Le numéro un du Front de libération nationale a une fois de plus rappelé les évènements tragiques de Marrakech qui ont concouru à la fermeture des frontières et l'instauration du visa pour les ressortissants Algériens par la Maroc. Le numéro un du Front de libération nationale a une fois de plus rappelé les évènements tragiques de Marrakech qui ont concouru à la fermeture des frontières et l'instauration du visa pour les ressortissants Algériens par la Maroc. «L'Algérie n'est pas responsable de la fermeture des frontières terrestres avec le Maroc ». C'est en ces termes que le secrétaire général de l'Instance exécutive du FLN, Abdelaziz Belkhadem, a réitéré la position officielle de notre pays, relative à ce dossier. Invité au Forum de l'ENTV, le numéro un du Front de libération nationale a une fois de plus rappelé les évènements tragiques de Marrakech qui ont concouru à la fermeture des frontières et l'instauration du visa pour les ressortissants Algériens par la Maroc. Bon nombre d'observateurs avaient, suite à ce geste incompréhensible et inattendu, estimé que les maladresses du Makhzen allaient encore une fois se retourner contre les marocains eux-mêmes.Notons qu'à l'époque, cette énième trahison des décideurs marocains a eu des conséquences incalculables. En effet, par ce geste d'inimitié, le Maroc, frère pourtant, a aggravé l'isolement dans lequel notre pays était confiné. « C'est la France qui a innocenté l'Algérie », a rappelé Belkhadem. En diplomate chevronné, doublé d'euphémisme pour la circonstance, il a tout de même rejoint les observateurs, en déplorant qu' «à l'époque et au moment où l'Algérie s'attendait à un soutien fort de ses frères marocains, ces derniers se sont avisés de faire de l'Algérie un laboratoire et l'ont même accusé d'exporter le terrorisme». Rien que pour cela, a pu dire notre ancien chef de la diplomatie, «Il n'y aura pas de réouverture des frontières sans un accord sur certains points, notamment, la coopération dans la lutte contre le terrorisme et la drogue et l'émigration clandestine ». Enfin en abordant la construction de l'UMA (Union du Maghreb Arabe), le patron du FLN a rappelé que c'était là le rêve de tous les maghrébins en évitant soigneusement d'aborder le sujet qui fâche : le Sahara occidental. Samedi soir, le nouvel envoyé personnel du secrétaire général de l'Onu au Sahara occidental, M. Christopher Ross, rencontrait dans les camps de réfugiés sahraouis des représentants du front Polisario. Vendredi dernier, le nouvel envoyé spécial des Nations unies pour le Sahara Occidental qui a qualifié d'extrêmement importante sa mission pour relancer les négociations sur l'avenir de ce territoire, avait été reçu par le roi Mohammed VI du Maroc. La tournée de Ross dans les pays du Maghreb s'inscrit dans le cadre de la relance des négociations entre les deux parties en conflit, le Maroc et le Front Polisario. L. B. «L'Algérie n'est pas responsable de la fermeture des frontières terrestres avec le Maroc ». C'est en ces termes que le secrétaire général de l'Instance exécutive du FLN, Abdelaziz Belkhadem, a réitéré la position officielle de notre pays, relative à ce dossier. Invité au Forum de l'ENTV, le numéro un du Front de libération nationale a une fois de plus rappelé les évènements tragiques de Marrakech qui ont concouru à la fermeture des frontières et l'instauration du visa pour les ressortissants Algériens par la Maroc. Bon nombre d'observateurs avaient, suite à ce geste incompréhensible et inattendu, estimé que les maladresses du Makhzen allaient encore une fois se retourner contre les marocains eux-mêmes.Notons qu'à l'époque, cette énième trahison des décideurs marocains a eu des conséquences incalculables. En effet, par ce geste d'inimitié, le Maroc, frère pourtant, a aggravé l'isolement dans lequel notre pays était confiné. « C'est la France qui a innocenté l'Algérie », a rappelé Belkhadem. En diplomate chevronné, doublé d'euphémisme pour la circonstance, il a tout de même rejoint les observateurs, en déplorant qu' «à l'époque et au moment où l'Algérie s'attendait à un soutien fort de ses frères marocains, ces derniers se sont avisés de faire de l'Algérie un laboratoire et l'ont même accusé d'exporter le terrorisme». Rien que pour cela, a pu dire notre ancien chef de la diplomatie, «Il n'y aura pas de réouverture des frontières sans un accord sur certains points, notamment, la coopération dans la lutte contre le terrorisme et la drogue et l'émigration clandestine ». Enfin en abordant la construction de l'UMA (Union du Maghreb Arabe), le patron du FLN a rappelé que c'était là le rêve de tous les maghrébins en évitant soigneusement d'aborder le sujet qui fâche : le Sahara occidental. Samedi soir, le nouvel envoyé personnel du secrétaire général de l'Onu au Sahara occidental, M. Christopher Ross, rencontrait dans les camps de réfugiés sahraouis des représentants du front Polisario. Vendredi dernier, le nouvel envoyé spécial des Nations unies pour le Sahara Occidental qui a qualifié d'extrêmement importante sa mission pour relancer les négociations sur l'avenir de ce territoire, avait été reçu par le roi Mohammed VI du Maroc. La tournée de Ross dans les pays du Maghreb s'inscrit dans le cadre de la relance des négociations entre les deux parties en conflit, le Maroc et le Front Polisario. L. B.