Le CNES Dans son plaidoyer défendant son institution, Med-Seghir Babès apportera d'autres arguments pour prouver que le CNES fonctionne toujours. Le CNES Dans son plaidoyer défendant son institution, Med-Seghir Babès apportera d'autres arguments pour prouver que le CNES fonctionne toujours. «Le CNES n'a jamais cessé de fonctionner, le CNES n'est pas mis en veille. Plus que jamais, le CNES est actif, voire ultra-actif, il ne sera pas réactivé parce qu'il n'a jamais été désactivé.» C'est en ces termes que le président du Conseil national économique et social a tenu à répondre ce jeudi sur les ondes de la Chaîne III, à tous ceux qui estiment que son institution est devenue un bureau d'étude et de consulting. «Tant pis pour les esprits chagrins» dira Med-Seghir Babès, «mais un renouvellement interviendra au sein de ce conseil qui sera recomposé». Et ceux qui doutent encore de l'intérêt et de l'apport de cette institution, Med-Seghir Babès les renvoie au programme du président A. Bouteflika, qui, dans son dernier chapitre, met en exergue le travail accompli par le CNES et réitère le fait que «plus que jamais, le gouvernement s'appuiera sur cette institution». C'est donc, sur la base de ce qui a été fait ces 4 dernières années, que le chef de l'Etat a fait part de cette conviction de s'appuyer encore sur le CNES devenu aujourd'hui selon son président, «un espace clé qui soutient le dialogue national, une des priorités du chef de l'Etat». Dans son plaidoyer défendant son institution, Med-Seghir Babès apportera d'autres arguments pour prouver que le CNES fonctionne toujours. Il citera pour cela la réunion que cette institution a tenue avec son homologue française en session conjointe en février dernier à Alger «Si le CNES n'était plus, comment peut-il se réunir avec une institution aussi importante» dira t-il. Pour le premier responsable du CNES, «il y a aujourd'hui une reconnaissance de facto pour cette institution et ses capacités sur-développées et sur-potentialisées». Le mandat du CNES est toujours le même, ce qui a changé, selon les propos de son président «c'est cette volonté de chercher dans tous les espaces qui étaient porteurs, plus loin que les 180 membres que compte cette institution». Le CNES fait actuellement appel à des compétences extérieures. Trois polarités peuvent aujourd'hui le caractériser dira, Med-Seghir Babès» la société civile plus que jamais présente, les pouvoirs publics et le pôle académique. Trois fonctionnalités qui ont porté le CNES à son optimum de réflexion et qui ont permis de faire de cette institution une pratique exemplaire». Le CNES se prononce sur la politique Algérienne en matière de TIC Le président de CNES a annoncé que suite à une saisine du Premier ministre, il a remis il y a quelques jours un rapport sur la politique proposée par Hamid Bessalah ministre de la Poste et des Technologies de l'information et dela communication : «Ahmed Ouyahia nous a demandé notre point de vue, et nos recommandations sur le programme des TIC. C'est sur la base de ce que nous avons fait en matière d'économie basée sur le savoir que le Premier ministre nous a demandé notre avis». Sans donner plus de détails, Med-Seghir dira que ce rapport sera bien évidemment publié dans le Journal Officiel. Il a par ailleurs annoncé que lors de son entrevue avec le Premier ministre, ils se sont mis d'accord pour organiser un brainstorming avec les ministres chargés du développement humain. Rapport 2008 sur le développement humain les résultats ne sont pas contestables Les résultas du dernier rapport du CNES sur le développement humain ne souffrent aucune équivoque selon Med-Seghir Babès qui a indiqué que «la meilleure composante du CNES a travaillé sur ce rapport dont les résultats ont été avalisés par un expert consultant de renommée mondiale relevant du PNUD». Pour rappel, ce rapport s'est basé sur ce qui a été fait ces dernières années. Le président du CNES choisira d'évoquer l'exemple de l'emploi féminin qui a connu une nette évolution. Chiffres à l'appui sur la présence des femmes dans le monde du travail (60% dans le corps médical, 50% dans l'enseignement, 35% dans la magistrature et 100.000 femmes inscrites au Registre du commerce), Med-Seghir Babès dira que cela est annonciateur de bouleversements sociaux majeurs dans la société. Autre indicateur du développement humain, l'espérance de vie à la naissance, Med-Seghir Babès l'a également citée en rappelant que sur ce point l'Algérie rejoint les pays dits à développement humain élevé. «Ce rapport a fait la démonstration que la population algérienne ne va pas à l'appauvrissement «dira Med-Seghir Babès faisant de ce fait le lien avec qui a été dit par les candidats à l'élection présidentielle « ils ont tous voulu dire que l'Algérie est un pays riche et que la population est pauvre. Ce n'est pas vrai» dira Med Babès qui regrette que les candidats à l'élection présidentielle — à l'exception de A. Bouteflika—n'aient pas eu une vision ajustée de ce qu'est le développement humain. Le CNES dans deux semaines sur le terrain Le président du CNES a annoncé par ailleurs que dans deux semaines, son institution organisera pas moins de 8 campus «pour susciter des vocations et rencontrer la communauté universitaire avec la présence de l'ensemble de la société civile et les autorités locales». Des rencontres qui vont permettre de consolider la vision analytique du CNES avec le recul critique nécessaire aujourd'hui. «Plus que jamais le CNES contribuera de manière plus élargie à mettre en place des politiques ajustées, nous sommes investis d'une responsabilité institutionnelle» dira Med-Seghir Babès. 