russie 4 fois championne du monde, la Macédoine l'adversaire, sans doute, le plus coriace de ce groupe et enfin la Tunisie principal rival maghrébin. Autant dire que ces journées du tour préliminaire étaient tout sauf une promenade de santé pour les troupes de Akkeb. Surtout que l'importance de ce tour dépassait clairement l'ampleur qu'on pouvait lui donner. En effet, la règle veut qu'une équipe qualifiée pour la seconde phase conserve les points glanés face aux formations qui l'accompagnent au tour suivant. Sans la moindre victoire, largement battue, l'Algérie n'avait donc pas l'opportunité d'aborder la suite du tournoi avec sérénité, ce qui constitue un matelas confortable avant d'envisager des échéances plus prestigieuses. Et son zéro pointé, les coéquipiers du capitaine Tahar Labane étaient bien décidés à ne pas faire une croix dessus pour ne pas sortir bredouilles et montrer qu'ils savaient jouer au handball. Pourtant, malgré un statut de sextuple champion d'Afrique qui oblige le respect du microcosme handball, l'entame du second tour, la coupe du président de l'IHF match est incontestablement à l'avantage des Fennecs. Emmenés par la star nationale Tahar Labane, les hommes de Kamel, Akkeb sortent victorieux de leur quatre confrontations, avec une super production face au champion d'Afrique sortant l'Egypte (28-22), en s'appuyant sur une muraille dans le but nommée Rabir. Le gardien repousse inexorablement la plupart des tentatives adverse gardant ainsi sa formation à portée d'un exploit tout en écoeurant les artificiers adverses. Mais l'attaque algérienne, pas préparée du tout pour ce mondial, ne fonctionne pas au même tempo que les autres formations et souffre d'inefficacité face aux adversaires toujours aussi impressionnants. Les Verts retrouvent leur jeu Conséquence, les algériens dos au mur, ne tardent pas à réagir, reprenant leur force l'avantage et retrouvant le rythme au fil des matches au score au moment même ou l'adversaire, bien préparée retrouve le ton. Bien en jambes, les algériens plient peu à peu devant la variété et la vitesse des offensives adverses pour finir par ne plus être déterminant. Mais, avec le courage et les consignes du coach, les coéquipiers de Layadi passent d'un honorable score à un cinglant pour l'adversaire. La différence de niveau est faite et celle de l'expérience ne sera jamais égalée.Avec victoires consécutives, les Verts semblent en passe de retrouver leur jeu. Et pour cause, les matches disputés face aux clients de ce second tour, ne sont tout de même pas , qu'une formalité, mettant en exergue la capacité des partenaires des formations adverses à gérer la marque. Elles étaient toutes menaçantes, jusque-là assez discrètes, pour réaliser des victoires précieuses dans ce tour de classement; Au final, les algériens donnés archi-battus s'imposent sans vraiment trembler et peuvent envisager la suite avec sérénité. Car s'ils ne se sont jamais eu peur de rencontrer les ténors de la petite balle ronde. Une bande de jeunes sous la baguette d'un capitaine courage, développant un jeu bien huilé qui leur permet de voir beaucoup plus loin. Le tout animé et articulé autour d'une véritable originalité, une base arrière composée exclusivement de jeunes d'à peine 20 ans. Le trio infernal composé par Abderahim Berriah-Omar Chabour-sassi Boultif a semblé trouver ses repères au fil des matches comme l'atteste leurs 5 réalisations chacun lors de chaque match et pourrait bien s'avérer être un casse-tête insolvable pour les futurs adversaires des verts lors de la prochaine CAN 2010, comme l'a signalé Kamel Akkeb en fin du match face à cuba. «Après nos première défaites, nous avons fait les changements qu'il fallait. Je peux dire que j'ai laissé une grande équipe, composée majoritairement de jeunes dont 13 qui n'ont jamais pris part à un mondial. Mon successeur n'a qu'à établir un programme pour préparer l'avenir, à la seule condition que les nouveaux locataires de la FAHB l'aide dans sa tâche. Les joueurs n'ont pas du tout l'intention de s'arrêter là, ils vont tenter d'aller jusqu'au bout pour ramener le prochain trophée». se réjouit-il. W. A.