Dans une déclaration à la presse à l'issue de sa rencontre avec le président égyptien Hosni Moubarak, George Mitchell a indiqué que sa visite au Proche- Orient s'inscrivait dans le cadre des efforts de paix qui constituent l'un des principaux axes de la politique des Etats-Unis. Dans une déclaration à la presse à l'issue de sa rencontre avec le président égyptien Hosni Moubarak, George Mitchell a indiqué que sa visite au Proche- Orient s'inscrivait dans le cadre des efforts de paix qui constituent l'un des principaux axes de la politique des Etats-Unis. L'émissaire américain pour le Proche-Orient, George Mitchell, a réaffirmé samedi au Caire que la solution du conflit arabo-israélien passait par la solution à deux Etats, palestinien et israélien. Dans une déclaration à la presse à l'issue de sa rencontre avec le président égyptien Hosni Moubarak, George Mitchell a indiqué que sa visite au Proche- Orient s'inscrivait dans le cadre des efforts de paix qui constituent l'un des principaux axes de la politique des Etats-Unis. Il s'agit de "la position du président Barack Obama et celle que nous allons promouvoir avec beaucoup d'énergie", a-t-il poursuivi, soulignant que la résolution du conflit était "également dans l'intérêt des Etats-Unis". "Nous sommes convaincus qu'une paix globale au Proche-Orient n'est pas seulement dans l'intérêt des peuples de la région, mais est également dans l'intérêt national des Etats-Unis et de tous les peuples", a déclaré l'émissaire américain qui a visité Israël et les territoires palestiniens dans le cadre d'une tournée qui l'avait mené dans d'autres pays du Maghreb dont l'Algérie. "Nous sommes également conscients des complications et des entraves, mais nous poursuivons nos efforts et demeurerons attachés à nos objectifs de paix au Proche-Orient", a-t-il ajouté. L'émissaire américain pour le Proche-Orient, George Mitchell, est arrivé vendredi soir au Caire dans le cadre d'une tournée dans la région pour s'enquérir de la situation et des efforts consentis en faveur du processus de paix. L'Administration Obama serait à pied d'œuvre pour l'élaboration d'un plan de paix pour la région du Proche-Orient en incluant des négociations bilatérales entre Palestiniens et Israéliens et entre Israéliens et Syriens sur la base de l'initiative arabe de paix. Le gouvernement israélien formé depuis deux semaines n'a pas encore affiché sa position à l'égard de l'initiative arabe de paix, selon les observateurs. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, avait déclaré jeudi qu'Israël attendait des Palestiniens qu'"ils reconnaissent l'Etat d'Israël comme l'Etat du peuple juif". Les Palestiniens craignent que cette reconnaissance d'Israël comme l'Etat des juifs signifie le renoncement, pour les réfugiés, au "droit au retour" sur leurs terres. Quelque 760.000 Palestiniens ont été poussés à l'exode après la création d'Israël en 1948. L'émissaire américain pour le Proche-Orient, George Mitchell, a réaffirmé samedi au Caire que la solution du conflit arabo-israélien passait par la solution à deux Etats, palestinien et israélien. Dans une déclaration à la presse à l'issue de sa rencontre avec le président égyptien Hosni Moubarak, George Mitchell a indiqué que sa visite au Proche- Orient s'inscrivait dans le cadre des efforts de paix qui constituent l'un des principaux axes de la politique des Etats-Unis. Il s'agit de "la position du président Barack Obama et celle que nous allons promouvoir avec beaucoup d'énergie", a-t-il poursuivi, soulignant que la résolution du conflit était "également dans l'intérêt des Etats-Unis". "Nous sommes convaincus qu'une paix globale au Proche-Orient n'est pas seulement dans l'intérêt des peuples de la région, mais est également dans l'intérêt national des Etats-Unis et de tous les peuples", a déclaré l'émissaire américain qui a visité Israël et les territoires palestiniens dans le cadre d'une tournée qui l'avait mené dans d'autres pays du Maghreb dont l'Algérie. "Nous sommes également conscients des complications et des entraves, mais nous poursuivons nos efforts et demeurerons attachés à nos objectifs de paix au Proche-Orient", a-t-il ajouté. L'émissaire américain pour le Proche-Orient, George Mitchell, est arrivé vendredi soir au Caire dans le cadre d'une tournée dans la région pour s'enquérir de la situation et des efforts consentis en faveur du processus de paix. L'Administration Obama serait à pied d'œuvre pour l'élaboration d'un plan de paix pour la région du Proche-Orient en incluant des négociations bilatérales entre Palestiniens et Israéliens et entre Israéliens et Syriens sur la base de l'initiative arabe de paix. Le gouvernement israélien formé depuis deux semaines n'a pas encore affiché sa position à l'égard de l'initiative arabe de paix, selon les observateurs. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, avait déclaré jeudi qu'Israël attendait des Palestiniens qu'"ils reconnaissent l'Etat d'Israël comme l'Etat du peuple juif". Les Palestiniens craignent que cette reconnaissance d'Israël comme l'Etat des juifs signifie le renoncement, pour les réfugiés, au "droit au retour" sur leurs terres. Quelque 760.000 Palestiniens ont été poussés à l'exode après la création d'Israël en 1948.