Le plus jeune des candidats à l‘élection présidentielle a fait montre, dix-neuf jours durant, d‘une grande combativité en mettant de l‘entrain dans sa campagne électorale au point où, considérant qu‘il y a avait un réel retour d‘écoute, il en est arrivé à la « conviction » qu‘il affrontera le président candidat au deuxième tour. Mohamed Djahid Younsi, natif de Annaba en 1961, et dont c‘est la première participation à une compétition électorale de cette envergure, a, dès son jeune âge, adopté les thèses de la mouvance islamiste en fréquentant, assidument, une fois à l‘université de cette ville où il a entamé des études d‘ingéniorat en mécanique, les « halquate » des tenants de la « Djamaa islamiya », devenue à l‘ére du multipartisme le mouvement Ennahda. En disciple de Abdallah Djaballah, avant de se retourner contre lui et de l‘évincer d‘ El Islah en prenant les rênes du mouvement, ce fils de chahid a été aux côtés du cheikh déchu lorsque il a créé cette formation politique. Djahid Younsi, qui est détenteur d‘un doctorat en robotique obtenu dans une université parisienne, a enseigné à l‘Institut de génie mécanique de l‘université de Guelma avant d‘en devenir directeur. Happé alors par l‘activité politique, puisqu‘il a cumulé deux mandats de député à l‘Assemblée populaire nationale (1997- 2002 et 2002 -2007), il a fini par quitter les travées des amphithéâtres et des salles de cours pour se consacrer définitivement à la politique. Son discours électoral avait fondamentalement une touche islamiste et c‘est pourquoi ses thèmes favoris durant cette campagne électorale ont trait, dans une large mesure, à la promotion et la préservation des valeurs authentiques de l‘identité algérienne, à savoir l‘islam, l‘arabité et l‘amazighité. Par conséquent, il a fait de l‘amnistie générale un thème majeur et a souvent martelé «qu‘Il ne peut y avoir une véritable réconciliation nationale sans une amnistie générale ». Pour lutter contre le chômage, il s‘est engagé à mettre toute son ardeur à soutenir et accompagner les jeunes sur lesquels il semble miser pour la création de petites et moyennes entreprises « pépinières » à propos desquelles il n‘a cessé de dire qu‘elles sont le salut de l‘Algérie pour rompre avec sa dépendance vis-à-vis des hydrocarbures. Le plus jeune des candidats à l‘élection présidentielle a fait montre, dix-neuf jours durant, d‘une grande combativité en mettant de l‘entrain dans sa campagne électorale au point où, considérant qu‘il y a avait un réel retour d‘écoute, il en est arrivé à la « conviction » qu‘il affrontera le président candidat au deuxième tour. Mohamed Djahid Younsi, natif de Annaba en 1961, et dont c‘est la première participation à une compétition électorale de cette envergure, a, dès son jeune âge, adopté les thèses de la mouvance islamiste en fréquentant, assidument, une fois à l‘université de cette ville où il a entamé des études d‘ingéniorat en mécanique, les « halquate » des tenants de la « Djamaa islamiya », devenue à l‘ére du multipartisme le mouvement Ennahda. En disciple de Abdallah Djaballah, avant de se retourner contre lui et de l‘évincer d‘ El Islah en prenant les rênes du mouvement, ce fils de chahid a été aux côtés du cheikh déchu lorsque il a créé cette formation politique. Djahid Younsi, qui est détenteur d‘un doctorat en robotique obtenu dans une université parisienne, a enseigné à l‘Institut de génie mécanique de l‘université de Guelma avant d‘en devenir directeur. Happé alors par l‘activité politique, puisqu‘il a cumulé deux mandats de député à l‘Assemblée populaire nationale (1997- 2002 et 2002 -2007), il a fini par quitter les travées des amphithéâtres et des salles de cours pour se consacrer définitivement à la politique. Son discours électoral avait fondamentalement une touche islamiste et c‘est pourquoi ses thèmes favoris durant cette campagne électorale ont trait, dans une large mesure, à la promotion et la préservation des valeurs authentiques de l‘identité algérienne, à savoir l‘islam, l‘arabité et l‘amazighité. Par conséquent, il a fait de l‘amnistie générale un thème majeur et a souvent martelé «qu‘Il ne peut y avoir une véritable réconciliation nationale sans une amnistie générale ». Pour lutter contre le chômage, il s‘est engagé à mettre toute son ardeur à soutenir et accompagner les jeunes sur lesquels il semble miser pour la création de petites et moyennes entreprises « pépinières » à propos desquelles il n‘a cessé de dire qu‘elles sont le salut de l‘Algérie pour rompre avec sa dépendance vis-à-vis des hydrocarbures.