La succession d'évènements qui ont secoué notre société, notamment notre jeunesse durant la décennie noire, a abouti, sans contexte, à beaucoup de violence, inexpliquée, qui trouve son champ d'application dans des endroits publics tels les stades, les marchés, voire même les établissements scolaires. Cela a conduit à l'immobilisme des jeunes et à leur cloisonnement dans des périmètres très restreints, ce qui a développé en eux des complexes qui les ont «déculturés». Une analyse objective et une interrogation sereine, qui opposent les générations sur l'histoire et notamment la guerre de Libération, nous oblige à venir à la rescousse d'une jeunesse désemparée perdue et éclatée par de terribles conflits où la liberté signifie le règne du plus fort, et la défense violente de l'histoire où l'absence de l'information est souvent synonyme de rejet. Partant de ce constat, et après avoir mis en pratique des projets à caractère éducatif et citoyen tel que «Sur les sentiers de la liberté» en 2007, «De l'insurrection au Congrès de la Soummam» en 2008, la grande adhésion des jeunes participants ainsi que les jeunes ayant accueilli dans leurs wilayas ces projets, nous a permis de réfléchir à une continuité de notre action et de créer des clubs de jeunes randonneurs au niveau des maisons de jeunes, ce qui donnera à notre jeunesse une certaine mobilité dans leur vie et leur permettra d'acquérir une culture avec des valeurs citoyennes en s'imprégnant de la culture universelle. Sans oublier l'autre jeunesse issue de l'immigration et qui se trouve de l'autre côté de la rive en butte aux discriminations et aux difficultés d'une integration que la réalité sociale lui interdit souvent et où la recherche d'un repère culturel devient indispensable. La succession d'évènements qui ont secoué notre société, notamment notre jeunesse durant la décennie noire, a abouti, sans contexte, à beaucoup de violence, inexpliquée, qui trouve son champ d'application dans des endroits publics tels les stades, les marchés, voire même les établissements scolaires. Cela a conduit à l'immobilisme des jeunes et à leur cloisonnement dans des périmètres très restreints, ce qui a développé en eux des complexes qui les ont «déculturés». Une analyse objective et une interrogation sereine, qui opposent les générations sur l'histoire et notamment la guerre de Libération, nous oblige à venir à la rescousse d'une jeunesse désemparée perdue et éclatée par de terribles conflits où la liberté signifie le règne du plus fort, et la défense violente de l'histoire où l'absence de l'information est souvent synonyme de rejet. Partant de ce constat, et après avoir mis en pratique des projets à caractère éducatif et citoyen tel que «Sur les sentiers de la liberté» en 2007, «De l'insurrection au Congrès de la Soummam» en 2008, la grande adhésion des jeunes participants ainsi que les jeunes ayant accueilli dans leurs wilayas ces projets, nous a permis de réfléchir à une continuité de notre action et de créer des clubs de jeunes randonneurs au niveau des maisons de jeunes, ce qui donnera à notre jeunesse une certaine mobilité dans leur vie et leur permettra d'acquérir une culture avec des valeurs citoyennes en s'imprégnant de la culture universelle. Sans oublier l'autre jeunesse issue de l'immigration et qui se trouve de l'autre côté de la rive en butte aux discriminations et aux difficultés d'une integration que la réalité sociale lui interdit souvent et où la recherche d'un repère culturel devient indispensable.