3 rapports en cours de préparation Enfin, le président du CNES a annoncé que les membres de cette institution travaillent actuellement sur 3 rapports «la sécurité sanitaire, la sécurité alimentaire et la sécurité énergétique». «Le CNES n'a jamais cessé de fonctionner, le CNES n'est pas mis en veille. Plus que jamais, le CNES est actif, voire ultra-actif, il ne sera pas réactivé parce qu'il n'a jamais été désactivé.» C'est en ces termes que le président du Conseil national économique et social a tenu à répondre ce jeudi sur les ondes de la Chaîne III, à tous ceux qui estiment que son institution est devenue un bureau d'étude et de consulting. «Tant pis pour les esprits chagrins» dira Med-Seghir Babès, «mais un renouvellement interviendra au sein de ce conseil qui sera recomposé». Et ceux qui doutent encore de l'intérêt et de l'apport de cette institution, Med-Seghir Babès les renvoie au programme du président A. Bouteflika, qui, dans son dernier chapitre, met en exergue le travail accompli par le CNES et réitère le fait que «plus que jamais, le gouvernement s'appuiera sur cette institution». C'est donc, sur la base de ce qui a été fait ces 4 dernières années, que le chef de l'Etat a fait part de cette conviction de s'appuyer encore sur le CNES devenu aujourd'hui selon son président, «un espace clé qui soutient le dialogue national, une des priorités du chef de l'Etat». Dans son plaidoyer défendant son institution, Med-Seghir Babès apportera d'autres arguments pour prouver que le CNES fonctionne toujours. Il citera pour cela la réunion que cette institution a tenue avec son homologue française en session conjointe en février dernier à Alger «Si le CNES n'était plus, comment peut-il se réunir avec une institution aussi importante» dira t-il. Pour le premier responsable du CNES, «il y a aujourd'hui une reconnaissance de facto pour cette institution et ses capacités sur-développées et sur-potentialisées». Le mandat du CNES est toujours le même, ce qui a changé, selon les propos de son président «c'est cette volonté de chercher dans tous les espaces qui étaient porteurs, plus loin que les 180 membres que compte cette institution». Le CNES fait actuellement appel à des compétences extérieures. Trois polarités peuvent aujourd'hui le caractériser dira, Med-Seghir Babès» la société civile plus que jamais présente, les pouvoirs publics et le pôle académique. Trois fonctionnalités qui ont porté le CNES à son optimum de réflexion et qui ont permis de faire de cette institution une pratique exemplaire». Le CNES se prononce sur la politique Algérienne en matière de TIC Le président de CNES a annoncé que suite à une saisine du Premier ministre, il a remis il y a quelques jours un rapport sur la politique proposée par Hamid Bessalah ministre de la Poste et des Technologies de l'information et dela communication : «Ahmed Ouyahia nous a demandé notre point de vue, et nos recommandations sur le programme des TIC. C'est sur la base de ce que nous avons fait en matière d'économie basée sur le savoir que le Premier ministre nous a demandé notre avis». Sans donner plus de détails, Med-Seghir dira que ce rapport sera bien évidemment publié dans le Journal Officiel. Il a par ailleurs annoncé que lors de son entrevue avec le Premier ministre, ils se sont mis d'accord pour organiser un brainstorming avec les ministres chargés du développement humain. Rapport 2008 sur le développement humain les résultats ne sont pas contestables Les résultas du dernier rapport du CNES sur le développement humain ne souffrent aucune équivoque selon Med-Seghir Babès qui a indiqué que «la meilleure composante du CNES a travaillé sur ce rapport dont les résultats ont été avalisés par un expert consultant de renommée mondiale relevant du PNUD». Pour rappel, ce rapport s'est basé sur ce qui a été fait ces dernières années. Le président du CNES choisira d'évoquer l'exemple de l'emploi féminin qui a connu une nette évolution. Chiffres à l'appui sur la présence des femmes dans le monde du travail (60% dans le corps médical, 50% dans l'enseignement, 35% dans la magistrature et 100.000 femmes inscrites au Registre du commerce), Med-Seghir Babès dira que cela est annonciateur de bouleversements sociaux majeurs dans la société. Autre indicateur du développement humain, l'espérance de vie à la naissance, Med-Seghir Babès l'a également citée en rappelant que sur ce point l'Algérie rejoint les pays dits à développement humain élevé. «Ce rapport a fait la démonstration que la population algérienne ne va pas à l'appauvrissement «dira Med-Seghir Babès faisant de ce fait le lien avec qui a été dit par les candidats à l'élection présidentielle « ils ont tous voulu dire que l'Algérie est un pays riche et que la population est pauvre. Ce n'est pas vrai» dira Med Babès qui regrette que les candidats à l'élection présidentielle — à l'exception de A. Bouteflika—n'aient pas eu une vision ajustée de ce qu'est le développement humain. Le CNES dans deux semaines sur le terrain Le président du CNES a annoncé par ailleurs que dans deux semaines, son institution organisera pas moins de 8 campus «pour susciter des vocations et rencontrer la communauté universitaire avec la présence de l'ensemble de la société civile et les autorités locales». Des rencontres qui vont permettre de consolider la vision analytique du CNES avec le recul critique nécessaire aujourd'hui. «Plus que jamais le CNES contribuera de manière plus élargie à mettre en place des politiques ajustées, nous sommes investis d'une responsabilité institutionnelle» dira Med-Seghir Babès. 3 rapports en cours de préparation Enfin, le président du CNES a annoncé que les membres de cette institution travaillent actuellement sur 3 rapports «la sécurité sanitaire, la sécurité alimentaire et la sécurité énergétique».