«Le chemin à parcourir est encore long et les efforts à accomplir importants, les attentes des citoyens africains sont grandes et pressantes, mais les espoirs demeurent réels de mieux organiser notre action collective et mobiliser nos énergies pour une prise en charge de nos préoccupations », a déclaré le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dans une allocution lue lundi à Addis-Abeba, au nom du chef de l'Etat, par Abdelaziz Belkhadem, ministre d'Etat et représentant personnel du Président, lors de la clôture de la session « Développement des infrastructures en Afrique ». Le chef de l'Etat décèle « des signes encourageants, qui témoignent d'une volonté de prise en charge effective des défis posés par la problématique des infrastructures en Afrique, ». Ils se dégagent également, souligne-t-il « de l'attention de nos partenaires au développement et qui tend à reconnaître à cette question, l'importance qui lui revient dans toute stratégie de redressement durable de notre continent », rappelant le rôle central de ces secteurs en tant que facteurs fondamentaux pour l'activité et la croissance économiques, le commerce et l'investissement, l'interconnexion et l'intégration de l'Afrique et, par destination, l'amélioration des conditions de vie des populations africaines. Il rappelle également l'importance qui doit être attachée à la mobilisation des financements et investissements inhérents non seulement à la réalisation des infrastructures dont l'Afrique a un besoin vital mais, également, à l'entretien de celles déjà existantes ainsi qu'au renforcement des capacités techniques du continent. Convaincue que son propre développement ne pourrait être véritablement atteint sans un effet d'entraînement dans les pays voisins, en particulier du Sud, l'Algérie a lancé, a affirmé le président de la République « dès les premières années de son indépendance, le grand projet de construction de la route trans-saharienne, le projet de gazoduc transsaharien devant relier le Nigeria à l'Algérie et la pose de câbles de fibre optique le long de son tracé ». Consciente de l'importance stratégique des infrastructures, l'Algérie a engagé, dans ce domaine, a réaffirmé le chef de l'Etat, « de vastes chantiers pour asseoir son projet de développement socioéconomique». Pour Abdelaziz Bouteflika, « la prise de conscience de nos pays, de l'importance à accorder aux infrastructures et les efforts consentis aux niveaux national et régional, n'ont pas permis encore de relever le défi qui se pose à l'Afrique dans ce domaine », tant il est vrai, souligne-t-il que « notre continent n'a pas pu combler le déficit existant en matière d'infrastructures de transports et d'énergie et hypothéquant sérieusement les chances de son développement, ni réussi à mobiliser les financements nécessaires pour rattraper le retard accumulé ». Pour réaliser nos objectifs communs et lever les barrières physiques qui entravent encore le développement de notre continent et son intégration, le Chef de l'Etat, juge qu' « il est indispensable, pour nous, de promouvoir des instruments de financement novateurs pour accélérer la construction des infrastructures de transports et d'énergie », mettant en exergue le soutien nécessaire de la Banque Mondiale, de l'Union Européenne et de tous les partenaires au développement aux efforts que les pays africains déploient individuellement ou collectivement, dans le cadre de la Commission de l'Union Africaine, du NEPAD, des Communautés économiques régionales et de la Banque Africaine de Développement. Le chef de l'Etat déclare que « les partenaires traditionnels avec lesquels nous avons engagé un dialogue depuis de nombreuses années sur la question des infrastructures et qui se sont engagés à nous accompagner dans nos efforts de développement de ce secteur, sont en mesure d'apporter une contribution de taille à notre continent, surtout du fait d'une crise financière internationale dont les effets se feront ressentir plus durement encore en Afrique ». «Le chemin à parcourir est encore long et les efforts à accomplir importants, les attentes des citoyens africains sont grandes et pressantes, mais les espoirs demeurent réels de mieux organiser notre action collective et mobiliser nos énergies pour une prise en charge de nos préoccupations », a déclaré le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dans une allocution lue lundi à Addis-Abeba, au nom du chef de l'Etat, par Abdelaziz Belkhadem, ministre d'Etat et représentant personnel du Président, lors de la clôture de la session « Développement des infrastructures en Afrique ». Le chef de l'Etat décèle « des signes encourageants, qui témoignent d'une volonté de prise en charge effective des défis posés par la problématique des infrastructures en Afrique, ». Ils se dégagent également, souligne-t-il « de l'attention de nos partenaires au développement et qui tend à reconnaître à cette question, l'importance qui lui revient dans toute stratégie de redressement durable de notre continent », rappelant le rôle central de ces secteurs en tant que facteurs fondamentaux pour l'activité et la croissance économiques, le commerce et l'investissement, l'interconnexion et l'intégration de l'Afrique et, par destination, l'amélioration des conditions de vie des populations africaines. Il rappelle également l'importance qui doit être attachée à la mobilisation des financements et investissements inhérents non seulement à la réalisation des infrastructures dont l'Afrique a un besoin vital mais, également, à l'entretien de celles déjà existantes ainsi qu'au renforcement des capacités techniques du continent. Convaincue que son propre développement ne pourrait être véritablement atteint sans un effet d'entraînement dans les pays voisins, en particulier du Sud, l'Algérie a lancé, a affirmé le président de la République « dès les premières années de son indépendance, le grand projet de construction de la route trans-saharienne, le projet de gazoduc transsaharien devant relier le Nigeria à l'Algérie et la pose de câbles de fibre optique le long de son tracé ». Consciente de l'importance stratégique des infrastructures, l'Algérie a engagé, dans ce domaine, a réaffirmé le chef de l'Etat, « de vastes chantiers pour asseoir son projet de développement socioéconomique». Pour Abdelaziz Bouteflika, « la prise de conscience de nos pays, de l'importance à accorder aux infrastructures et les efforts consentis aux niveaux national et régional, n'ont pas permis encore de relever le défi qui se pose à l'Afrique dans ce domaine », tant il est vrai, souligne-t-il que « notre continent n'a pas pu combler le déficit existant en matière d'infrastructures de transports et d'énergie et hypothéquant sérieusement les chances de son développement, ni réussi à mobiliser les financements nécessaires pour rattraper le retard accumulé ». Pour réaliser nos objectifs communs et lever les barrières physiques qui entravent encore le développement de notre continent et son intégration, le Chef de l'Etat, juge qu' « il est indispensable, pour nous, de promouvoir des instruments de financement novateurs pour accélérer la construction des infrastructures de transports et d'énergie », mettant en exergue le soutien nécessaire de la Banque Mondiale, de l'Union Européenne et de tous les partenaires au développement aux efforts que les pays africains déploient individuellement ou collectivement, dans le cadre de la Commission de l'Union Africaine, du NEPAD, des Communautés économiques régionales et de la Banque Africaine de Développement. Le chef de l'Etat déclare que « les partenaires traditionnels avec lesquels nous avons engagé un dialogue depuis de nombreuses années sur la question des infrastructures et qui se sont engagés à nous accompagner dans nos efforts de développement de ce secteur, sont en mesure d'apporter une contribution de taille à notre continent, surtout du fait d'une crise financière internationale dont les effets se feront ressentir plus durement encore en Afrique ».