L'une des principales revendications exprimée par les fellahs, à savoir, l'effacement des dettes des agriculteurs, a abouti. Le Président de la république, à partir de Biskra où il a présidé, hier, les assises nationale de l'agriculture, a, en effet, annoncé l'effacement des dettes des agriculteurs qui s'élèvent, selon le président de l'UNPA (Union nationale des paysans algériens), à 41 milliards de dinars. Cette mesure prise par le Chef de l'Etat a été une revendication et une demande de notre organisation, a souligné le même responsable qui ajoute que «cette décision permet d'encourager les agriculteurs, eux qui ont souffert des méfaits du terrorisme et des affres de la sécheresse». «Ce sont toutes les banques qui sont concernées par l'application de cette décision du Président de la République», a souligné, le patron de l'UNPA qui, rappelons-le, a enregistré en 2002 l'effacement d'une dette de 24 milliards de DA accumulée sur 20 ans. C'est un moment de soulagement pour les fellahs qui étaient menacés d'être estés en justice par les banques créancières afin de les obliger à remboursement les crédits contractés. Poursuite ou pas, les agriculteurs insouciants rechignent pour la plupart d'entre eux à honorer leurs engagements. Il n'y a qu'à se rappeler, par exemmple, les crédits que la BADR et la CRMA-banque leur avaient octroyé pour l'achat de semence de pomme de terre durant la campagne 2006/2007 et qui, jusqu'à aujourd'hui, n'ont pas été entièrement remboursés. S. B. L'une des principales revendications exprimée par les fellahs, à savoir, l'effacement des dettes des agriculteurs, a abouti. Le Président de la république, à partir de Biskra où il a présidé, hier, les assises nationale de l'agriculture, a, en effet, annoncé l'effacement des dettes des agriculteurs qui s'élèvent, selon le président de l'UNPA (Union nationale des paysans algériens), à 41 milliards de dinars. Cette mesure prise par le Chef de l'Etat a été une revendication et une demande de notre organisation, a souligné le même responsable qui ajoute que «cette décision permet d'encourager les agriculteurs, eux qui ont souffert des méfaits du terrorisme et des affres de la sécheresse». «Ce sont toutes les banques qui sont concernées par l'application de cette décision du Président de la République», a souligné, le patron de l'UNPA qui, rappelons-le, a enregistré en 2002 l'effacement d'une dette de 24 milliards de DA accumulée sur 20 ans. C'est un moment de soulagement pour les fellahs qui étaient menacés d'être estés en justice par les banques créancières afin de les obliger à remboursement les crédits contractés. Poursuite ou pas, les agriculteurs insouciants rechignent pour la plupart d'entre eux à honorer leurs engagements. Il n'y a qu'à se rappeler, par exemmple, les crédits que la BADR et la CRMA-banque leur avaient octroyé pour l'achat de semence de pomme de terre durant la campagne 2006/2007 et qui, jusqu'à aujourd'hui, n'ont pas été entièrement remboursés. S. B.