Mohamed Teguia a indiqué que les auteurs de fraude ou de dépassements risquent non seulement d'être lourdement sanctionnés par de fortes amendes mais sont aussi passibles de prison. Mohamed Teguia a indiqué que les auteurs de fraude ou de dépassements risquent non seulement d'être lourdement sanctionnés par de fortes amendes mais sont aussi passibles de prison. Le président de la Commission politique nationale de surveillance de l'élection présidentielle s'est montré menaçant lorsqu' il n'a pas hésité à rappeler les mesures prises par les autorités pour garantir la transparence du scrutin présidentiel du 9 avril prochain. Mohamed Teguia, qui s'exprimait hier sur les ondes de la Chaîne I de la Radio nationale lors de l'émission «Fi El Oaudjiha», a, en effet, indiqué que les auteurs de fraude ou de dépassements risquent non seulement d'être lourdement sanctionnés par de fortes amendes mais sont aussi passibles de prison. Il a aussi rappelé qu'il est dans les prérogatives de la Commission, qu'il préside, ou de ses démembrements au niveau local de saisir la justice en cas de constat de fraude ou de dépassements d'une quelconque partie liée de près ou de loin à cette élection présidentielle. Ces prérogatives ont été, pour rappel, bien explicitées par le décret présidentiel du 7 février dernier portant création de cette commission. A ce titre il a rappelé que les toutes les institutions publiques et administratives donatrices de requêtés ou de plaintes sont tenues de répondre dans un délai n'excédant pas les 48 heures. Par ces rappels Mohamed Teguia, veut donner davantage de gages sur la transparence de l'opération électorale au moment où des voix s'élèvent çà et là pour tenter de jeter le discrédit sur cette élection en accréditant la thèse selon laquelle il y aura fraude lors du scrutin« toutes les conditions ont été réunies pour permettre à la commission d'accomplir au mieux sa mission» a-t-il encore précisé. Il a ainsi soutenu que «la première garantie réside dans la loi organique portant régime électoral qui n'a omis aucun volet pour fournir des conditions sereines pour le déroulement des élections». Il a également prévenu les six candidats à la présidentielle que l'opération relative au financement de la campagne électorale doit impérativement se caractériser par une gestion transparente, ce conformément aux dispositions prévues par les textes de loi. «il n'y aura pas d'autre moyen de financement de cette campagne électorale que ceux mis à la disposition des candidats par l'administration»? a-t-il affirmé. Lors de l'élection présidentielle d'avril 2004 les pouvoirs publics avaient octroyé à chaque candidat une enveloppe financière de l'ordre de 1,5 milliard de centimes. Mais pour l'heure aucun des six candidats n'a encore reçu le moindre centime. C'est en tout cas ce qu'à soutenu un des candidats il y ade cela juste quelques jours, alors que le début de la campagne électorale est prévu pour ce jeudi. Sur la présence au sein de la commission de représentants de partis politiques qui n'ont pourtant présenté aucun candidat à la présidentielle, Teguia reconnaît, certes à demi-mot, que certaines formations ne sont mues que par des considérations financières. Il faut dire que les membres de la Commission tant à l'échelle nationale que locale perçoivent des primes et des indemnités se chiffrant à des centaines de millions de centimes sonnants et trébuchants. Teguia admet que ce phénomène est davantage constaté au niveau des commissions communales ou, pour rappel, une prime de 30.000 DA est octroyée à chacun des membres. Le président de la Commission politique nationale de surveillance de l'élection présidentielle s'est montré menaçant lorsqu' il n'a pas hésité à rappeler les mesures prises par les autorités pour garantir la transparence du scrutin présidentiel du 9 avril prochain. Mohamed Teguia, qui s'exprimait hier sur les ondes de la Chaîne I de la Radio nationale lors de l'émission «Fi El Oaudjiha», a, en effet, indiqué que les auteurs de fraude ou de dépassements risquent non seulement d'être lourdement sanctionnés par de fortes amendes mais sont aussi passibles de prison. Il a aussi rappelé qu'il est dans les prérogatives de la Commission, qu'il préside, ou de ses démembrements au niveau local de saisir la justice en cas de constat de fraude ou de dépassements d'une quelconque partie liée de près ou de loin à cette élection présidentielle. Ces prérogatives ont été, pour rappel, bien explicitées par le décret présidentiel du 7 février dernier portant création de cette commission. A ce titre il a rappelé que les toutes les institutions publiques et administratives donatrices de requêtés ou de plaintes sont tenues de répondre dans un délai n'excédant pas les 48 heures. Par ces rappels Mohamed Teguia, veut donner davantage de gages sur la transparence de l'opération électorale au moment où des voix s'élèvent çà et là pour tenter de jeter le discrédit sur cette élection en accréditant la thèse selon laquelle il y aura fraude lors du scrutin« toutes les conditions ont été réunies pour permettre à la commission d'accomplir au mieux sa mission» a-t-il encore précisé. Il a ainsi soutenu que «la première garantie réside dans la loi organique portant régime électoral qui n'a omis aucun volet pour fournir des conditions sereines pour le déroulement des élections». Il a également prévenu les six candidats à la présidentielle que l'opération relative au financement de la campagne électorale doit impérativement se caractériser par une gestion transparente, ce conformément aux dispositions prévues par les textes de loi. «il n'y aura pas d'autre moyen de financement de cette campagne électorale que ceux mis à la disposition des candidats par l'administration»? a-t-il affirmé. Lors de l'élection présidentielle d'avril 2004 les pouvoirs publics avaient octroyé à chaque candidat une enveloppe financière de l'ordre de 1,5 milliard de centimes. Mais pour l'heure aucun des six candidats n'a encore reçu le moindre centime. C'est en tout cas ce qu'à soutenu un des candidats il y ade cela juste quelques jours, alors que le début de la campagne électorale est prévu pour ce jeudi. Sur la présence au sein de la commission de représentants de partis politiques qui n'ont pourtant présenté aucun candidat à la présidentielle, Teguia reconnaît, certes à demi-mot, que certaines formations ne sont mues que par des considérations financières. Il faut dire que les membres de la Commission tant à l'échelle nationale que locale perçoivent des primes et des indemnités se chiffrant à des centaines de millions de centimes sonnants et trébuchants. Teguia admet que ce phénomène est davantage constaté au niveau des commissions communales ou, pour rappel, une prime de 30.000 DA est octroyée à chacun des membres.