Spécialisée dans les conseils en ressources humaines et en recrutement, prônant le développement de la matière grise comme principal outil dans la stratégie d'entreprise en tant que meilleur capital et un bon investissement, Valérie Barbe, manager au groupe Solic-Algérie, répond en toute simplicité à nos questions. Elle estime que les compétences algériennes sont importantes et pourront apporter beaucoup à l'économie nationale. Son objectif en Algérie consiste à aider les entreprises algériennes à se hisser à un niveau supérieur de gestion tout en maintenant leur compétitivité. Aussi, l'un des soucis majeurs de valérie Barbe, est de savoir garder les compétences et les fidéliser dans les entreprises. Spécialisée dans les conseils en ressources humaines et en recrutement, prônant le développement de la matière grise comme principal outil dans la stratégie d'entreprise en tant que meilleur capital et un bon investissement, Valérie Barbe, manager au groupe Solic-Algérie, répond en toute simplicité à nos questions. Elle estime que les compétences algériennes sont importantes et pourront apporter beaucoup à l'économie nationale. Son objectif en Algérie consiste à aider les entreprises algériennes à se hisser à un niveau supérieur de gestion tout en maintenant leur compétitivité. Aussi, l'un des soucis majeurs de valérie Barbe, est de savoir garder les compétences et les fidéliser dans les entreprises. Midi Libre : Quelle est la mission poursuivie par le groupe Solic en Algérie ? Valérie Barbe : Le Groupe Solic-Algérie, qui est un bureau Conseil en ressources humaines et recrutement, est présent en Algérie depuis deux années. C'est une filiale d'une entreprise française travaillant dans le domaine du recrutement et du placement, ainsi que le perfectionnement et la formation et le conseil en ressources humaines. Donc, nous intervenons dans tout ce qui concerne le recrutement et nous sommes spécialisés dans un secteur qu'on appelle les postes difficiles à pourvoir, parce que ce sont, soit des postes de direction, soit des postes où les ressources sont limitées en Algérie. Nous sommes en coopération avec nos clients pour leur trouver ce genre de personnels qualifiés et compétents. Quel genre de personnels recrutez-vous et pour quelles entreprises algériennes ? Nous pourvoyons l'entreprise algérienne de l'électricité et du gaz, Sonelgaz, dans des postes aisés de directeurs commerciaux avec comme objectif de placer, d'abord et toujours des personnels algériens, et dans un deuxième temps cela peut être, par exemple un électromécanicien. Un bon électromécanicien est une denrée qui n'est pas facile à trouver en Algérie. On peut donc les aider sur ce genre de poste. Pensez-vous que le marché du travail algérien est pourvu en compétences ? Les compétences existent, le problème est de savoir les dénicher et les localiser. A l'heure actuelle, le marché n'est pas structuré comme il le faut. Les gens ne sont pas habitués à lire les annonces et à lire exactement tout ce qui correspond à leur profil. Des annonces, nombreuses, sont passées dans les journaux par exemple, mais elles ne correspondent pas à ce qu'ils cherchent. Nous avons une approche différente, qui consiste à aller contacter directement les personnes concernées par le recrutement sachant qu'elles possèdent les compétences sollicitées. Avez-vous déjà trouvé ces profils stratégiques dans les entreprises algériennes ? Si nous sommes en Algérie depuis deux années, c'est que nous avons réussi à remplir les contrats que nous avons signés, tels que la Société Générale Algérie, la firme pétrolière française Total et le groupe Hasnaoui. Voilà le genre de sociétés avec lesquelles nous travaillons. Quel est le message que vous transmettez aux entrepreneurs algériens en vue d'une coopération ? Il n'y a aucun problème, nous sommes là pour eux, mais ce que je souhaite avoir, ce sont les gens avec lesquels nous pouvons faire du partenariat. Un client c'est bien, néanmoins, si c'est pour avoir une mission ambiguë, cela ne m'intéresse pas. Ce qui m'intéresse, c'est de connaître des entreprises pour répondre correctement à leurs besoins, que ce soit en recrutement