M. Bouabdellah Ghlamallah, a affirmé hier que la missionde la fatwa incombe aux conseils scientifiques de wilaya et uniquement à ces derniers. M. Bouabdellah Ghlamallah, a affirmé hier que la missionde la fatwa incombe aux conseils scientifiques de wilaya et uniquement à ces derniers. Le rôle de l'imam, celui des médias dans la « vulgarisation » des fatwas a été le principal sujet d'intervention du ministre des Affaires religieuses et des Wakfs lors de l'ouverture du 3e colloque national des conseils scientifiques à Dar al Imam à Mohammedia à Alger sous le thème «la fatwa dans les mass média et les chaînes satellitaires», M. Bouabdellah Ghlamallah, a affirmé hier que la mission de la fatwa incombe aux conseils scientifiques de wilaya et uniquement à ces derniers. Pour lui n'est pas mefti qui veut, et on ne s'auto-proclame pas mefti, parce qu'on a une quelconque connaissance de la religion ou que dans tel ou tel pays a pris «option» pour une quelconque fatwa, sans tenir compte du rite de l'Algérie M. Ghlamallah a précisé que ces conseils constituent «des institutions visant à orienter les Algériens et leur donner des avis religieux en guise de solutions aux problèmes personnels ou familiaux qu'ils rencontrent». Les conseils scientifiques de wilaya, selon le ministre, sont chargés de la fatwa, de l'orientation et de la supervision des mosquées en collaboration avec l'administration en vue d'améliorer les services, en attendant «la création d'un haut conseil de la fatwa», rapporte l'APS qui ajoute que le premier responsable du secteur a indiqué, dans ce contexte, que les conseils scientifiques présentent une ou deux fois par semaine des fatwas à travers les radios locales et régionales à l'attention des citoyens, annonçant l'ouverture prochaine d'une chaîne satellitaire propre au Coran. Pour rappel, plusieurs médias notamment ceux de la presse dite jaune ont pour source des sites Internet souvent inconnue. Quand les journalistes ne s'en inspirent pas, ils les téléchargent intégralement pour les reproduire tel quel « un coupé-collé » dont ils ne mesurent pas les conséquences sur les jeunes premiers lecteurs de ce genre de journaux, ou sur des personnes » en quête de religion » d'où le thème du colloque, «la fatwa dans les mass-média et les chaînes satellitaires», que le ministre a saisi pour mettre en garde contre le recours, pour la fatwa, aux sites Internet et aux chaînes satellitaires, mettant en exergue le rôle des conseils scientifiques en la matière. L. B. Le rôle de l'imam, celui des médias dans la « vulgarisation » des fatwas a été le principal sujet d'intervention du ministre des Affaires religieuses et des Wakfs lors de l'ouverture du 3e colloque national des conseils scientifiques à Dar al Imam à Mohammedia à Alger sous le thème «la fatwa dans les mass média et les chaînes satellitaires», M. Bouabdellah Ghlamallah, a affirmé hier que la mission de la fatwa incombe aux conseils scientifiques de wilaya et uniquement à ces derniers. Pour lui n'est pas mefti qui veut, et on ne s'auto-proclame pas mefti, parce qu'on a une quelconque connaissance de la religion ou que dans tel ou tel pays a pris «option» pour une quelconque fatwa, sans tenir compte du rite de l'Algérie M. Ghlamallah a précisé que ces conseils constituent «des institutions visant à orienter les Algériens et leur donner des avis religieux en guise de solutions aux problèmes personnels ou familiaux qu'ils rencontrent». Les conseils scientifiques de wilaya, selon le ministre, sont chargés de la fatwa, de l'orientation et de la supervision des mosquées en collaboration avec l'administration en vue d'améliorer les services, en attendant «la création d'un haut conseil de la fatwa», rapporte l'APS qui ajoute que le premier responsable du secteur a indiqué, dans ce contexte, que les conseils scientifiques présentent une ou deux fois par semaine des fatwas à travers les radios locales et régionales à l'attention des citoyens, annonçant l'ouverture prochaine d'une chaîne satellitaire propre au Coran. Pour rappel, plusieurs médias notamment ceux de la presse dite jaune ont pour source des sites Internet souvent inconnue. Quand les journalistes ne s'en inspirent pas, ils les téléchargent intégralement pour les reproduire tel quel « un coupé-collé » dont ils ne mesurent pas les conséquences sur les jeunes premiers lecteurs de ce genre de journaux, ou sur des personnes » en quête de religion » d'où le thème du colloque, «la fatwa dans les mass-média et les chaînes satellitaires», que le ministre a saisi pour mettre en garde contre le recours, pour la fatwa, aux sites Internet et aux chaînes satellitaires, mettant en exergue le rôle des conseils scientifiques en la matière. L. B.