Amar Ghoul a émis des réserves quant à l'ouverture à la circulation dudit tronçon Bordj Bou-Arreridj-El Achir. Amar Ghoul a émis des réserves quant à l'ouverture à la circulation dudit tronçon Bordj Bou-Arreridj-El Achir. Les usagers devront attendre encore quelques semaines avant de pouvoir utiliser le tronçon de l'autoroute Est-ouest devant contourner les villes de Bordj Bou-Arreridj et d El Achir sur 23 km. Le ministre des Travaux publics qui était hier dans la région a une fois encore, émis des réserves quant à l'ouverture à la circulation du dit tronçon. «Il en sera ainsi tant que toutes les conditions de sécurité ne sont pas réunies» a déclaré Amar Ghoul qui hier était en visite d'inspection de ce projet dans sa partie Est. «La sécurité est exigé qu'i s'agisse de la protection de la chaussée sur ses deux côtés ou de la signalisation verticale et horizontale qui doivent être parfaites». Pour rappel, l'ouverture de cette partie de l'autoroute Est-ouest, tant attendue par les automobilistes venant et se rendant vers le constantinois devant permettre notamment d'éviter le «goulot d'étranglement» qu'est devenue la localité d El Achir, avait déjà été refusée, pour les mêmes raisons, par le ministre des Travaux publics lors de sa dernière visite à Bordj Bou-Arreridj Au niveau du tronçon reliant la localité de Zennouna aux limites administratives de la wilaya de Bouira sur 13 Km, Amar Ghoul, paraissait satisfait des travaux et du rythme de leur exécution. Il en a même félicité les entreprises qui ‘s'emploient à y réaliser pas moins de 121 ouvrages d'art. Cent deux (102) parmi ces ouvrages sont d'ores et déjà achevés sur cette partie de l'autoroute où est concentré un millier d'engins de travaux publics, et que le ministre a qualifié de «tronçon le plus difficile du projet. Et pour cause, les 13 km traversent, la zone montagneuse de Mansourah dont une partie, connue sous le nom «Les portes de fer», est marquée par de fortes dénivellations et une topographie particulièrement abrupte. Le ministre des Travaux public, n'a pas manqué à ses habitudes quand il est sur le terrain, alternant remontrances et félicitations. Se montrant intransigeant et compréhensif il s'est dit «globalement» satisfait des travaux de l'ouvrage dans sa partie Est-ouest dans sa partie traversant la wilaya de Bordj Bou Arreridj où il s'est permis un bain de foule, le ministre n'a pas manqué, dans un des cafés de la ville, « d'inviter » les jeunes à aller voter. Pour le ministre, les jeunes en général et les diplômés en particulier doivent pouvoir travailler sur le projet l'autoroute Est-ouest «une université à ciel ouvert », selon le ministre qui estime que ce «projet pharaonique» a déjà permis de capitaliser un acquis en expérience pour les cadres algériens des travaux publics. M. Ghoul a souhaité, dans ce contexte, que les lauréats des grandes écoles soient recrutés et formés sur ce chantier et exigé des responsables concernés l'organisation de stages de perfectionnement et de visites guidées pour les étudiants des écoles des travaux publics afin de les initier aux nouvelles techniques de réalisation, notamment celles présidant à la construction des ouvrages Les usagers devront attendre encore quelques semaines avant de pouvoir utiliser le tronçon de l'autoroute Est-ouest devant contourner les villes de Bordj Bou-Arreridj et d El Achir sur 23 km. Le ministre des Travaux publics qui était hier dans la région a une fois encore, émis des réserves quant à l'ouverture à la circulation du dit tronçon. «Il en sera ainsi tant que toutes les conditions de sécurité ne sont pas réunies» a déclaré Amar Ghoul qui hier était en visite d'inspection de ce projet dans sa partie Est. «La sécurité est exigé qu'i s'agisse de la protection de la chaussée sur ses deux côtés ou de la signalisation verticale et horizontale qui doivent être parfaites». Pour rappel, l'ouverture de cette partie de l'autoroute Est-ouest, tant attendue par les automobilistes venant et se rendant vers le constantinois devant permettre notamment d'éviter le «goulot d'étranglement» qu'est devenue la localité d El Achir, avait déjà été refusée, pour les mêmes raisons, par le ministre des Travaux publics lors de sa dernière visite à Bordj Bou-Arreridj Au niveau du tronçon reliant la localité de Zennouna aux limites administratives de la wilaya de Bouira sur 13 Km, Amar Ghoul, paraissait satisfait des travaux et du rythme de leur exécution. Il en a même félicité les entreprises qui ‘s'emploient à y réaliser pas moins de 121 ouvrages d'art. Cent deux (102) parmi ces ouvrages sont d'ores et déjà achevés sur cette partie de l'autoroute où est concentré un millier d'engins de travaux publics, et que le ministre a qualifié de «tronçon le plus difficile du projet. Et pour cause, les 13 km traversent, la zone montagneuse de Mansourah dont une partie, connue sous le nom «Les portes de fer», est marquée par de fortes dénivellations et une topographie particulièrement abrupte. Le ministre des Travaux public, n'a pas manqué à ses habitudes quand il est sur le terrain, alternant remontrances et félicitations. Se montrant intransigeant et compréhensif il s'est dit «globalement» satisfait des travaux de l'ouvrage dans sa partie Est-ouest dans sa partie traversant la wilaya de Bordj Bou Arreridj où il s'est permis un bain de foule, le ministre n'a pas manqué, dans un des cafés de la ville, « d'inviter » les jeunes à aller voter. Pour le ministre, les jeunes en général et les diplômés en particulier doivent pouvoir travailler sur le projet l'autoroute Est-ouest «une université à ciel ouvert », selon le ministre qui estime que ce «projet pharaonique» a déjà permis de capitaliser un acquis en expérience pour les cadres algériens des travaux publics. M. Ghoul a souhaité, dans ce contexte, que les lauréats des grandes écoles soient recrutés et formés sur ce chantier et exigé des responsables concernés l'organisation de stages de perfectionnement et de visites guidées pour les étudiants des écoles des travaux publics afin de les initier aux nouvelles techniques de réalisation, notamment celles présidant à la construction des ouvrages