En 2001, le maire de Guelma avait judicieusement décidé d'affecter un merveilleux site, abritant des dizaines de pins, aux fins de réaliser un square qui répond aux attentes citoyennes. Ce terrain, situé sur les hauteurs de la ville, plus précisément au niveau de la cité Champs-de- manœuvres, était à l'époque convoité par certains pontes qui rêvaient l'acquérir pour y édifier des logements promotionnels et un vaste centre commercial. Consécutivement à une délibération de l'APC, des démarches avaient été entamées pour finaliser cette opération d'intérêt général dont l'étude avait été confiée à un bureau d'architectes. Les travaux avaient été lancés début 2003 par les nouveaux locataires de l'Hôtel de ville puisqu'une entreprise de TP s'était attelée à aménager ce site et à réaliser, des allées et des voies piétonnes. Une année plus tard, les travaux avaient repris grâce à une enveloppe financière dégagée du budget communal, permettant l'édification d'une clôture en dur dont l'esthétique est indéniable. Depuis 2005, ce chantier est à l'arrêt au grand dam de la population qui aspirait à un havre de quiétude qui est, désormais investi par des couples en quête de quiétude et à la tombée de la nuit, par des energumènes qui consomment drogue et alcool. Des riverains se sont rapprochés du bureau du Midi Libre pour attirer l'attention des nouveaux élus de la ville afin de finaliser ce projet, avec des espaces verts, éclairage public, aires de jeu au profit des enfants, gardiennage, entretien permanent, etc. En 2001, le maire de Guelma avait judicieusement décidé d'affecter un merveilleux site, abritant des dizaines de pins, aux fins de réaliser un square qui répond aux attentes citoyennes. Ce terrain, situé sur les hauteurs de la ville, plus précisément au niveau de la cité Champs-de- manœuvres, était à l'époque convoité par certains pontes qui rêvaient l'acquérir pour y édifier des logements promotionnels et un vaste centre commercial. Consécutivement à une délibération de l'APC, des démarches avaient été entamées pour finaliser cette opération d'intérêt général dont l'étude avait été confiée à un bureau d'architectes. Les travaux avaient été lancés début 2003 par les nouveaux locataires de l'Hôtel de ville puisqu'une entreprise de TP s'était attelée à aménager ce site et à réaliser, des allées et des voies piétonnes. Une année plus tard, les travaux avaient repris grâce à une enveloppe financière dégagée du budget communal, permettant l'édification d'une clôture en dur dont l'esthétique est indéniable. Depuis 2005, ce chantier est à l'arrêt au grand dam de la population qui aspirait à un havre de quiétude qui est, désormais investi par des couples en quête de quiétude et à la tombée de la nuit, par des energumènes qui consomment drogue et alcool. Des riverains se sont rapprochés du bureau du Midi Libre pour attirer l'attention des nouveaux élus de la ville afin de finaliser ce projet, avec des espaces verts, éclairage public, aires de jeu au profit des enfants, gardiennage, entretien permanent, etc.
