A l'horizon 2025-2030, 15% de l'électricité sera générée à partir de l'éolien et du solaire. Pour le ministre de l'Energie et des Mines, 60% des énergies nouvelles renouvelables viendraient du solaire. Le reste viendrait de l'éolien et du nucléaire» A l'horizon 2025-2030, 15% de l'électricité sera générée à partir de l'éolien et du solaire. Pour le ministre de l'Energie et des Mines, 60% des énergies nouvelles renouvelables viendraient du solaire. Le reste viendrait de l'éolien et du nucléaire» A l'horizon 2025-2030, 15% de l'électricité sera générée à partir de l'éolien et du solaire. Cela peut être considéré comme un délai lointain, mais pour le ministre de l'Energie et des Mines, «l'Algérie a le temps, les réserves en gaz et en pétrole sont importantes. Cela nous donne du temps pour passer aux énergies renouvelables». 60% des énergies nouvelles renouvelables viendraient du solaire. Le reste viendrait de l'éolien et du nucléaire» a expliqué Chakib Khellil hier sur les ondes de la chaîne III. A vrai dire, assurer la sécurité énergétique par la promotion des énergies renouvelables, c'est aujourd'hui une option qui s'impose à notre pays. Les avantages économiques et environnementaux de ce choix sont indéniables. Une option pour laquelle l'Algérie a déjà fait beaucoup de choses, notamment sur le plan des lois. Pour Chakib Khellil, le développement des énergies renouvelables telles que le solaire et l'éolien est faisable et possible. «Le problème réside dans le prix du solaire qui revient cher chez nous. Il n'est pas économique pour les ménages». Pour cela, il faut, selon le ministre, « trouver les moyens d'introduire les lampes à basse consommation et les chauffe-eau solaires par des crédits, mais aussi par le biais d'un fonds qui a été mis en place par l'APRUE qui va faciliter l'utilisation des ces nouvelles sources d'énergie». Pour ce qui est de la production industrielle de l'énergie solaire, les choses sont plus concrètes «Une centrale d'énergie hybride (solaire-gaz) est en cours de construction à Hassi R'mel pour une production de 150 mega watt. 35% de la capacité de cette centrale est a base solaire». Il s'agit selon chakib khelli d'un laboratoire qui va nous permettre de développer cette technologie, mais surtout de développer le stockage de cette énergie solaire dans la journée pour pouvoir l'utiliser le soir. C'est le défi actuellement, et à cela s'ajoute la recherche et le développement de cette technologie. Nucléaire : L'Algérie aura sa première centrale vers 2020 C'est l'Objectif de notre pays qui construira une centrale nucléaire tous les 5 ans. C'est ce qu'a indiqué le ministre de l'Energie et des Mines sur les ondes de la radio. Chakib khelli a indiqué que l'Algérie a des accords dans ce domaine avec plusieurs pays dont l'Argentine, les USA, la France, la Chine, la Russie et l'Afrique du Sud «.Ce ne sont pas les accords qui manquent, ce qu'il faut, c'est une loi nucléaire qui organise le secteur». A ce sujet, le ministre du secteur a rappelé qu'une loi circule actuellement dans les différents ministères. Une loi qui sera bientôt adoptée et approuvée par le gouvernement et le Parlement. Cette loi va organiser le secteur en une agence de sûreté et de sécurité nucléaire de l'Etat, ou encore une société de développement et de recherche nucléaire. Cette loi va superviser et contrôler l'utilisation de l'énergie nucléaire. Encourager le GPL carburant et réduire la facture de l'importation du diesel Encourager l'utilisation du GPL carburant en tant qu'énergie propre par des prix attractifs, est la politique actuelle de l'Etat. Les stations d'essence ont été également encouragées, à travers différentes lois de finance, à s'équiper dans ce sens. Parallèlement à cela, le ministre de l'Energie et des mines a tenu à préciser qu'il faut décourager l'importation, l'achat et donc l'utilisation des voitures diesel. Des augmentations du prix du diesel ont été déjà été opérées et d'autres suivront. La facture d'importation du Diesel est estimée à 200 millions de $. Une facture qui risque d'augmenter, selon le ministre. 