Des meetings, rencontres de proximité, lettres personnalisées adressées aux électeurs, ont été, entre autres, les principales actions entreprises en vue de sensibiliser les ressortissants algériens et les convaincre de l'utilité d'aller en masse accomplir leur devoir électoral. Des meetings, rencontres de proximité, lettres personnalisées adressées aux électeurs, ont été, entre autres, les principales actions entreprises en vue de sensibiliser les ressortissants algériens et les convaincre de l'utilité d'aller en masse accomplir leur devoir électoral. C'est donc aujourd'hui, et conformément à une disposition de la loi électorale, que débute le vote de la communauté algérienne établie à l'étranger. Presque un million d'Algériens (941.455 électeurs plus exactement) vont devoir en effet mettre leur bulletin de vote dans l'urne et exprimer par là même leur choix pour l'un des six candidats à l'élection présidentielle du 09 avril prochain. Et pour pouvoir suivre de près l'évolution de cette opération électorale qui s'étalera jusqu'au jeudi prochain, le ministère des Affaires étrangères a prévu de lancer au niveau de son siège à Alger, dès aujourd'hui dans la matinée et en présence du chef de la diplomatie algérienne, Mourad Medelci, les activités de la salle des opérations de suivi du vote de la communauté algérienne à l'étranger. Il est évident que toute l'attention des autorités, des candidats et sans doute de l'opinion publique nationale sera focalisée sur l'événement d'aujourd'hui. Et si les regards seront rivés en direction des pays européens en général et de la France en particulier, qui accueillent faut-il le rappeler la majorité des membres de la communauté algérienne établie à l'étranger, c'est que cette dernière a toujours constitué un indice sur la conduite que pourrait avoir l'électorat à l'échelle nationale le 9 avril. En d'autres termes — et l'on se rappelle surtout la première élection pluraliste en Algérie en 1995 et celle de 1999 — l'engouement de la communauté nationale à l'étranger pour le scrutin pourrait avoir un effet d'entraînement sur les électeurs et dicter ainsi leur ligne de conduite le jeudi prochain. C'est pourquoi, soucieux d'assurer la plus large participation possible, les représentations diplomatiques à l'étranger, ont mené une vaste campagne de sensibilisation en direction des membres de cette communauté sur l'importance du vote. C'est ainsi que des meetings, rencontres de proximité, lettres personnalisées adressées aux électeurs ont été, entre autres, les principales actions entreprises en vue de sensibiliser les ressortissants algériens et les convaincre de l'utilité d'aller en masse accomplir leur devoir électoral. Rien qu'en France, plusieurs meetings et rencontres régionales ont été initiés par l'ambassadeur d'Algérie, Missoum Sbih, et le consul général d'Algérie, Meziane Cherif. Ces missions diplomatiques ont aussi procédé à une révision exceptionnelle des listes électorales. Et à en croire les déclarations des diplomates algériens en poste, de nombreux Algériens, des jeunes notamment, ont tenu à se faire inscrire sur les listes électorales. Cette opération a permis de constater une hausse importante du nombre d'électeurs. Ce denier est passé, en effet, de 773.383 en avril 1999 pour atteindre 941.455 pour le scrutin de jeudi. Tout semble fin prêt pour cette opération tant tous les moyens humains et matériels pour le bon déroulement du scrutin semblent avoir été réunis. C'est ainsi que les services consulaires ont procédé à la délocalisation de certains bureaux de vote pour éviter aux électeurs d'effectuer de longs déplacements. Place donc à l'expression des électeurs. Pour qui va voter la communauté algérienne établie à l'étranger ? Tout porte à croire que la majorité des votants vont accorder leur suffrage au candidat indépendant Abdelaziz Bouteflika. Les représentants de ce dernier ont, il est vrai, mené une importante campagne en sa faveur. Des meetings ont été animés dans de nombreuses capitales européennes et même au Canada par des figures en vue de la scène politique nationale. Les actions de proximité n'ont pas été en reste. Ceci contraste avec l'absence remarquée sur le terrain des représentants des cinq autres candidats qui justifient cet effacement