S'exprimant lors d'une conférence relative à l'introduction des mesures d'efficacité énergétique dans le bâtiment, organisée hier en marge du 12e salon international du bâtiment (Batimatec) qui se déroule à la Safex du 13 jusqu'à demain 17, Saliha Aït Mesbah, directrice de la recherche au ministère de l'Habitat et de l'Urbanisme, a déclaré qu'un projet a été lancé pour la réalisation de 600 logements bioclimatiques répartis sur 11 wilayas du pays en fonction des zones climatiques. Ce genre de construction existe notamment dans les régions chaudes atteignant de hautes températureset qui requièrent des matériaux de construction spécifiques répondant à ce genre de climat, ceci dans l'objectif de réaliser des économies d'énergie et, par voie de conséquence, faire des économies en termes financiers. Ceci dit, certains appareils domestiques, tels les climatiseurs sont énergétivores et consomment énormément d'électricité, d'où les factures salées payées par les consommateurs. Elle a indiqué que ce projet de 600 logements est caractérisé notamment par la haute performance énergétique dans la mesure où l'on arrive à assurer la réduction des dépenses et des frais de consommation de l'énergie et de la promotion des matériaux de construction adéquats au climat algérien. Le climat en Algérie varie suivant les régions sachant que le Sud est plus aride et chaud en été où les températures avoisinent les 48 degrés alors que dans certaines régions du Nord et des Hauts-Plateaux telles El Bayadh, Boghar, Sétif, Batna, Constantine, certaines villes et localités des Hauts-Plateaux, la température descend parfois jusqu'à un degré donc très froides en hiver . Il convient de rappeler que certaines régions du pays connaissent plusieurs climats avec des variations de températures durant une même journée. Donc, la construction de logements bioclimatiques, qui ont fait leur apparition en 2005, leur convient mieux . La réception des premiers modèles est prévue à fin 2009. Les travaux de construction sont menés sous l'expertise et la coopération de l'Agence de promotion et de rationalisation de l'utilisation de l'énergie (APRUE). La collaboration d'autres organismes spécialisés dans l'urbanisme et la construction est importante, en ce sens que dans une deuxième étape du plan de construction, l'accent a été mis sur la rédaction du cahier des charges en collaboration avec les OPGI participant à la réalisation des programmes de logement. En effet, pas moins de 11 OPGI sont impliquées dans la construction de ces logements dans leur rôle de maîtres de l'ouvrage. La répartition des logements bioclimatiques est ainsi effectuée: Tamanrasset 30 logements, Laghouat 32, Sétif 54, Alger 50, Blida 80 et Djelfa 80. Il convient de rappeler que les cahiers de charges ont reçu leur validation au cours d'une rencontre de concertation organisée en décembre 2008 entre l'APRUE et des experts français. S'exprimant lors d'une conférence relative à l'introduction des mesures d'efficacité énergétique dans le bâtiment, organisée hier en marge du 12e salon international du bâtiment (Batimatec) qui se déroule à la Safex du 13 jusqu'à demain 17, Saliha Aït Mesbah, directrice de la recherche au ministère de l'Habitat et de l'Urbanisme, a déclaré qu'un projet a été lancé pour la réalisation de 600 logements bioclimatiques répartis sur 11 wilayas du pays en fonction des zones climatiques. Ce genre de construction existe notamment dans les régions chaudes atteignant de hautes températureset qui requièrent des matériaux de construction spécifiques répondant à ce genre de climat, ceci dans l'objectif de réaliser des économies d'énergie et, par voie de conséquence, faire des économies en termes financiers. Ceci dit, certains appareils domestiques, tels les climatiseurs sont énergétivores et consomment énormément d'électricité, d'où les factures salées payées par les consommateurs. Elle a indiqué que ce projet de 600 logements est caractérisé notamment par la haute performance énergétique dans la mesure où l'on arrive à assurer la réduction des dépenses et des frais de consommation de l'énergie et de la promotion des matériaux de construction adéquats au climat algérien. Le climat en Algérie varie suivant les régions sachant que le Sud est plus aride et chaud en été où les températures avoisinent les 48 degrés alors que dans certaines régions du Nord et des Hauts-Plateaux telles El Bayadh, Boghar, Sétif, Batna, Constantine, certaines villes et localités des Hauts-Plateaux, la température descend parfois jusqu'à un degré donc très froides en hiver . Il convient de rappeler que certaines régions du pays connaissent plusieurs climats avec des variations de températures durant une même journée. Donc, la construction de logements bioclimatiques, qui ont fait leur apparition en 2005, leur convient mieux . La réception des premiers modèles est prévue à fin 2009. Les travaux de construction sont menés sous l'expertise et la coopération de l'Agence de promotion et de rationalisation de l'utilisation de l'énergie (APRUE). La collaboration d'autres organismes spécialisés dans l'urbanisme et la construction est importante, en ce sens que dans une deuxième étape du plan de construction, l'accent a été mis sur la rédaction du cahier des charges en collaboration avec les OPGI participant à la réalisation des programmes de logement. En effet, pas moins de 11 OPGI sont impliquées dans la construction de ces logements dans leur rôle de maîtres de l'ouvrage. La répartition des logements bioclimatiques est ainsi effectuée: Tamanrasset 30 logements, Laghouat 32, Sétif 54, Alger 50, Blida 80 et Djelfa 80. Il convient de rappeler que les cahiers de charges ont reçu leur validation au cours d'une rencontre de concertation organisée en décembre 2008 entre l'APRUE et des experts français.