Le candidat du parti AHD 54 à l'élection présidentielle du 9 avril, Ali Fawzi Rebaïne, veut « redresser » l'Algérie et lui rendre son visage de pays prospère en proposant d'appliquer les vertus de l'économie de marché et le développement de la PME/PMI créatrices de richesses et d'emplois. Se fondant sur l'exercice démocratique du pouvoir avec l'alternance au niveau de la présidence de la République, ce postulant à la magistrature suprême estime dans ses différents meetings tenus à Aïn Témouchent et à El Oued que le glas a sonné pour construire une véritable économie basée essentiellement sur un système nouveau et rentable pour l'économie nationale, sans aucune forme de gaspillage financier. Son credo est l'élévation du niveau de vie des masses popularises par le biais de l'arrêt de la spirale inflationniste et la hausse des prix des denrées alimentaires de première nécessité. La phrase générique revenant dans les discours de Rebaïne concerne l'agriculture, considérée comme un secteur économique stratégique devant garantir l'autosuffisance alimentaire et la sécurité, ainsi que l'autonomie, car cela réduit énormément les charges financières liées aux importations de produits alimentaires se chiffrant à plus de 8 milliards de dollars par an, sachant que la facture augmente sans cesse en raison de la démographie galopante et l'accroissement des besoins de la population. Avant la 19e étape de sa campagne électorale qui prendra fin le 6 avril à Tipasa, Rebaïne a toujours mis en relief, dans ses rencontres avec les citoyens, notamment à El Meghaier, dans la wilaya d'El Oued, «la nécessité d'aider les exploitants agricoles et de définir une nouvelle politique des investissements, qualifiant la stratégie actuelle du gouvernement d'inefficace et d'inopérante». Rebaïne insiste également sur l'impérative action des pouvoirs publics pour drainer les investissements étrangers qui seront utiles au pays, sans pour autant décourager l'investissement national, public et privé. «Les investisseurs étrangers ont abandonné leurs projets d'investissement à cause des difficultés à s'adapter à l'environnement et au système juridique de notre pays, des entraves administratives et de la corruption, sachant que le climat des affaires doit être amélioré». En effet, les hommes d'affaires internationaux hésitent à investir en Algérie, dans la mesure où la bureaucratie est envahissante à tous les niveaux de l'administration. A titre d'exemple, un investisseur algérien établi à Marseille et qui s'exprimait lors d'un séminaire organisé à l'Algex (Agence nationale de promotion des investissements), a récemment rencontré d'énormes entraves bureaucratiques au niveau de l'administration pour le dépôt d'une demande d'investissement. «Le pouvoir bafoue les droits de l'Homme» Le candidat à l'élection présidentielle, le président de Ahd 54, Ali Faouzi Rebaine a animé ce lundi matin au théatre municipal Triki- Mahmoud à Guelma, devant une nombreuse assistance, un meeting expéditif axé sur les droits de l'Homme en Algérie. D'emblée, l'orateur fustige le Pouvoir : « Ce n'est pas une campagne facile, nous manquons de moyens cruciaux dans notre tournée à travers le territoire national!» Il dénonce la création de l' Observatoire des droits de l'Homme qui regroupe en fait des fonctionnaires soumis qui ne jouissent d'aucune neutralité ni indépendance pour mener à bien leur noble mission. Rebaïne s'enflamme : «Les droits politiques et sociaux des citoyens ne sont pas respectés par nos dirigeants qui persécutent et sanctionnent ceux qui osent défendre les opprimés, victimes d'injustices avérées. Le Pouvoir légifère sans consulter le peuple pourtant souverain!» Le candidat au palais d'El Mouradia a déploré le verrouillage des médias lourds qui privilégient les activités quotidiennes de l'actuel locataire et ce, au détriment des responsables des partis politiques prônant l'opposition qui sont brièvement rappelés à l'opinion publique tous les cinq ans (campagne électorale oblige!) Rebaïne s'exclame : « Le Pouvoir appréhende le 9 avril prochain. Il redoute un large taux d'abstention, en fait une sévère sanction du peuple et un verdict incontournable !» Le président de Ahd 54 a succinctement abordé le rôle de la femme dont les droits sont méprisés par les décideurs. Hamid. Baâli. Le