ou en conseil en ressources humaines. Intervenez-vous en algérie en vue de faciliter l'intégration des compétences nationales dans le marché international ? Le marché mondial existe, mais nous sommes une entreprise de droit algérien oeuvrant en Algérie avec des compétences algériennes et pour des entreprises algériennes. En somme, nous voulons aider les entreprises de ce pays à se pourvoir en cadres de haut niveau pour la gestion. Je ne suis pas habilitée à exporter des compétences à l'extérieur, je suis plutôt là pour faire en sorte que les compétences qui sont sur place restent et s'épanouissent dans leur pays. Nous ne sommes pas là pour épier les compétences algériennes. Propos recueillis par A. A. Midi Libre : Quelle est la mission poursuivie par le groupe Solic en Algérie ? Valérie Barbe : Le Groupe Solic-Algérie, qui est un bureau Conseil en ressources humaines et recrutement, est présent en Algérie depuis deux années. C'est une filiale d'une entreprise française travaillant dans le domaine du recrutement et du placement, ainsi que le perfectionnement et la formation et le conseil en ressources humaines. Donc, nous intervenons dans tout ce qui concerne le recrutement et nous sommes spécialisés dans un secteur qu'on appelle les postes difficiles à pourvoir, parce que ce sont, soit des postes de direction, soit des postes où les ressources sont limitées en Algérie. Nous sommes en coopération avec nos clients pour leur trouver ce genre de personnels qualifiés et compétents. Quel genre de personnels recrutez-vous et pour quelles entreprises algériennes ? Nous pourvoyons l'entreprise algérienne de l'électricité et du gaz, Sonelgaz, dans des postes aisés de directeurs commerciaux avec comme objectif de placer, d'abord et toujours des personnels algériens, et dans un deuxième temps cela peut être, par exemple un électromécanicien. Un bon électromécanicien est une denrée qui n'est pas facile à trouver en Algérie. On peut donc les aider sur ce genre de poste. Pensez-vous que le marché du travail algérien est pourvu en compétences ? Les compétences existent, le problème est de savoir les dénicher et les localiser. A l'heure actuelle, le marché n'est pas structuré comme il le faut. Les gens ne sont pas habitués à lire les annonces et à lire exactement tout ce qui correspond à leur profil. Des annonces, nombreuses, sont passées dans les journaux par exemple, mais elles ne correspondent pas à ce qu'ils cherchent. Nous avons une approche différente, qui consiste à aller contacter directement les personnes concernées par le recrutement sachant qu'elles possèdent les compétences sollicitées. Avez-vous déjà trouvé ces profils stratégiques dans les entreprises algériennes ? Si nous sommes en Algérie depuis deux années, c'est que nous avons réussi à remplir les contrats que nous avons signés, tels que la Société Générale Algérie, la firme pétrolière française Total et le groupe Hasnaoui. Voilà le genre de sociétés avec lesquelles nous travaillons. Quel est le message que vous transmettez aux entrepreneurs algériens en vue d'une coopération ? Il n'y a aucun problème, nous sommes là pour eux, mais ce que je souhaite avoir, ce sont les gens avec lesquels nous pouvons faire du partenariat. Un client c'est bien, néanmoins, si c'est pour avoir une mission ambiguë, cela ne m'intéresse pas. Ce qui m'intéresse, c'est de connaître des entreprises pour répondre correctement à leurs besoins, que ce soit en recrutement ou en conseil en ressources humaines. Intervenez-vous en algérie en vue de faciliter l'intégration des compétences nationales dans le marché international ? Le marché mondial existe, mais nous sommes une entreprise de droit algérien oeuvrant en Algérie avec des compétences algériennes et pour des entreprises algériennes. En somme, nous voulons aider les entreprises de ce pays à se pourvoir en cadres de haut niveau pour la gestion. Je ne suis pas habilitée à exporter des compétences à l'extérieur, je suis plutôt là pour faire en sorte que les compétences qui sont sur place restent et s'épanouissent dans leur pays. Nous ne sommes pas là pour épier les compétences algériennes. Propos recueillis par A. A.