Abdelkader Bensalah et Abdelaziz Ziari ont plaidé en faveur de la mobilisation de tous les acteurs de la scène nationale pour amener les citoyens à aller en grand nombre aux bureaux de vote le jour «J». Abdelkader Bensalah et Abdelaziz Ziari ont plaidé en faveur de la mobilisation de tous les acteurs de la scène nationale pour amener les citoyens à aller en grand nombre aux bureaux de vote le jour «J». Les présidents des deux Chambres du Parlement ont mis particulièrement l'accent sur la nécessité d'assurer la plus large participation possible à l'élection présidentielle prévue le 9 avril prochain. Abdelkader Bensalah et Abdelaziz Ziari ont, en effet, lors de leurs discours respectifs à l'occasion de l'ouverture de la session de printemps des deux Chambres du Parlement, plaidé en faveur de la mobilisation de tous les acteurs de la scène nationale pour amener les citoyens à aller en grand nombre aux bureaux de vote le jour « J ». En effet, dans son discours consacré exclusivement à cette échéance politique qu'il a d'ailleurs qualifiée de « rendez-vous avec l'histoire », Abdelkader Bensalah, président du Conseil de la nation, a estimé qu'il est fait obligation à « tout un chacun d'adhérer à la démarche de sensibilisation des citoyens et citoyennes sur l'importance de l'opération et du devoir de participation à ce scrutin. Et de la nécessité de choisir le mieux indiqué des candidats » En filigrane, des propos du président de la Chambre haute ressort nettement cette crainte d'un taux élevé d'abstention à ce rendez-vous électoral. Et d'ailleurs il n'a pas manqué de l'exprimer clairement. Pour Bensalah, « la participation à cette opération électorale est un droit et un devoir pour tout citoyen. Et tout manquement à l'accomplissement de droit et de ce devoir est une position qui s'oppose à l'esprit de la citoyenneté et contredit l'orientation démocratique adoptée par le peuple comme une option irréversible ». Bensalah dira aussi que la participation au vote est le seul garant contre la réédition d'un précédent événement, dont les conséquences ont été « catastrophiques » sur le pays qui en a « payé un lourd tribut ». Rappelant que toutes les conditions pour un scrutin « libre et transparent » ont été réunies, Bensalah fera aussi l'apologie de réalisations des dix dernières années. Il dira enfin que l'Algérie a besoin d'un président fort et bien adossé sur l'appui d'une large majorité de citoyens. Le président, l'APN a abondé dans le même sens et, dans son discours, il a lui aussi fait l'éloge des deux mandats du président de la République. Abdelaziz Ziari, qui dira que le peuple algérien est aujourd'hui devant un « important rendez-vous » a considéré que cette élection sera aussi une « étape cruciale pour la consolidation du pluralisme démocratique, et la construction de l'Etat de droit et des libertés ». Et, presque sur le même ton que Abdelkader Bensalah, il a indiqué qu' «il est dès lors du devoir des élus du Parlement et des assemblées locales (…) d'œuvrer à la sensibilisation des citoyens sur leurs droit et devoir dans le but d'accomplir leur devoir électoral qui est un droit constitutionnel». Il en est de même pour les partis et les associations de la société civile qui sont tenus, à leur tour, de mobiliser le corps électoral. Abdelaziz Ziari a évoqué, comme Abdelkader Bensalah, les douloureux événements de la décennie noire et a, par voie de conséquence, estimé qu'il « n'y a aucune raison de faire l'impasse sur ce devoir électoral». A. S. Les présidents des deux Chambres du Parlement ont mis particulièrement l'accent sur la nécessité d'assurer la plus large participation possible à l'élection présidentielle prévue le 9 avril prochain. Abdelkader Bensalah et Abdelaziz Ziari ont, en effet, lors de leurs discours respectifs à l'occasion de l'ouverture de la session de printemps des deux Chambres du Parlement, plaidé en faveur de la mobilisation de tous les acteurs de la scène nationale pour amener les citoyens à aller en grand nombre aux bureaux de vote le jour « J ». En effet, dans son discours consacré exclusivement à cette échéance politique qu'il a d'ailleurs qualifiée de « rendez-vous avec l'histoire », Abdelkader Bensalah, président du Conseil de la nation, a estimé qu'il est fait obligation à « tout un chacun d'adhérer à la démarche de sensibilisation des citoyens et citoyennes sur l'importance de l'opération et du devoir de participation à ce scrutin. Et de la nécessité de choisir le mieux indiqué des candidats » En filigrane, des propos du président de la Chambre haute ressort nettement cette crainte d'un taux élevé d'abstention à ce rendez-vous électoral. Et d'ailleurs il n'a pas manqué de l'exprimer clairement. Pour Bensalah, « la participation à cette opération électorale est un droit et un devoir pour tout citoyen. Et tout manquement à l'accomplissement de droit et de ce devoir est une position qui s'oppose à l'esprit de la citoyenneté et contredit l'orientation démocratique adoptée par le peuple comme une option irréversible ». Bensalah dira aussi que la participation au vote est le seul garant contre la réédition d'un précédent événement, dont les conséquences ont été « catastrophiques » sur le pays qui en a « payé un lourd tribut ». Rappelant que toutes les conditions pour un scrutin « libre et transparent » ont été réunies, Bensalah fera aussi l'apologie de réalisations des dix dernières années. Il dira enfin que l'Algérie a besoin d'un président fort et bien adossé sur l'appui d'une large majorité de citoyens. Le président, l'APN a abondé dans le même sens et, dans son discours, il a lui aussi fait l'éloge des deux mandats du président de la République. Abdelaziz Ziari, qui dira que le peuple algérien est aujourd'hui devant un « important rendez-vous » a considéré que cette élection sera aussi une « étape cruciale pour la consolidation du pluralisme démocratique, et la construction de l'Etat de droit et des libertés ». Et, presque sur le même ton que Abdelkader Bensalah, il a indiqué qu' «il est dès lors du devoir des élus du Parlement et des assemblées locales (…) d'œuvrer à la sensibilisation des citoyens sur leurs droit et devoir dans le but d'accomplir leur devoir électoral qui est un droit constitutionnel». Il en est de même pour les partis et les associations de la société civile qui sont tenus, à leur tour, de mobiliser le corps électoral. Abdelaziz Ziari a évoqué, comme Abdelkader Bensalah, les douloureux événements de la décennie noire et a, par voie de conséquence, estimé qu'il « n'y a aucune raison de faire l'impasse sur ce devoir électoral». A. S.