candidat du parti AHD 54 à l'élection présidentielle du 9 avril, Ali Fawzi Rebaïne, veut « redresser » l'Algérie et lui rendre son visage de pays prospère en proposant d'appliquer les vertus de l'économie de marché et le développement de la PME/PMI créatrices de richesses et d'emplois. Se fondant sur l'exercice démocratique du pouvoir avec l'alternance au niveau de la présidence de la République, ce postulant à la magistrature suprême estime dans ses différents meetings tenus à Aïn Témouchent et à El Oued que le glas a sonné pour construire une véritable économie basée essentiellement sur un système nouveau et rentable pour l'économie nationale, sans aucune forme de gaspillage financier. Son credo est l'élévation du niveau de vie des masses popularises par le biais de l'arrêt de la spirale inflationniste et la hausse des prix des denrées alimentaires de première nécessité. La phrase générique revenant dans les discours de Rebaïne concerne l'agriculture, considérée comme un secteur économique stratégique devant garantir l'autosuffisance alimentaire et la sécurité, ainsi que l'autonomie, car cela réduit énormément les charges financières liées aux importations de produits alimentaires se chiffrant à plus de 8 milliards de dollars par an, sachant que la facture augmente sans cesse en raison de la démographie galopante et l'accroissement des besoins de la population. Avant la 19e étape de sa campagne électorale qui prendra fin le 6 avril à Tipasa, Rebaïne a toujours mis en relief, dans ses rencontres avec les citoyens, notamment à El Meghaier, dans la wilaya d'El Oued, «la nécessité d'aider les exploitants agricoles et de définir une nouvelle politique des investissements, qualifiant la stratégie actuelle du gouvernement d'inefficace et d'inopérante». Rebaïne insiste également sur l'impérative action des pouvoirs publics pour drainer les investissements étrangers qui seront utiles au pays, sans pour autant décourager l'investissement national, public et privé. «Les investisseurs étrangers ont abandonné leurs projets d'investissement à cause des difficultés à s'adapter à l'environnement et au système juridique de notre pays, des entraves administratives et de la corruption, sachant que le climat des affaires doit être amélioré». En effet, les hommes d'affaires internationaux hésitent à investir en Algérie, dans la mesure où la bureaucratie est envahissante à tous les niveaux de l'administration. A titre d'exemple, un investisseur algérien établi à Marseille et qui s'exprimait lors d'un séminaire organisé à l'Algex (Agence nationale de promotion des investissements), a récemment rencontré d'énormes entraves bureaucratiques au niveau de l'administration pour le dépôt d'une demande d'investissement. «Le pouvoir bafoue les droits de l'Homme» Le candidat à l'élection présidentielle, le président de Ahd 54, Ali Faouzi Rebaine a animé ce lundi matin au théatre municipal Triki- Mahmoud à Guelma, devant une nombreuse assistance, un meeting expéditif axé sur les droits de l'Homme en Algérie. D'emblée, l'orateur fustige le Pouvoir : « Ce n'est pas une campagne facile, nous manquons de moyens cruciaux dans notre tournée à travers le territoire national!» Il dénonce la création de l' Observatoire des droits de l'Homme qui regroupe en fait des fonctionnaires soumis qui ne jouissent d'aucune neutralité ni indépendance pour mener à bien leur noble mission. Rebaïne s'enflamme : «Les droits politiques et sociaux des citoyens ne sont pas respectés par nos dirigeants qui persécutent et sanctionnent ceux qui osent défendre les opprimés, victimes d'injustices avérées. Le Pouvoir légifère sans consulter le peuple pourtant souverain!» Le candidat au palais d'El Mouradia a déploré le verrouillage des médias lourds qui privilégient les activités quotidiennes de l'actuel locataire et ce, au détriment des responsables des partis politiques prônant l'opposition qui sont brièvement rappelés à l'opinion publique tous les cinq ans (campagne électorale oblige!) Rebaïne s'exclame : « Le Pouvoir appréhende le 9 avril prochain. Il redoute un large taux d'abstention, en fait une sévère sanction du peuple et un verdict incontournable !» Le président de Ahd 54 a succinctement abordé le rôle de la femme dont les droits sont méprisés par les décideurs. Hamid. Baâli.