par le manque de moyens. C'est dire que le président candidat a pris une sérieuse avance sur ses rivaux. Mais le véritable enjeu de ce scrutin est ailleurs. En effet, aux yeux des observateurs, celui-ci se situe au niveau du taux de participation à ce rendez-vous électoral. C'est donc aujourd'hui, et conformément à une disposition de la loi électorale, que débute le vote de la communauté algérienne établie à l'étranger. Presque un million d'Algériens (941.455 électeurs plus exactement) vont devoir en effet mettre leur bulletin de vote dans l'urne et exprimer par là même leur choix pour l'un des six candidats à l'élection présidentielle du 09 avril prochain. Et pour pouvoir suivre de près l'évolution de cette opération électorale qui s'étalera jusqu'au jeudi prochain, le ministère des Affaires étrangères a prévu de lancer au niveau de son siège à Alger, dès aujourd'hui dans la matinée et en présence du chef de la diplomatie algérienne, Mourad Medelci, les activités de la salle des opérations de suivi du vote de la communauté algérienne à l'étranger. Il est évident que toute l'attention des autorités, des candidats et sans doute de l'opinion publique nationale sera focalisée sur l'événement d'aujourd'hui. Et si les regards seront rivés en direction des pays européens en général et de la France en particulier, qui accueillent faut-il le rappeler la majorité des membres de la communauté algérienne établie à l'étranger, c'est que cette dernière a toujours constitué un indice sur la conduite que pourrait avoir l'électorat à l'échelle nationale le 9 avril. En d'autres termes — et l'on se rappelle surtout la première élection pluraliste en Algérie en 1995 et celle de 1999 — l'engouement de la communauté nationale à l'étranger pour le scrutin pourrait avoir un effet d'entraînement sur les électeurs et dicter ainsi leur ligne de conduite le jeudi prochain. C'est pourquoi, soucieux d'assurer la plus large participation possible, les représentations diplomatiques à l'étranger, ont mené une vaste campagne de sensibilisation en direction des membres de cette communauté sur l'importance du vote. C'est ainsi que des meetings, rencontres de proximité, lettres personnalisées adressées aux électeurs ont été, entre autres, les principales actions entreprises en vue de sensibiliser les ressortissants algériens et les convaincre de l'utilité d'aller en masse accomplir leur devoir électoral. Rien qu'en France, plusieurs meetings et rencontres régionales ont été initiés par l'ambassadeur d'Algérie, Missoum Sbih, et le consul général d'Algérie, Meziane Cherif. Ces missions diplomatiques ont aussi procédé à une révision exceptionnelle des listes électorales. Et à en croire les déclarations des diplomates algériens en poste, de nombreux Algériens, des jeunes notamment, ont tenu à se faire inscrire sur les listes électorales. Cette opération a permis de constater une hausse importante du nombre d'électeurs. Ce denier est passé, en effet, de 773.383 en avril 1999 pour atteindre 941.455 pour le scrutin de jeudi. Tout semble fin prêt pour cette opération tant tous les moyens humains et matériels pour le bon déroulement du scrutin semblent avoir été réunis. C'est ainsi que les services consulaires ont procédé à la délocalisation de certains bureaux de vote pour éviter aux électeurs d'effectuer de longs déplacements. Place donc à l'expression des électeurs. Pour qui va voter la communauté algérienne établie à l'étranger ? Tout porte à croire que la majorité des votants vont accorder leur suffrage au candidat indépendant Abdelaziz Bouteflika. Les représentants de ce dernier ont, il est vrai, mené une importante campagne en sa faveur. Des meetings ont été animés dans de nombreuses capitales européennes et même au Canada par des figures en vue de la scène politique nationale. Les actions de proximité n'ont pas été en reste. Ceci contraste avec l'absence remarquée sur le terrain des représentants des cinq autres candidats qui justifient cet effacement par le manque de moyens. C'est dire que le président candidat a pris une sérieuse avance sur ses rivaux. Mais le véritable enjeu de ce scrutin est ailleurs. En effet, aux yeux des observateurs, celui-ci se situe au niveau du taux de participation à ce rendez-vous électoral.