Lors des travaux de terrassement, les ouvriers d'une entreprise étrangère ont mis à nu des vestiges de l'époque romaine comme devaient l'attester des archéologues dépêchés par le ministère de la Culture. Pour des raisons évidentes, les autorités locales décidèrent d'abandonner ce projet et ce terrain fut classé et protégé par les experts algériens. Lors des travaux de terrassement, les ouvriers d'une entreprise étrangère ont mis à nu des vestiges de l'époque romaine comme devaient l'attester des archéologues dépêchés par le ministère de la Culture. Pour des raisons évidentes, les autorités locales décidèrent d'abandonner ce projet et ce terrain fut classé et protégé par les experts algériens. Vers la fin des années 80, la société française Fougerolle qui avait réalisé quelques milliers de logements collectifs sur les hauteurs du chef-lieu de wilaya, avait entamé l'édification de deux tours d'une dizaine d'étages sur un site mitoyen à la mosquée El Qods et à l'école Med Laïd El Khalifa. Lors des travaux de terrassement, les ouvriers de cette entreprise étrangère ont mis à nu des vestiges de l'époque romaine comme devaient l'attester des archéologues dépêchés par le ministère de la Culture. Pour des raisons évidentes, les autorités locales décidèrent d'abandonner ce projet et ce terrain fut classé et protégé par les experts algériens. Au fil des ans, ce site, dépassant allègrement les deux hectares, fut convoité par des barons de la région qui voulaient l'acquérir à des fins mercantiles pour y construire un supermarché, des villas cossues et des logements promotionnels de grand standing. Vigilant, le maire de l'époque, aujourd'hui décédé, a mis fin à ces visées malsaines par le biais d'une délibération de la municipalité optant pour la réalisation d'un square d'utilité publique. Dans ce contexte, un bureau spécialisé avait été chargé de la confection des études, à savoir aménagement d'espaces verts, d'aires de jeux, de carrés de fleurs, d'allées piétonnes, de bancs publics, clôture et éclairage public. En 2001, ce terrain a connu un début de travaux de nivellement qui furent suspendus, pour des raisons inexpliquées, par les nouveaux locataires de l'Hôtel de ville. Le square, censé être un havre de paix et de détente pour les Guelmis, n'a jamais vu le jour. En revanche, ce site inespéré est devenu un dépotoir à ciel ouvert et des entreprises de travaux publics y déversent impunément leurs gravats au mépris des règles environnementales. Il reste à espérer que les actuels édiles de la ville du 8-Mai 45 mettront fin à ce massacre écologique et poursuivront l'œuvre du maire défunt, afin de répondre aux attentes citoyennes. Vers la fin des années 80, la société française Fougerolle qui avait réalisé quelques milliers de logements collectifs sur les hauteurs du chef-lieu de wilaya, avait entamé l'édification de deux tours d'une dizaine d'étages sur un site mitoyen à la mosquée El Qods et à l'école Med Laïd El Khalifa. Lors des travaux de terrassement, les ouvriers de cette entreprise étrangère ont mis à nu des vestiges de l'époque romaine comme devaient l'attester des archéologues dépêchés par le ministère de la Culture. Pour des raisons évidentes, les autorités locales décidèrent d'abandonner ce projet et ce terrain fut classé et protégé par les experts algériens. Au fil des ans, ce site, dépassant allègrement les deux hectares, fut convoité par des barons de la région qui voulaient l'acquérir à des fins mercantiles pour y construire un supermarché, des villas cossues et des logements promotionnels de grand standing. Vigilant, le maire de l'époque, aujourd'hui décédé, a mis fin à ces visées malsaines par le biais d'une délibération de la municipalité optant pour la réalisation d'un square d'utilité publique. Dans ce contexte, un bureau spécialisé avait été chargé de la confection des études, à savoir aménagement d'espaces verts, d'aires de jeux, de carrés de fleurs, d'allées piétonnes, de bancs publics, clôture et éclairage public. En 2001, ce terrain a connu un début de travaux de nivellement qui furent suspendus, pour des raisons inexpliquées, par les nouveaux locataires de l'Hôtel de ville. Le square, censé être un havre de paix et de détente pour les Guelmis, n'a jamais vu le jour. En revanche, ce site inespéré est devenu un dépotoir à ciel ouvert et des entreprises de travaux publics y déversent impunément leurs gravats au mépris des règles environnementales. Il reste à espérer que les actuels édiles de la ville du 8-Mai 45 mettront fin à ce massacre écologique et poursuivront l'œuvre du maire défunt, afin de répondre aux attentes citoyennes.