Le chef de l'Etat a rendu hommage «aux valeureux moudjahidine qui ont donné l'exemple à tous les patriotes dans la résistance pour la sauvegarde de la patrie ». Le chef de l'Etat a rendu hommage «aux valeureux moudjahidine qui ont donné l'exemple à tous les patriotes dans la résistance pour la sauvegarde de la patrie ». A partir d'Oran, le président de la république a clairement souligné que l'Etat n'est pas prêt d'oublier tous ceux qui, les armes à la main, ont combattu les hordes terroristes durant la décennie noire. Abdelaziz Bouteflika, dont les propos ont été, on ne peut plus limpides, a, en effet, rendu aussi un vibrant hommage, au nom de la nation, à tous les martyrs du devoir national. A partir d'Oran, où il a effectué une visite de travail avant-hier, le chef de l'Etat, qui a, pour la circonstance, réitéré dans son discours prononcé à Arzew la «solidarité de la nation envers les familles victimes du terrorisme », et, également rendu hommage «aux valeureux moudjahidine qui ont donné l'exemple à tous les patriotes dans la résistance pour la sauvegarde de la patrie », n'a pas omis de faire un clin aux GLD (groupes de légitimes défense). «Je tiens aussi à dire à ceux qui ont consacré des années de leur vie à la défense de la république que l'Algérie ne les a pas oubliés» a indiqué le président de la republiuqe. Mieux, il dira encore, sans doute pour mieux les rassurer, que «des mesures seront prises pour faciliter leur réinsertion socio-économique. D'autres seront prises aussi pour améliorer la situation de ceux qui, volontaires, sont engagés sur le terrain dans la lutte contre le terrorisme ». A l'évidence, ces propos du premier magistrat du pays ne manqueront pas de donner satisfaction à ces milliers de GLD qui vivent pour la plupart dans la hantise de lendemains incertains. Des milliers d'entre eux vivent, en effet, dans de difficiles conditions et se sentent trahis par la nation eux qui, dans les pires moments que traversaient l'Algérie durant les années quatre-vingt-dix, ont pris leurs responsabilités pour participer activement à la défense du pays contre le terrorisme alors au sommet de sa nuisance. Ils étaient des milliers à avoir décidé de prêter mains fortes aux forces de l'ANP et aux différentes forces de sécurité. Certains ont été intégrés à la garde communale. Alors que la plupart sont restés au sein des GLD. L'incertitude, cependant, a commencé à planer sur ces groupes qui, selon leurs dires, n'étaient plus payés régulièrement. Rares sont aussi les partis politiques qui évoquaient leur difficile situation, à l'exception,toutefois, du RND dont, il est vrai, les GLD étaient proches. Le parti de Ahmed Ouyahia a toujours pris, par conséquent, la défense de ces groupes de légitime défense en appelant sans cesse à la prise en charge de leurs doléances. On se rappelle que dès son retour aux affaires en été 2008 le Premier ministre, a évoqué le cas de cette catégorie en estimant que la nation se doit de reconnaître le sacrifice des GLD qui se sont portés au secours de l'Algérie et qui vivent dans des conditions sociales difficiles. Pour rappel, il y a quelques semaines, le ministre de l'Intérieur n'a pas exclu la possibilité d'intégrer les patriotes dans les corps de la police communale, une structure en voie de création. A. S. A partir d'Oran, le président de la république a clairement souligné que l'Etat n'est pas prêt d'oublier tous ceux qui, les armes à la main, ont combattu les hordes terroristes durant la décennie noire. Abdelaziz Bouteflika, dont les propos ont été, on ne peut plus limpides, a, en effet, rendu aussi un vibrant hommage, au nom de la nation, à tous les martyrs du devoir national. A partir d'Oran, où il a effectué une visite de travail avant-hier, le chef de l'Etat, qui a, pour la circonstance, réitéré dans son discours prononcé à Arzew la «solidarité de la nation envers les familles victimes du terrorisme », et, également rendu hommage «aux valeureux moudjahidine qui ont donné l'exemple à tous les patriotes dans la résistance pour la sauvegarde de la patrie », n'a pas omis de faire un clin aux GLD (groupes de légitimes défense). «Je tiens aussi à dire à ceux qui ont consacré des années de leur vie à la défense de la république que l'Algérie ne les a pas oubliés» a indiqué le président de la republiuqe. Mieux, il dira encore, sans doute pour mieux les rassurer, que «des mesures seront prises pour faciliter leur réinsertion socio-économique. D'autres seront prises aussi pour améliorer la situation de ceux qui, volontaires, sont engagés sur le terrain dans la lutte contre le terrorisme ». A l'évidence, ces propos du premier magistrat du pays ne manqueront pas de donner satisfaction à ces milliers de GLD qui vivent pour la plupart dans la hantise de lendemains incertains. Des milliers d'entre eux vivent, en effet, dans de difficiles conditions et se sentent trahis par la nation eux qui, dans les pires moments que traversaient l'Algérie durant les années quatre-vingt-dix, ont pris leurs responsabilités pour participer activement à la défense du pays contre le terrorisme alors au sommet de sa nuisance. Ils étaient des milliers à avoir décidé de prêter mains fortes aux forces de l'ANP et aux différentes forces de sécurité. Certains ont été intégrés à la garde communale. Alors que la plupart sont restés au sein des GLD. L'incertitude, cependant, a commencé à planer sur ces groupes qui, selon leurs dires, n'étaient plus payés régulièrement. Rares sont aussi les partis politiques qui évoquaient leur difficile situation, à l'exception,toutefois, du RND dont, il est vrai, les GLD étaient proches. Le parti de Ahmed Ouyahia a toujours pris, par conséquent, la défense de ces groupes de légitime défense en appelant sans cesse à la prise en charge de leurs doléances. On se rappelle que dès son retour aux affaires en été 2008 le Premier ministre, a évoqué le cas de cette catégorie en estimant que la nation se doit de reconnaître le sacrifice des GLD qui se sont portés au secours de l'Algérie et qui vivent dans des conditions sociales difficiles. Pour rappel, il y a quelques semaines, le ministre de l'Intérieur n'a pas exclu la possibilité d'intégrer les patriotes dans les corps de la police communale, une structure en voie de création. A. S.