M. Ouyahia qui dit s'être départi de sa casquette de Premier ministre pour cette sortie médiatique a appelé les citoyens à se présenter massivement le 9 avril prochain aux bureaux de vote pour donner leur voix au candidat qu'ils jugent être le plus apte à présider aux destinées de la nation. M. Ouyahia qui dit s'être départi de sa casquette de Premier ministre pour cette sortie médiatique a appelé les citoyens à se présenter massivement le 9 avril prochain aux bureaux de vote pour donner leur voix au candidat qu'ils jugent être le plus apte à présider aux destinées de la nation. Le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND) a réprimandé vertement samedi les partis politiques qui appellent au boycott de la prochaine élection présidentielle, les accusant de vouloir «déstabiliser le pays». M. Ahmed Ouyahia, qui était l'invité du forum de l'ENTV a affirmé que ces partis n'ont «malheureusement pas su placer l'intérêt suprême de la nation au-dessus de toute considération». Ne s'arrêtant pas là, il va jusqu'à les accuser de «vouloir perturber le bon déroulement des joutes électorales en avançant des accusations purement infondées». M. Ouyahia qui dit s'être départi de sa casquette de Premier ministre pour cette sortie médiatique a appelé les citoyens à se présenter massivement le 9 avril prochain aux bureaux de vote pour donner leur voix au candidat qu'ils jugent être le plus apte à présider aux destinées de la nation. «Il ne faut pas s'abstenir d'aller voter sous prétexte que le candidat Bouteflika l'emportera haut la main. Si chacun de nous se mettait à réfléchir de la sorte, le taux de participation sera de zéro et ce sera la grande catastrophe», explique-t-il. Par son habituel discours franc et son verbe direct, le secrétaire général du RND explique plus loin les raisons qui l'ont poussé lui ainsi que son parti politique à soutenir le programme du président de la République. Tout d'abord, commence-t-il par dire, «au RND nous sommes fiers de notre choix, le temps nous ayant donné raison». Cependant, M. Ouyahia tient à rectifier une information qui a eu tendance à se répandre depuis quelque temps. «Je n'es aucune relation personnelle avec le président Bouteflika mais je l'avais soutenu dès 1999 par respect à son aîné Houari Boumedienne que Dieu ait son âme». Pour cette année encore, le RND compte «mettre le paquet pour défendre le programme du président de la République pour briguer un troisième mandat» tel que cela avait été fait «lors de la bataille particulière de 2004». «L'alliance présidentielle va tenir à elle seule pas moins de 4.000 meeting à l'occasion de cette campagne électorale». Une campagne qui «ne servira pas seulement à faire des promesses électorales et à signer des billets d'aller sans retour pour le peuple». Répondant justement à une question portant sur une éventuelle ouverture de ce bloc à d'autres formations politiques, M. Ouyahia n'a pas écarté cela. «Tout le monde connaît les règles d'adhésion à cette alliance il suffit juste que le postulant remplisse ce cahier des charges et nous ne verrons aucun inconvénient à ce que d'autres nous rejoignent», affirme-t-il. Ne niant pas l'existence de divergences entre ces trois partis, l'orateur rappelle la nécessité de faire une distinction entre «une fusion» et «une alliance». «Chacun d'entre nous a son propre programme à défendre mais nous nous sommes regroupés autour du programme présidentiel pour le soutenir», dira-t-il. Défendant encore bec et ongles cette alliance, le secrétaire général a tenu à répondre à ceux qui l'ont accusé d'avoir faire de l'APN une «boîte à dire oui». «Des dizaines d'alliances sont nées durant ces dix dernières années, mais aucune d'entre elles n'a été capable d'agencer deux paragraphes. Nous, nous avons été capables durant nos dix années d'existence de faire bien plus qu'un communiqué commun», s'enorgueillit-il. S. H. Le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND) a réprimandé vertement samedi les partis politiques qui appellent au boycott de la prochaine élection présidentielle, les accusant de vouloir «déstabiliser le pays». M. Ahmed Ouyahia, qui était l'invité du forum de l'ENTV a affirmé que ces partis n'ont «malheureusement pas su placer l'intérêt suprême de la nation au-dessus de toute considération». Ne s'arrêtant pas là, il va jusqu'à les accuser de «vouloir perturber le bon déroulement des joutes électorales en avançant des accusations purement infondées». M. Ouyahia qui dit s'être départi de sa casquette de Premier ministre pour cette sortie médiatique a appelé les citoyens à se présenter massivement le 9 avril prochain aux bureaux de vote pour donner leur voix au candidat qu'ils jugent être le plus apte à présider aux destinées de la nation. «Il ne faut pas s'abstenir d'aller voter sous prétexte que le candidat Bouteflika l'emportera haut la main. Si chacun de nous se mettait à réfléchir de la sorte, le taux de participation sera de zéro et ce sera la grande catastrophe», explique-t-il. Par son habituel discours franc et son verbe direct, le secrétaire général du RND explique plus loin les raisons qui l'ont poussé lui ainsi que son parti politique à soutenir le programme du président de la République. Tout d'abord, commence-t-il par dire, «au RND nous sommes fiers de notre choix, le temps nous ayant donné raison». Cependant, M. Ouyahia tient à rectifier une information qui a eu tendance à se répandre depuis quelque temps. «Je n'es aucune relation personnelle avec le président Bouteflika mais je l'avais soutenu dès 1999 par respect à son aîné Houari Boumedienne que Dieu ait son âme». Pour cette année encore, le RND compte «mettre le paquet pour défendre le programme du président de la République pour briguer un troisième mandat» tel que cela avait été fait «lors de la bataille particulière de 2004». «L'alliance présidentielle va tenir à elle seule pas moins de 4.000 meeting à l'occasion de cette campagne électorale». Une campagne qui «ne servira pas seulement à faire des promesses électorales et à signer des billets d'aller sans retour pour le peuple». Répondant justement à une question portant sur une éventuelle ouverture de ce bloc à d'autres formations politiques, M. Ouyahia n'a pas écarté cela. «Tout le monde connaît les règles d'adhésion à cette alliance il suffit juste que le postulant remplisse ce cahier des charges et nous ne verrons aucun inconvénient à ce que d'autres nous rejoignent», affirme-t-il. Ne niant pas l'existence de divergences entre ces trois partis, l'orateur rappelle la nécessité de faire une distinction entre «une fusion» et «une alliance». «Chacun d'entre nous a son propre programme à défendre mais nous nous sommes regroupés autour du programme présidentiel pour le soutenir», dira-t-il. Défendant encore bec et ongles cette alliance, le secrétaire général a tenu à répondre à ceux qui l'ont accusé d'avoir faire de l'APN une «boîte à dire oui». «Des dizaines d'alliances sont nées durant ces dix dernières années, mais aucune d'entre elles n'a été capable d'agencer deux paragraphes. Nous, nous avons été capables durant nos dix années d'existence de faire bien plus qu'un communiqué commun», s'enorgueillit-il. S. H.