Les élections de la Ligue nationale de football (LNF) et de la Fédération algérienne de football (FAF) prévues conjointement aujourd'hui à l'hôtel Riadh de sidi Fredj (Satouéli) ne serait qu'une simple formalité pour les membres des deux assemblées générales électives puisqu'on s'attend au retour de Mohamed Mecherara à la tête de la LNF et Mohamed Raouraoua à la tête de la FAF. Les élections de la Ligue nationale de football (LNF) et de la Fédération algérienne de football (FAF) prévues conjointement aujourd'hui à l'hôtel Riadh de sidi Fredj (Satouéli) ne serait qu'une simple formalité pour les membres des deux assemblées générales électives puisqu'on s'attend au retour de Mohamed Mecherara à la tête de la LNF et Mohamed Raouraoua à la tête de la FAF. Il est vrai que si pour Raouraoua, l'opération est très simple puisqu'il est d'abord l'unique candidat à la succession de M. Haddadj et ensuite, car il a été «demandé» par la famille du football pour revenir aux affaires de l'instance fédérale, mais pour la LNF, deux candidats ont postulé au poste de président et il s'agit de Ali Malek, le président sortant et Mohamed Mecherara. Dans la pratique, il faut attendre les résultats définitifs pour se fixer sur le prochain président de la LNF, mais sur le plan théorique et au vu de l'environnement du football algérien, Malek n'a vraiment pas de chance face à Mecherara. D'abord parce que Mecherara a été « indirectement » demandé pour revenir aux affaires de la LNF, tout comme Mohamed Raouraoua pour la FAF et comme les deux hommes ont travaillé ensemble dans les mêmes postes, on voit mal comment Ali Malek va réussir à s'intercaler entre les deux pour avoir les voix des mêmes électeurs. De plus, Certains membres de l'AG de la LNF ont fait des pieds et des mains pour écarter Ali Malek de la LNF. D'ailleurs, il a fallu une décision fédérale pour le remplacer lors de sa fin de mandat pour laisser place à un comité directeur provisoire. Par ailleurs, les acteurs du football algérien et même ceux qui ont participé aux départs de Mecherara et Raouraoua des deux instances du football algérien en 2004, reconnaissent, quatre ans après, les compétences des deux personnalités dans la gestion des affaires de la discipline, d'où la logique de leur réélection respectivement à la tête de la LNF et de la FAF, après une coupure d'un mandat. S. B. Il est vrai que si pour Raouraoua, l'opération est très simple puisqu'il est d'abord l'unique candidat à la succession de M. Haddadj et ensuite, car il a été «demandé» par la famille du football pour revenir aux affaires de l'instance fédérale, mais pour la LNF, deux candidats ont postulé au poste de président et il s'agit de Ali Malek, le président sortant et Mohamed Mecherara. Dans la pratique, il faut attendre les résultats définitifs pour se fixer sur le prochain président de la LNF, mais sur le plan théorique et au vu de l'environnement du football algérien, Malek n'a vraiment pas de chance face à Mecherara. D'abord parce que Mecherara a été « indirectement » demandé pour revenir aux affaires de la LNF, tout comme Mohamed Raouraoua pour la FAF et comme les deux hommes ont travaillé ensemble dans les mêmes postes, on voit mal comment Ali Malek va réussir à s'intercaler entre les deux pour avoir les voix des mêmes électeurs. De plus, Certains membres de l'AG de la LNF ont fait des pieds et des mains pour écarter Ali Malek de la LNF. D'ailleurs, il a fallu une décision fédérale pour le remplacer lors de sa fin de mandat pour laisser place à un comité directeur provisoire. Par ailleurs, les acteurs du football algérien et même ceux qui ont participé aux départs de Mecherara et Raouraoua des deux instances du football algérien en 2004, reconnaissent, quatre ans après, les compétences des deux personnalités dans la gestion des affaires de la discipline, d'où la logique de leur réélection respectivement à la tête de la LNF et de la FAF, après une coupure d'un mandat. S. B.