Une journée d'étude, sous le thème «Pour une large participation politique de la femme» s'ouvre, ce matin à l'Assemblée populaire nationale. En marge de cette journée d'étude, des femmes parlementaires seront à l'honneur, et selon le communiqué de l'institution de Abdelaziz Ziari, elles devront au cours de cette rencontre, voulue pour marquer le 8 mars, aborder le rôle de la femme en politique. A la lumière de la récente révision de la Constitution qui consacre la promotion des droits politiques de la femme algérienne, lui permettant d'entrer de plain-pied dans la compétition politique. Une nouvelle disposition consacre la promotion des droits politiques de la femme et l'élargissement de sa représentation dans les assemblées élues et ce, en principe, à tous les niveaux. «Il y a cette possibilité qui permettra à la femme de participer plus activement à la vie politique», avait déclaré le Président de la république, lors de l'annonce de sa candidature pour l'élection présidentielle du 9 avril prochain, en soulignant que le femme constitue la moitié de la population et que, de ce fait, il faut la faire participer activement à la vie politique du pays. Maintenant que «la parité» est constitutionnellement souhaitée, les partis vont- ils jouer le jeu et associer, concrètement, les femmes à la vie politique. Pour rappel, il y a une année, à l'occasion de la célébration du 8 mars justement, le chef de l'Etat avait exhorté les partis à associer la femme à la vie politique en lui donnant l'occasion de se porter candidate aux élections et briguer des postes de responsabilité au sein des institutions de l'Etat. Le président avait ajouté qu'il appartenait aux femmes de se saisir de cet instrument juridique pour «contourner» tous les obstacles. «La loi sera mise à contribution pour franchir les premiers pas dans cette direction», avait-il précisé en estimant à juste titre d'ailleurs, qu'«il reviendra ensuite aux femmes, par leur engagement, leur présence, et même par la force de leur voix, de consolider elles-mêmes leur place sur la scène politique, pour faire bénéficier l'Algérie de tout leur apport». Une brèche s'ouvre donc à celles qui veulent faire de la politique sans avoir à chercher un parrainage pour se lancer dans «l'aventure». Sauf qu'elles doivent tenir compte du fait que souvent, pour ne pas dire toujours, les partis politiques, qu'ils s'agissent d'élections législatives ou locales, hésitent à mettre une femme en tête de liste, comme si elle était inapte à conduire un groupe. Souvent, leur présence justifie le système de quota en vigueur dans la majorité des formations politiques. L.B Une journée d'étude, sous le thème «Pour une large participation politique de la femme» s'ouvre, ce matin à l'Assemblée populaire nationale. En marge de cette journée d'étude, des femmes parlementaires seront à l'honneur, et selon le communiqué de l'institution de Abdelaziz Ziari, elles devront au cours de cette rencontre, voulue pour marquer le 8 mars, aborder le rôle de la femme en politique. A la lumière de la récente révision de la Constitution qui consacre la promotion des droits politiques de la femme algérienne, lui permettant d'entrer de plain-pied dans la compétition politique. Une nouvelle disposition consacre la promotion des droits politiques de la femme et l'élargissement de sa représentation dans les assemblées élues et ce, en principe, à tous les niveaux. «Il y a cette possibilité qui permettra à la femme de participer plus activement à la vie politique», avait déclaré le Président de la république, lors de l'annonce de sa candidature pour l'élection présidentielle du 9 avril prochain, en soulignant que le femme constitue la moitié de la population et que, de ce fait, il faut la faire participer activement à la vie politique du pays. Maintenant que «la parité» est constitutionnellement souhaitée, les partis vont- ils jouer le jeu et associer, concrètement, les femmes à la vie politique. Pour rappel, il y a une année, à l'occasion de la célébration du 8 mars justement, le chef de l'Etat avait exhorté les partis à associer la femme à la vie politique en lui donnant l'occasion de se porter candidate aux élections et briguer des postes de responsabilité au sein des institutions de l'Etat. Le président avait ajouté qu'il appartenait aux femmes de se saisir de cet instrument juridique pour «contourner» tous les obstacles. «La loi sera mise à contribution pour franchir les premiers pas dans cette direction», avait-il précisé en estimant à juste titre d'ailleurs, qu'«il reviendra ensuite aux femmes, par leur engagement, leur présence, et même par la force de leur voix, de consolider elles-mêmes leur place sur la scène politique, pour faire bénéficier l'Algérie de tout leur apport». Une brèche s'ouvre donc à celles qui veulent faire de la politique sans avoir à chercher un parrainage pour se lancer dans «l'aventure». Sauf qu'elles doivent tenir compte du fait que souvent, pour ne pas dire toujours, les partis politiques, qu'ils s'agissent d'élections législatives ou locales, hésitent à mettre une femme en tête de liste, comme si elle était inapte à conduire un groupe. Souvent, leur présence justifie le système de quota en vigueur dans la majorité des formations politiques. L.B