Durant l'année 2008, les services de la gendarmerie nationale ont enregistré 25.139 accidents de la circulation ayant causé le décès de 3.662 personnes et des blessures à 44.209 autres, soit une hausse de 932 accidents, 194 morts et 2.510 blessés, a précisé le colonel Kedour Djebar, commandant de la division de la sécurité routière du commandement de la gendarmerie nationale. Au titre des facteurs à l'origine des accidents de la circulation de la route, le comportement humain demeure le facteur causal prépondérant estimé à 87,76% du nombre global des accidents de la route. Les 12,24% restants incombent à l'état des véhicules et celui des routes et de l'environnement (5,33%). L'analyse des données statistiques des accidents de la circulation enregistrés au courant de l'année 2008, atteste que l'excès de vitesse demeure la cause principale prédominante dans les accidents de la route (4.612 accidents), en dépit d'une régression de 689 accidents par rapport à l'année précédente, représentant un taux de 13%. Elle est suivie par les dépassements dangereux avec 2.818 accidents, soit une régression de 74 accidents par rapport à l'année dernière, représentant un taux de 2,56%. La tranche d'âge la plus impliquée dans les accidents de la route, reste celle variant entre 25 et 29 ans, soit 7322 cas. Cette situation s'explique par le comportement à risque de ces conducteurs. Sur un total de 38.675 conducteurs impliqués dans les accidents de la circulation routière, il a été relevé 26.879 qui sont titulaires de permis de conduire de moins de 5 ans, représentant un taux de 69,5%. Le bilan comparatif des activités enregistrées dans le domaine de la sécurité routière par les unités de la gendarmerie durant l'année précédente par rapport à l'année 2007, fait ressortir qu'il a été enregistré 673.699 délits (+64.241) et 420.871 contraventions (+ 35.868), expliquera le conférencier avant de conclure que le bilan en matière d'accidents de la route de l'année dernière est critique et confirme une fois de plus le phénomène de l'insécurité routière reste toujours préoccupant. Durant l'année 2008, les services de la gendarmerie nationale ont enregistré 25.139 accidents de la circulation ayant causé le décès de 3.662 personnes et des blessures à 44.209 autres, soit une hausse de 932 accidents, 194 morts et 2.510 blessés, a précisé le colonel Kedour Djebar, commandant de la division de la sécurité routière du commandement de la gendarmerie nationale. Au titre des facteurs à l'origine des accidents de la circulation de la route, le comportement humain demeure le facteur causal prépondérant estimé à 87,76% du nombre global des accidents de la route. Les 12,24% restants incombent à l'état des véhicules et celui des routes et de l'environnement (5,33%). L'analyse des données statistiques des accidents de la circulation enregistrés au courant de l'année 2008, atteste que l'excès de vitesse demeure la cause principale prédominante dans les accidents de la route (4.612 accidents), en dépit d'une régression de 689 accidents par rapport à l'année précédente, représentant un taux de 13%. Elle est suivie par les dépassements dangereux avec 2.818 accidents, soit une régression de 74 accidents par rapport à l'année dernière, représentant un taux de 2,56%. La tranche d'âge la plus impliquée dans les accidents de la route, reste celle variant entre 25 et 29 ans, soit 7322 cas. Cette situation s'explique par le comportement à risque de ces conducteurs. Sur un total de 38.675 conducteurs impliqués dans les accidents de la circulation routière, il a été relevé 26.879 qui sont titulaires de permis de conduire de moins de 5 ans, représentant un taux de 69,5%. Le bilan comparatif des activités enregistrées dans le domaine de la sécurité routière par les unités de la gendarmerie durant l'année précédente par rapport à l'année 2007, fait ressortir qu'il a été enregistré 673.699 délits (+64.241) et 420.871 contraventions (+ 35.868), expliquera le conférencier avant de conclure que le bilan en matière d'accidents de la route de l'année dernière est critique et confirme une fois de plus le phénomène de l'insécurité routière reste toujours préoccupant.