Mohand-Oussaïd Bélaid (dit Mohamed Saïd), affirme que «toutes les options restent ouvertes». Il déclare être pour un changement dans l'immédiat, «aujourd'hui et pas demain» et regrette que les revendications socioprofessionnelles ne préoccupent pas le gouvernement. Mohand-Oussaïd Bélaid (dit Mohamed Saïd), affirme que «toutes les options restent ouvertes». Il déclare être pour un changement dans l'immédiat, «aujourd'hui et pas demain» et regrette que les revendications socioprofessionnelles ne préoccupent pas le gouvernement. Le candidat à l'élection présidentielle, Mohand-Oussaïd Bélaid (dit Mohamed Saïd) n'était ni optimiste mais pas pessimiste, non plus, hier, lors de la conférence de presse qu'il a animée au siège de sa permanence nationale à Alger. «Il faut être réaliste», a-t-il déclaré, déplorant «les dépassements d' un certain candidat qui a presque terminé sa campagne avant même que celle-ci ne commence». Pour autant les jeux selon lui ne sont pas faits. Il se dit «confiant en le peuple algérien qui n'est pas aussi débile que certains qui prétendent le connaître». Fort de cette conviction, il affirme que «toutes les options restent ouvertes».Il affirme être pour un changement dans l'immédiat, «aujourd'hui et pas demain», rappelant que les mêmes pratiques reviennent lors de chaque élection il regrette que les revendications socioprofessionnelles légitimes de certaines catégories professionnelles «ne préoccupent pas le gouvernement, les moudjahiddine de Novembre ont libéré le pays par les armes, il revient à nous maintenant de le libérer par les urnes», a-t-il suggéré, affirmant «nous vivons dans une situation paradoxale qui élève l'érection de l'échec en succès dans tous les domaines». Il se dit «conséquent avec lui-même», sans toutefois «s'abaisser à un certain débat il dira «à chacun de prendre ses responsabilités». Le postulant à la magistrature suprême du pays ne nie pas que des réalisations positives ont été réalisées ces dix dernières années, citant le retour à la paix et à la sérénité, acquis qu'il estime devoir préserver ,et hélas, nuance-t-il, «il y a beaucoup de choses négatives comme l'absence d'une vision politique et économique claire et une bonne gouvernance». Selon lui, «le business politique pollue la vie politique» et dans cette situation, affirme-t-il «il est difficile pour un homme politique de mener des actions dans ce domaine». Dans ce cadre, il considère que le retard dans l'octroi de la subvention ou l'aide financière de l'Etat aux candidats à l'élection présidentielle, «n'est pas fortuit». Il vise, selon lui, «à empêcher les autres candidats de mener leur campagne électorale». Fort de son expérience, il se dit « capable de s'adapter à cette situation » et dénonce «les tentatives d'influer l'opinion publique pour choisir un certain candidat». Le taux d'abstention ne le préoccupe pas particulièrement Il attribue le maigre taux de participation des citoyens aux élections «à la fermeture du champ politique et au verrouillage du champ médiatique». Concernant la fraude, il estime qu'il y en aura , malgré l'existence des textes de loi qui répriment cette pratique. «Il serait anormal qu'il n'y ait pas de fraude », ironise-t-il, assurant que «les observateurs étrangers n'ont aucune raison d'être là». Il se considère «appartenir à un courant majeur de la société algérienne dans sa triple dimensions et personnalités, islamité, arabité et amazighité» auquel il ajoute une autre valeur, la démocratie. Il se place déjà dans l'après-avril 2009, soulignant qu' «il n'est pas pressé d'arriver. Il faut que les gens me connaissent, car argue-t-il, la parole politique a perdu de sa crédibilité et il faut une concordance entre les paroles et l'acte». Il est optimiste sur ses résultats obtenus en fin de parcours et il reste optimiste pour l'agrément du parti qu'il vient de créer. Le candidat à l'élection présidentielle, Mohand-Oussaïd Bélaid (dit Mohamed Saïd) n'était ni optimiste mais pas pessimiste, non plus, hier, lors de la conférence de presse qu'il a animée au siège de sa permanence nationale à Alger. «Il faut être réaliste», a-t-il déclaré, déplorant «les dépassements d' un certain candidat qui a presque terminé sa campagne avant même que celle-ci ne commence». Pour autant les jeux selon lui ne sont pas faits. Il se dit «confiant en le peuple algérien qui n'est pas aussi débile que certains qui prétendent le connaître». Fort de cette conviction, il affirme que «toutes les options restent ouvertes».Il affirme être pour un changement dans l'immédiat, «aujourd'hui et pas demain», rappelant que les mêmes pratiques reviennent lors de chaque élection il regrette que les revendications socioprofessionnelles légitimes de certaines catégories professionnelles «ne préoccupent pas le gouvernement, les moudjahiddine de Novembre ont libéré le pays par les armes, il revient à nous maintenant de le libérer par les urnes», a-t-il suggéré, affirmant «nous vivons dans une situation paradoxale qui élève l'érection de l'échec en succès dans tous les domaines». Il se dit «conséquent avec lui-même», sans toutefois «s'abaisser à un certain débat il dira «à chacun de prendre ses responsabilités». Le postulant à la magistrature suprême du pays ne nie pas que des réalisations positives ont été réalisées ces dix dernières années, citant le retour à la paix et à la sérénité, acquis qu'il estime devoir préserver ,et hélas, nuance-t-il, «il y a beaucoup de choses négatives comme l'absence d'une vision politique et économique claire et une bonne gouvernance». Selon lui, «le business politique pollue la vie politique» et dans cette situation, affirme-t-il «il est difficile pour un homme politique de mener des actions dans ce domaine». Dans ce cadre, il considère que le retard dans l'octroi de la subvention ou l'aide financière de l'Etat aux candidats à l'élection présidentielle, «n'est pas fortuit». Il vise, selon lui, «à empêcher les autres candidats de mener leur campagne électorale». Fort de son expérience, il se dit « capable de s'adapter à cette situation » et dénonce «les tentatives d'influer l'opinion publique pour choisir un certain candidat». Le taux d'abstention ne le préoccupe pas particulièrement Il attribue le maigre taux de participation des citoyens aux élections «à la fermeture du champ politique et au verrouillage du champ médiatique». Concernant la fraude, il estime qu'il y en aura , malgré l'existence des textes de loi qui répriment cette pratique. «Il serait anormal qu'il n'y ait pas de fraude », ironise-t-il, assurant que «les observateurs étrangers n'ont aucune raison d'être là». Il se considère «appartenir à un courant majeur de la société algérienne dans sa triple dimensions et personnalités, islamité, arabité et amazighité» auquel il ajoute une autre valeur, la démocratie. Il se place déjà dans l'après-avril 2009, soulignant qu' «il n'est pas pressé d'arriver. Il faut que les gens me connaissent, car argue-t-il, la parole politique a perdu de sa crédibilité et il faut une concordance entre les paroles et l'acte». Il est optimiste sur ses résultats obtenus en fin de parcours et il reste optimiste pour l'agrément du parti qu'il vient de créer.