La commission Teguia, chargée de la surveillance de l'élection présidentielle du 9 avril prochain, a convié les 25 partis politiques agréés à désigner des représentants pour siéger à la commission nationale de surveillance de l'élection que préside l'ex-ministre de la Justice. Comme il fallait s'y attendre, le FFS, le RCD et Ennahda ont décliné l'invitation comme il a été donné de le constater lors de l'installation de la dite commission qui regroupe un représentant par parti politique agréé et par candidat à l'exception des trois sus-cités. Partis qui ont appelé à la présence d'observateurs internationaux pour le prochain scrutin. Pour rappel, au lendemain de la convocation du corps électoral, le président de la République avait instruit le gouvernement à l'effet de saisir les organisations internationales et régionales dont l'Algérie est membre, pour superviser cette élection et ce, par souci de transparence. Il faut s'attendre donc à ce qu'il ait des représentants de l'Organisation des Nations unies, ceux de l'Organisation de la conférence islamique, de la Ligue des Etats arabes et de l'Union africaine. La présence des délégués de ces organisations, bien que facultative , est, pour le président de la commission politique nationale de surveillance de l'élection présidentielle une «garantie supplémentaire» pour lever toute équivoque. La commission Teguia, chargée de la surveillance de l'élection présidentielle du 9 avril prochain, a convié les 25 partis politiques agréés à désigner des représentants pour siéger à la commission nationale de surveillance de l'élection que préside l'ex-ministre de la Justice. Comme il fallait s'y attendre, le FFS, le RCD et Ennahda ont décliné l'invitation comme il a été donné de le constater lors de l'installation de la dite commission qui regroupe un représentant par parti politique agréé et par candidat à l'exception des trois sus-cités. Partis qui ont appelé à la présence d'observateurs internationaux pour le prochain scrutin. Pour rappel, au lendemain de la convocation du corps électoral, le président de la République avait instruit le gouvernement à l'effet de saisir les organisations internationales et régionales dont l'Algérie est membre, pour superviser cette élection et ce, par souci de transparence. Il faut s'attendre donc à ce qu'il ait des représentants de l'Organisation des Nations unies, ceux de l'Organisation de la conférence islamique, de la Ligue des Etats arabes et de l'Union africaine. La présence des délégués de ces organisations, bien que facultative , est, pour le président de la commission politique nationale de surveillance de l'élection présidentielle une «garantie supplémentaire» pour lever toute équivoque.