Ould-Abbès, qui veut axer cette campagne de sensibilisation en direction des jeunes et des femmes a plaidé pour accomplir «le devoir électoral». Ould-Abbès, qui veut axer cette campagne de sensibilisation en direction des jeunes et des femmes a plaidé pour accomplir «le devoir électoral». Le ministère de la Solidarité, de la Famille et la Communauté nationale à l'étranger a pris le relais du ministère de l'Intérieur et a, à son tour, entamé une vaste campagne en direction des citoyens en vue de les sensibiliser sur la nécessité de s'inscrire sur les listes électorales. Djamel Ould-Abbès à d'ores et déjà entrepris de mobiliser l'ensemble des moyens de son département ministériel pour les mettre à la disposition des associations à caractère humanitaire et social. Car toute la démarche de Ould-abbès, qui a promis de fournir la logistique, repose sur la mobilisation des associations qui sont le fer de lance de cette campagne de sensibilisation. L'objectif avoué de cette dernière consiste à assurer le meilleur taux de participation possible à la prochaine élection présidentielle du mois d'avril. Ould-Abbès, qui veut axer cette campagne de sensibilisation en direction des jeunes et des femmes et qui a présidé à la fin de la semaine passée une importante réunion du mouvement associatif, a plaidé pour la nécessité pour ces deux catégories du corps social d'accomplir « le devoir électoral ». D'ores et déjà, de nombreuses associations ont promis d'intensifier leurs activités et certaines d'entre elles ont même prévu d'organiser des journées portes ouvertes autour de cette problématique. A ce titre, le commandant général des SMA (Scouts musulmans algériens), Nouredine Benbraham, a lui aussi pris son bâton de pèlerin pour inciter les jeunes et moins jeunes à aller voter le jour du scrutin. Ce week-end, à partir de la wilaya de Tiaret, il a en effet donné le coup d'envoi d'une campagne de sensibilisation en promettant de mobiliser toutes les structures de son organisation pour sa réussite. Il faut dire que le ministère de l'Intérieur a initié une vaste campagne de sensibilisation qui s'est achevée il y a juste quelques jours. Le département de Nouredine Yazid Zerhouni a misé sur des équipes féminines pour mener à bien cette mission. Ces équipes, qui ont touché presque 1,5 million de foyers, ont fait un inlassable travail qui a donné une entière satisfaction au premier responsable du département de l'Intérieur. Zerhouni a déclaré tout récemment que cette opération a surtout permis de corriger certaines anomalies dans les listes électorales, puisque des milliers de citoyens ont changé leur lieu d'habitation. Il a fallu faire du porte-à-porte. Il a aussi été question, dans le cadre de cette campagne, de coller des affiches sur des panneaux publicitaires portant le slogan : «Ne laissez pas les autres décider à votre place.» A l'évidence, cette succession de campagnes de sensibilisation est l'expression de la grande crainte des autorités face à la perspective d'un taux d'abstention élevé lors de la présidentielle. Edifiées par l'expérience des législatives de mai 2007, où le taux de participation n'a pas dépassé les 35%, les autorités ne veulent pas la réédition de ce scénario qui a eu moult conséquences tant, à titre d'exemple, certains acteurs politiques, proclament ouvertement que l'APN manque de légitimité et demandent des législatives anticipées. A. S. Le ministère de la Solidarité, de la Famille et la Communauté nationale à l'étranger a pris le relais du ministère de l'Intérieur et a, à son tour, entamé une vaste campagne en direction des citoyens en vue de les sensibiliser sur la nécessité de s'inscrire sur les listes électorales. Djamel Ould-Abbès à d'ores et déjà entrepris de mobiliser l'ensemble des moyens de son département ministériel pour les mettre à la disposition des associations à caractère humanitaire et social. Car toute la démarche de Ould-abbès, qui a promis de fournir la logistique, repose sur la mobilisation des associations qui sont le fer de lance de cette campagne de sensibilisation. L'objectif avoué de cette dernière consiste à assurer le meilleur taux de participation possible à la prochaine élection présidentielle du mois d'avril. Ould-Abbès, qui veut axer cette campagne de sensibilisation en direction des jeunes et des femmes et qui a présidé à la fin de la semaine passée une importante réunion du mouvement associatif, a plaidé pour la nécessité pour ces deux catégories du corps social d'accomplir « le devoir électoral ». D'ores et déjà, de nombreuses associations ont promis d'intensifier leurs activités et certaines d'entre elles ont même prévu d'organiser des journées portes ouvertes autour de cette problématique. A ce titre, le commandant général des SMA (Scouts musulmans algériens), Nouredine Benbraham, a lui aussi pris son bâton de pèlerin pour inciter les jeunes et moins jeunes à aller voter le jour du scrutin. Ce week-end, à partir de la wilaya de Tiaret, il a en effet donné le coup d'envoi d'une campagne de sensibilisation en promettant de mobiliser toutes les structures de son organisation pour sa réussite. Il faut dire que le ministère de l'Intérieur a initié une vaste campagne de sensibilisation qui s'est achevée il y a juste quelques jours. Le département de Nouredine Yazid Zerhouni a misé sur des équipes féminines pour mener à bien cette mission. Ces équipes, qui ont touché presque 1,5 million de foyers, ont fait un inlassable travail qui a donné une entière satisfaction au premier responsable du département de l'Intérieur. Zerhouni a déclaré tout récemment que cette opération a surtout permis de corriger certaines anomalies dans les listes électorales, puisque des milliers de citoyens ont changé leur lieu d'habitation. Il a fallu faire du porte-à-porte. Il a aussi été question, dans le cadre de cette campagne, de coller des affiches sur des panneaux publicitaires portant le slogan : «Ne laissez pas les autres décider à votre place.» A l'évidence, cette succession de campagnes de sensibilisation est l'expression de la grande crainte des autorités face à la perspective d'un taux d'abstention élevé lors de la présidentielle. Edifiées par l'expérience des législatives de mai 2007, où le taux de participation n'a pas dépassé les 35%, les autorités ne veulent pas la réédition de ce scénario qui a eu moult conséquences tant, à titre d'exemple, certains acteurs politiques, proclament ouvertement que l'APN manque de légitimité et demandent des législatives anticipées. A. S.