30 milliards de dollars à la fin de l'année Les revenus petroliers réalisés par l'Algérie en 2008 ont été exceptionnels: 76 milliards de $. En 2007, ceux-ci ont été évalués à 60 milliards de $. Ces revenus sont les plus importants dans l'histoire de l'Algérie. C'est la raison pour laquelle, il ne faut pas comparer les revenus des prochains exercices à ceux de ces deux dernières années, a précisé Chakib Khellil qui a indiqué que «si les prix restent à ce stade, nous terminerons l'année avec 30 milliards de dollars, ce qui n'est pas mal». R.N. A l'horizon 2025-2030, 15% de l'électricité sera générée à partir de l'éolien et du solaire. Cela peut être considéré comme un délai lointain, mais pour le ministre de l'Energie et des Mines, «l'Algérie a le temps, les réserves en gaz et en pétrole sont importantes. Cela nous donne du temps pour passer aux énergies renouvelables». 60% des énergies nouvelles renouvelables viendraient du solaire. Le reste viendrait de l'éolien et du nucléaire» a expliqué Chakib Khellil hier sur les ondes de la chaîne III. A vrai dire, assurer la sécurité énergétique par la promotion des énergies renouvelables, c'est aujourd'hui une option qui s'impose à notre pays. Les avantages économiques et environnementaux de ce choix sont indéniables. Une option pour laquelle l'Algérie a déjà fait beaucoup de choses, notamment sur le plan des lois. Pour Chakib Khellil, le développement des énergies renouvelables telles que le solaire et l'éolien est faisable et possible. «Le problème réside dans le prix du solaire qui revient cher chez nous. Il n'est pas économique pour les ménages». Pour cela, il faut, selon le ministre, « trouver les moyens d'introduire les lampes à basse consommation et les chauffe-eau solaires par des crédits, mais aussi par le biais d'un fonds qui a été mis en place par l'APRUE qui va faciliter l'utilisation des ces nouvelles sources d'énergie». Pour ce qui est de la production industrielle de l'énergie solaire, les choses sont plus concrètes «Une centrale d'énergie hybride (solaire-gaz) est en cours de construction à Hassi R'mel pour une production de 150 mega watt. 35% de la capacité de cette centrale est a base solaire». Il s'agit selon chakib khelli d'un laboratoire qui va nous permettre de développer cette technologie, mais surtout de développer le stockage de cette énergie solaire dans la journée pour pouvoir l'utiliser le soir. C'est le défi actuellement, et à cela s'ajoute la recherche et le développement de cette technologie. Nucléaire : L'Algérie aura sa première centrale vers 2020 C'est l'Objectif de notre pays qui construira une centrale nucléaire tous les 5 ans. C'est ce qu'a indiqué le ministre de l'Energie et des Mines sur les ondes de la radio. Chakib khelli a indiqué que l'Algérie a des accords dans ce domaine avec plusieurs pays dont l'Argentine, les USA, la France, la Chine, la Russie et l'Afrique du Sud «.Ce ne sont pas les accords qui manquent, ce qu'il faut, c'est une loi nucléaire qui organise le secteur». A ce sujet, le ministre du secteur a rappelé qu'une loi circule actuellement dans les différents ministères. Une loi qui sera bientôt adoptée et approuvée par le gouvernement et le Parlement. Cette loi va organiser le secteur en une agence de sûreté et de sécurité nucléaire de l'Etat, ou encore une société de développement et de recherche nucléaire. Cette loi va superviser et contrôler l'utilisation de l'énergie nucléaire. Encourager le GPL carburant et réduire la facture de l'importation du diesel Encourager l'utilisation du GPL carburant en tant qu'énergie propre par des prix attractifs, est la politique actuelle de l'Etat. Les stations d'essence ont été également encouragées, à travers différentes lois de finance, à s'équiper dans ce sens. Parallèlement à cela, le ministre de l'Energie et des mines a tenu à préciser qu'il faut décourager l'importation, l'achat et donc l'utilisation des voitures diesel. Des augmentations du prix du diesel ont été déjà été opérées et d'autres suivront. La facture d'importation du Diesel est estimée à 200 millions de $. Une facture qui risque d'augmenter, selon le ministre. 30 milliards de dollars à la fin de l'année Les revenus petroliers réalisés par l'Algérie en 2008 ont été exceptionnels: 76 milliards de $. En 2007, ceux-ci ont été évalués à 60 milliards de $. Ces revenus sont les plus importants dans l'histoire de l'Algérie. C'est la raison pour laquelle, il ne faut pas comparer les revenus des prochains exercices à ceux de ces deux dernières années, a précisé Chakib Khellil qui a indiqué que «si les prix restent à ce stade, nous terminerons l'année avec 30 milliards de dollars, ce qui n'est pas mal». R.N.