De nombreuses personnes sont encore portées disparues et les secours craignent que le bilan ne s'alourdisse. De nombreuses personnes sont encore portées disparues et les secours craignent que le bilan ne s'alourdisse. Un tremblement de terre d'une magnitude de 6,3 sur l'échelle de Richter a frappé la ville de L'Aquila durant la nuit du dimanche à lundi; l'épicentre se trouvait à 5 km de profondeur sous L'Aquila. Ce séisme était le dernier en date et le plus violent d'une série de secousses qui ont touché la région, dans la chaîne des Abruzzes. De nombreuses personnes sont encore portées disparues et les secours craignent que le bilan ne s'alourdisse. L'urgence nationale a été décidée par Silvio Berlusconi. Le bilan ne cesse de s'alourdir depuis. La télévision italienne Rai et l'agence Ansa avaient affirmé que dès les premières heures de la journée du lundi, plus de 40 personnes avaient trouvé la mort. Parmi les victimes, cinq enfants sont décédés dans l'écroulement de leur habitation et transportés vers les différent hôpitaux de l'Aquila, selon la télévision italienne. «Il faut s'attendre à de nombreuses victimes, beaucoup de blessés et plusieurs maisons effondrées», a confirmé Guido Bertolaso, le chef de la Protection civile italienne. Il s'agit d'une «situation dramatique, la pire tragédie de ce début de millénaire», a-t-il ajouté. «La situation à l'hôpital de L'Aquila devient chaque minute plus dramatique». De nombreux médecins soignent les blessés à ciel ouvert, devant l'entrée des urgences, a reporté la Rai. Une seule salle opératoire fonctionne et l'eau potable n'est pas accessible. Les blessés les plus graves sont transportés en hélicoptères dans des structures sanitaires voisines, ajoute la télévision. Le chef du gouvernement a annulé un voyage à Moscou pour se rendre sur place. «Je pars pour l'Aquila, j'ai renoncé au voyage à Moscou car je pense que la situation est telle que la présence du chef du gouvernement sur place peut être utile», a-t-il dit au cours d'une émission télévisée. Des milliers de personnes sont descendues dans les rues ou se sont rassemblées dans les stades de la région par peur de répliques. Selon la Protection civile, plus de 10.000 maisons et édifices ont été endommagés par la secousse. Sept personnes sont encore coincées sous les décombres d'une résidence universitaire dont une partie des bâtiments s'est écroulée. Quelques habitations se sont également effondrées. De nombreux habitants de l'Aquila ont commencé à quitter la ville par peur de répliques. La secousse a été ressentie jusque dans la capitale, où les citoyens ont senti des vibrations, et les alarmes de voitures se sont déclenchées. Pour rappel, l'Italie avait déjà été frappée par des séismes particulièrement dévastateurs. Un tremblement de terre de magnitude 6,9 avait ébranlé en novembre 1980 plusieurs régions proches de Naples, dans le sud de la Péninsule - la Campanie, la Basilicate et les Pouilles -, faisant près de 3.000 morts. En mai 1976, dans le Frioul (nord de l'Italie), un tremblement de terre de magnitude 6,4 avait fait un millier de morts et 45.000 sans abri. L'ensemble du territoire italien, qui s'étend sur plusieurs plaques tectoniques, est fortement exposé aux risques de tremblements de terre. Vingt millions d'Italiens sont "potentiellement exposés au risque sismique", selon les calculs de la Protection civile. Un tremblement de terre d'une magnitude de 6,3 sur l'échelle de Richter a frappé la ville de L'Aquila durant la nuit du dimanche à lundi; l'épicentre se trouvait à 5 km de profondeur sous L'Aquila. Ce séisme était le dernier en date et le plus violent d'une série de secousses qui ont touché la région, dans la chaîne des Abruzzes. De nombreuses personnes sont encore portées disparues et les secours craignent que le bilan ne s'alourdisse. L'urgence nationale a été décidée par Silvio Berlusconi. Le bilan ne cesse de s'alourdir depuis. La télévision italienne Rai et l'agence Ansa avaient affirmé que dès les premières heures de la journée du lundi, plus de 40 personnes avaient trouvé la mort. Parmi les victimes, cinq enfants sont décédés dans l'écroulement de leur habitation et transportés vers les différent hôpitaux de l'Aquila, selon la télévision italienne. «Il faut s'attendre à de nombreuses victimes, beaucoup de blessés et plusieurs maisons effondrées», a confirmé Guido Bertolaso, le chef de la Protection civile italienne. Il s'agit d'une «situation dramatique, la pire tragédie de ce début de millénaire», a-t-il ajouté. «La situation à l'hôpital de L'Aquila devient chaque minute plus dramatique». De nombreux médecins soignent les blessés à ciel ouvert, devant l'entrée des urgences, a reporté la Rai. Une seule salle opératoire fonctionne et l'eau potable n'est pas accessible. Les blessés les plus graves sont transportés en hélicoptères dans des structures sanitaires voisines, ajoute la télévision. Le chef du gouvernement a annulé un voyage à Moscou pour se rendre sur place. «Je pars pour l'Aquila, j'ai renoncé au voyage à Moscou car je pense que la situation est telle que la présence du chef du gouvernement sur place peut être utile», a-t-il dit au cours d'une émission télévisée. Des milliers de personnes sont descendues dans les rues ou se sont rassemblées dans les stades de la région par peur de répliques. Selon la Protection civile, plus de 10.000 maisons et édifices ont été endommagés par la secousse. Sept personnes sont encore coincées sous les décombres d'une résidence universitaire dont une partie des bâtiments s'est écroulée. Quelques habitations se sont également effondrées. De nombreux habitants de l'Aquila ont commencé à quitter la ville par peur de répliques. La secousse a été ressentie jusque dans la capitale, où les citoyens ont senti des vibrations, et les alarmes de voitures se sont déclenchées. Pour rappel, l'Italie avait déjà été frappée par des séismes particulièrement dévastateurs. Un tremblement de terre de magnitude 6,9 avait ébranlé en novembre 1980 plusieurs régions proches de Naples, dans le sud de la Péninsule - la Campanie, la Basilicate et les Pouilles -, faisant près de 3.000 morts. En mai 1976, dans le Frioul (nord de l'Italie), un tremblement de terre de magnitude 6,4 avait fait un millier de morts et 45.000 sans abri. L'ensemble du territoire italien, qui s'étend sur plusieurs plaques tectoniques, est fortement exposé aux risques de tremblements de terre. Vingt millions d'Italiens sont "potentiellement exposés au risque sismique", selon les calculs de la Protection civile.