La préservation et l'utilisation rationnelle de l'eau sont les moyens essentiels pouvant assurer la sécurité, concernant cette ressource, pour les générations futures. A ce titre, l'Agence nationale des barrages et transferts (ANBT), a confié à un groupement algéro-égyptien le marché relatif aux études et réalisation des ouvrages pour le transfert de l'eau du barrage de Beni-Haroun, dans la wilaya de Mila, vers des localités de cette région. L'enveloppe financière, consacrée à ce projet, est de l'ordre de 8 milliards de dinars soit l'équivalent de 80 millions d'euros. Le groupement algéro-égyptien en charge des travaux regroupe, selon l'ANBT, les entreprises suivantes : Kougc, Arab contracting et Hamza associates. Le délai de réalisation dudit projet est fixé à 20 mois. Le barrage de Beni Haroun est classé parmi les plus grands projets de l'agence, d'une capacité de 960 millions de m3 il est destiné à l'alimentation en eau potable des villes de Constantine, Mila et Jijel. Notons que les ouvrages de mobilisation et de transfert de l'eau, à l'horizon 2025, dépasseront la capacité des 9 milliards de mètres cubes. Le système de transfert de l'eau de Mostaganem, Arzew et Oran (MAO) concernera 155 millions m3 annuellement, le complexe Koudiat Acerdoune avec 178 millions de m3 : Bouira, Tizi Ouzou, M'sila et Médéa et Taksebt avec 180 millions de m3 annuellement, alimentera Tizi Ouzou, Boumerdès et Alger. Pour rappel l'ANBT a pour ambition la réalisation de 32 ouvrages, d'ailleurs en cours de réalisation pour une capacité de 1,8 milliard de m3 d'eau, 66 ouvrages en exploitation prioritaire pour une capacité de 5,8 milliards de m3 et 70 études de faisabilité pour la réalisation des ouvrages prévus pour une capacité de 1,5 milliard de m3 en eau potable et d'irrigation. Dans le même sillage et dans le cadre des différents ouvrages que l'ANBT a inscrit dans son programme, elle compte mettre en œuvre des moyens de récupération des eaux pluviales estimées à près de 7 milliards de m3. L'ANBT compte ainsi améliorer la situation des ressources en eau en Algérie, afin de répondre aux besoins de la population pour l'arrosage des terres agricoles, la lutte contre la désertification et créer ainsi un équilibre écologique. Selon les données de l'ANBT, le taux de remplissage des 60 barrages, répartis sur le territoire national, a atteint 74% soit une capacité de 3,7 milliards de m3 qui va permettre une disponibilité et sécurité de l'eau durant au moins trois ans. La préservation et l'utilisation rationnelle de l'eau sont les moyens essentiels pouvant assurer la sécurité, concernant cette ressource, pour les générations futures. A ce titre, l'Agence nationale des barrages et transferts (ANBT), a confié à un groupement algéro-égyptien le marché relatif aux études et réalisation des ouvrages pour le transfert de l'eau du barrage de Beni-Haroun, dans la wilaya de Mila, vers des localités de cette région. L'enveloppe financière, consacrée à ce projet, est de l'ordre de 8 milliards de dinars soit l'équivalent de 80 millions d'euros. Le groupement algéro-égyptien en charge des travaux regroupe, selon l'ANBT, les entreprises suivantes : Kougc, Arab contracting et Hamza associates. Le délai de réalisation dudit projet est fixé à 20 mois. Le barrage de Beni Haroun est classé parmi les plus grands projets de l'agence, d'une capacité de 960 millions de m3 il est destiné à l'alimentation en eau potable des villes de Constantine, Mila et Jijel. Notons que les ouvrages de mobilisation et de transfert de l'eau, à l'horizon 2025, dépasseront la capacité des 9 milliards de mètres cubes. Le système de transfert de l'eau de Mostaganem, Arzew et Oran (MAO) concernera 155 millions m3 annuellement, le complexe Koudiat Acerdoune avec 178 millions de m3 : Bouira, Tizi Ouzou, M'sila et Médéa et Taksebt avec 180 millions de m3 annuellement, alimentera Tizi Ouzou, Boumerdès et Alger. Pour rappel l'ANBT a pour ambition la réalisation de 32 ouvrages, d'ailleurs en cours de réalisation pour une capacité de 1,8 milliard de m3 d'eau, 66 ouvrages en exploitation prioritaire pour une capacité de 5,8 milliards de m3 et 70 études de faisabilité pour la réalisation des ouvrages prévus pour une capacité de 1,5 milliard de m3 en eau potable et d'irrigation. Dans le même sillage et dans le cadre des différents ouvrages que l'ANBT a inscrit dans son programme, elle compte mettre en œuvre des moyens de récupération des eaux pluviales estimées à près de 7 milliards de m3. L'ANBT compte ainsi améliorer la situation des ressources en eau en Algérie, afin de répondre aux besoins de la population pour l'arrosage des terres agricoles, la lutte contre la désertification et créer ainsi un équilibre écologique. Selon les données de l'ANBT, le taux de remplissage des 60 barrages, répartis sur le territoire national, a atteint 74% soit une capacité de 3,7 milliards de m3 qui va permettre une disponibilité et sécurité de l'eau durant au moins trois ans.