Le secrétaire général de l'Ansej a évoqué la décision d'étendre les réseaux des agences (Ansej, Cnac et Anem) dans les grandes daïras, notamment celles qui sont très éloignées, pour mieux faciliter aux jeunes promoteurs le suivi et le dépôt de leur dossier. Le secrétaire général de l'Ansej a évoqué la décision d'étendre les réseaux des agences (Ansej, Cnac et Anem) dans les grandes daïras, notamment celles qui sont très éloignées, pour mieux faciliter aux jeunes promoteurs le suivi et le dépôt de leur dossier. Trente mille projets seront financés par l'Ansej cette année. La décision a été prise lors du conseil interministériel du mois de juillet de l'année dernière. Un objectif que l'Etat compte absolument réaliser. Pour cela, moyens financiers et mesures concrètes ont été engagés. Le secrétaire général de l'Ansej qui était ce jeudi l'invité de l'émission «événements à la une» l'a expliqué. Med Tahar Chaalal a notamment évoqué la décision d'étendre les réseaux des agences (Ansej, Cnac et Anem) dans les grandes daïras, notamment celles qui sont très éloignées, pour mieux faciliter aux jeunes promoteurs le suivi et le dépôt de leur dossier. Un dépôt qui se fera désormais par l'encadreur et l'accompagnateur du projet et non plus par le jeune promoteur, une autre nouveauté qui devrait rassurer ces jeunes. L'autre mesure prise par le conseil interministériel en question est relative à la commission de wilaya qui sera composée d'acteurs économiques de chaque région, en plus des agents et cadres des différents dispositifs de soutien à la création d'emplois. Le rôle de ces acteurs économiques et d'orienter les jeunes promoteurs sur l'intérêt, la fiabilité et surtout la faisabilité de leur projet. Celui des banques a été également précisé dans le cadre de ce conseil interministériel. En effet, les contrats signés par l'Ansej avec les 5 banques publiques, à l'occasion de la tenue du Salon national de l'emploi qui a pris fin hier à Alger, a intégré toutes les décisions prises lors de ce conseil interministériel. R. N. 34% des crédits non recouvrés Ces entreprises ne sont pas totalement mortes selon le SG de l'Ansej, qui a indiqué que certains projets ont pu être maintenus en les transférant dans d'autres régions. Med Tahar Chaalal a indiqué également que certains jeunes dont le nombre est infime, ont dévoyé le dispositif et sont poursuivis en justice par les banques et l'Ansej. Interrogé sur les 35% de crédits que la BNA n'a pas recouvrés dans le cadre des crédits accordés aux projets de l'Ansej, son SG a tenu à préciser qu'il ne s'agit pas de créances irrécouvrables, «ce sont des retards d'impayés qui seront réglés», estimant que ce taux n'est pas très important. R.N. Trente mille projets seront financés par l'Ansej cette année. La décision a été prise lors du conseil interministériel du mois de juillet de l'année dernière. Un objectif que l'Etat compte absolument réaliser. Pour cela, moyens financiers et mesures concrètes ont été engagés. Le secrétaire général de l'Ansej qui était ce jeudi l'invité de l'émission «événements à la une» l'a expliqué. Med Tahar Chaalal a notamment évoqué la décision d'étendre les réseaux des agences (Ansej, Cnac et Anem) dans les grandes daïras, notamment celles qui sont très éloignées, pour mieux faciliter aux jeunes promoteurs le suivi et le dépôt de leur dossier. Un dépôt qui se fera désormais par l'encadreur et l'accompagnateur du projet et non plus par le jeune promoteur, une autre nouveauté qui devrait rassurer ces jeunes. L'autre mesure prise par le conseil interministériel en question est relative à la commission de wilaya qui sera composée d'acteurs économiques de chaque région, en plus des agents et cadres des différents dispositifs de soutien à la création d'emplois. Le rôle de ces acteurs économiques et d'orienter les jeunes promoteurs sur l'intérêt, la fiabilité et surtout la faisabilité de leur projet. Celui des banques a été également précisé dans le cadre de ce conseil interministériel. En effet, les contrats signés par l'Ansej avec les 5 banques publiques, à l'occasion de la tenue du Salon national de l'emploi qui a pris fin hier à Alger, a intégré toutes les décisions prises lors de ce conseil interministériel. R. N. 34% des crédits non recouvrés Ces entreprises ne sont pas totalement mortes selon le SG de l'Ansej, qui a indiqué que certains projets ont pu être maintenus en les transférant dans d'autres régions. Med Tahar Chaalal a indiqué également que certains jeunes dont le nombre est infime, ont dévoyé le dispositif et sont poursuivis en justice par les banques et l'Ansej. Interrogé sur les 35% de crédits que la BNA n'a pas recouvrés dans le cadre des crédits accordés aux projets de l'Ansej, son SG a tenu à préciser qu'il ne s'agit pas de créances irrécouvrables, «ce sont des retards d'impayés qui seront réglés», estimant que ce taux n'est pas très important. R.N.