L'ancien chef d'Etat du Mozambique, Joachim Chissano, est arrivé samedi à Alger, en qualité de président de la mission d'observation de l'Union africaine (UA) pour l'élection présidentielle de jeudi prochain. «Je suis venu à Alger pour diriger la mission d'observation de l'Union africaine pour l'élection présidentielle du 9 avril. Notre rôle sera d'observer et de donner notre avis sur la manière dont le scrutin se déroulera», a déclaré M. Chissano à la presse. «Notre rôle est de veiller à ce que le scrutin se déroule dans le calme, la sérénité et le respect des institutions de l'Etat», a-t-il souligné. «Nous avons déjà dépêché une mission d'évaluation préliminaire qui nous a fait part de ce qu'ils avaient constaté et des entretiens qu'ils avaient eus avec les responsables algériens», sur la préparation du scrutin, a-t-il rappelé. Il a précisé, à cet effet, que cette mission «avait conclu que la préparation de l'élection était en bonne marche», exprimant son souhait qu'il sera "de même" pour le jour du vote. «Nous espérons qu'il y aura une élection normale et crédible qui se déroulera dans la transparence et dans le respect des règles démocratiques», a-t-il affirmé. La mission comprend une centaine de personnalités, dont des parlementaires, des personnalités qui ont déjà dirigé des commissions de surveillance électorale dans leurs pays respectifs, ainsi que des représentants de la société civile L'ancien chef d'Etat du Mozambique, Joachim Chissano, est arrivé samedi à Alger, en qualité de président de la mission d'observation de l'Union africaine (UA) pour l'élection présidentielle de jeudi prochain. «Je suis venu à Alger pour diriger la mission d'observation de l'Union africaine pour l'élection présidentielle du 9 avril. Notre rôle sera d'observer et de donner notre avis sur la manière dont le scrutin se déroulera», a déclaré M. Chissano à la presse. «Notre rôle est de veiller à ce que le scrutin se déroule dans le calme, la sérénité et le respect des institutions de l'Etat», a-t-il souligné. «Nous avons déjà dépêché une mission d'évaluation préliminaire qui nous a fait part de ce qu'ils avaient constaté et des entretiens qu'ils avaient eus avec les responsables algériens», sur la préparation du scrutin, a-t-il rappelé. Il a précisé, à cet effet, que cette mission «avait conclu que la préparation de l'élection était en bonne marche», exprimant son souhait qu'il sera "de même" pour le jour du vote. «Nous espérons qu'il y aura une élection normale et crédible qui se déroulera dans la transparence et dans le respect des règles démocratiques», a-t-il affirmé. La mission comprend une centaine de personnalités, dont des parlementaires, des personnalités qui ont déjà dirigé des commissions de surveillance électorale dans leurs pays respectifs, ainsi que des représentants de la société civile