Edifier un Etat de droit et de justice, rôle de l'opposition et rejet du paternalisme et de toutes formes d'oppression, tels sont les thèmes qu'a abordés, hier, à partir de Tlemcen, le candidat du FNA (Front national algérien), Moussa Touati. Le patron du FNA qui animait, au dixième jour de la campagne électorale, un meeting populaire à la Maison de la culture de la ville de Tlemcen, n'a pas manqué d'adresser de vives critiques aux partis d'opposition qui ont prôné le boycott de l'élection présidentielle du 9 avril. « Nous sommes un parti d'opposition et notre opposition est différente de celle des autres partis qui visent à discréditer l'Etat», a-t-il soutenu, expliquant que « le rôle des partis de l'opposition est d'évaluer l'efficacité des politiques et des réalisations accomplies»; selon Moussa Touati, «cette opposition tend à discréditer l'Etat», alors que sa formation «en tant que parti d'opposition vise à rétablir l'autorité du peuple». Et au leader du FNA d'asséner que son parti «rejette toutes les formes de paternalisme et d'oppression», soulignant que sa formation politique « s'oppose à ceux qui portent atteinte, à dessein ou par incompétence, à l'Algérie et aux Algériens». Le candidat Touati a tenu à souligner que sa formation politique « tend en premier lieu à rétablir l'autorité du peuple », notant que c'est pour ce «noble objectif» qu'il a été choisi par son parti comme candidat à la prochaine présidentielle. Appelant les Algériens, notamment les jeunes à construire eux-mêmes leur pays, Moussa Touati dénonce l'utilisation de la main d'œuvre étrangère dans les grands projets du pays. Une Algérie que les martyrs ont arrachée au colonisateur, s'est-il exclamé, soulignant la nécessité de réhabiliter le citoyen algérien et d'édifier un Etat de droit et de justice. Concernant le phénomène inquiétant de la corruption qui gangrène tous les secteurs d'activité, l'orateur a estimé que «c'est la dégradation du pouvoir d'achat et du niveau de vie des fonctionnaires qui est à l'origine de la recrudescence de la corruption». Par ailleurs, Moussa Touati ne s'est pas gêné pour critiquer le vote par procuration à cette présidentielle qui, selon lui, a «créé un climat malsain» au sein du parti. Edifier un Etat de droit et de justice, rôle de l'opposition et rejet du paternalisme et de toutes formes d'oppression, tels sont les thèmes qu'a abordés, hier, à partir de Tlemcen, le candidat du FNA (Front national algérien), Moussa Touati. Le patron du FNA qui animait, au dixième jour de la campagne électorale, un meeting populaire à la Maison de la culture de la ville de Tlemcen, n'a pas manqué d'adresser de vives critiques aux partis d'opposition qui ont prôné le boycott de l'élection présidentielle du 9 avril. « Nous sommes un parti d'opposition et notre opposition est différente de celle des autres partis qui visent à discréditer l'Etat», a-t-il soutenu, expliquant que « le rôle des partis de l'opposition est d'évaluer l'efficacité des politiques et des réalisations accomplies»; selon Moussa Touati, «cette opposition tend à discréditer l'Etat», alors que sa formation «en tant que parti d'opposition vise à rétablir l'autorité du peuple». Et au leader du FNA d'asséner que son parti «rejette toutes les formes de paternalisme et d'oppression», soulignant que sa formation politique « s'oppose à ceux qui portent atteinte, à dessein ou par incompétence, à l'Algérie et aux Algériens». Le candidat Touati a tenu à souligner que sa formation politique « tend en premier lieu à rétablir l'autorité du peuple », notant que c'est pour ce «noble objectif» qu'il a été choisi par son parti comme candidat à la prochaine présidentielle. Appelant les Algériens, notamment les jeunes à construire eux-mêmes leur pays, Moussa Touati dénonce l'utilisation de la main d'œuvre étrangère dans les grands projets du pays. Une Algérie que les martyrs ont arrachée au colonisateur, s'est-il exclamé, soulignant la nécessité de réhabiliter le citoyen algérien et d'édifier un Etat de droit et de justice. Concernant le phénomène inquiétant de la corruption qui gangrène tous les secteurs d'activité, l'orateur a estimé que «c'est la dégradation du pouvoir d'achat et du niveau de vie des fonctionnaires qui est à l'origine de la recrudescence de la corruption». Par ailleurs, Moussa Touati ne s'est pas gêné pour critiquer le vote par procuration à cette présidentielle qui, selon lui, a «créé un climat malsain» au sein du parti.