Lancé par l'agence Sira Algérie, une boîte de communication spécialisée dans l'évènementiel, le Simit a réuni pour cette première édition plusieurs exposants représentant les thématiques et la géo-localisation, concepts phares de ce salon. Lancé par l'agence Sira Algérie, une boîte de communication spécialisée dans l'évènementiel, le Simit a réuni pour cette première édition plusieurs exposants représentant les thématiques et la géo-localisation, concepts phares de ce salon. Inauguré hier à Alger avec une affluence record composée essentiellement de professionnels et d'étudiants, le premier Salon international du mobile, de l'Internet et du télépaiement (SIMIT 2009) a donc suscité un exceptionnel engouement, sachant que les Algériens sont, de plus en plus, versés dans l'utilisation des nouvelles technologies de l'information et de la communication. Le président du Simit et directeur général de CJDIM (France), Mohamed El Ouahdoudi, estime que «cet évènement est un véritable succès, dans la mesure où pas moins de 1.400 inscriptions de professionnels algériens et étrangers ont été enregistrées, ce qui démontre l'intérêt pour ce salon. La problématique réside dans la vulgarisation des concepts et les technologies inhérentes au télépaiement, à la monétique et à la géo-localisation». La mission assignée à ce salon est de créer un cadre propice pour les professionnels et les médias et comprendre les enjeux et les thèmes abordés. A propos de l'externalisation, El Ouahdoudi dira qu'elle est en train d'avancer en Algérie, mais de manière discrète. Lancé par l'agence Sira Algérie, une boîte de communication spécialisée dans l'évènementiel professionnel, le Simit a réuni, pour cette première édition, plusieurs exposants représentant les thématiques et la géo-localisation, concepts phares de ce salon. Les organisateurs de cette rencontre estiment que «l'Algérie est entrée de plain-pied dans l'extension des NTIC à tous les niveaux de la vie économique, sociale et éducative. Pour autant, il manquait un espace professionnel dédié spécifiquement à ces solutions nouvelles facilitant la vie du citoyen et permettant de tirer profit des NTIC quotidiennement». Faisant l'état des lieux des NTIC en Algérie, les responsables du Simit soulignent que «le taux de bancarisation comme celui de l'équipement Internet restent encore loin des potentiels du pays. Les autoroutes de l'information doivent suivre le même rythme de développement et d'investissement que les autoroutes structurant chaque jour des pan sentiers du pays». La portée exacte du Simit est multiforme. Elle vise à confronter les expériences des acteurs et de faire connaître les solutions les mieux adaptées au marché algérien, comme elle projette d'aider également à la promotion d'offres nouvelles et innovantes. Lors d'une conférence de presse de présentation des résultats d'une double enquête sur le télépaiement et la convergence mobile et Internet, El Ouahdoudi a affirmé que «l'enjeu est purement économique et non technologique, et en matière de business intelligence, le télépaiement répond aux besoins du marché en apportant des solutions orientées vers la monétique». Selon cette étude empirique et scientifique, il ressort que «le marché algérien n'est pas suffisamment mature dans la convergence Internet-Mobile consistant en un rapprochement des technologies utilisées et des services proposés par les providers Internet et les opérateurs de téléphonie mobile». Aussi, le travail de fourmi effectué par Simit montre qu«'avec un taux de pénétration du mobile ayant atteint plus de 82 %, l'Algérien est devenu, en quelques années, un grand accro du mobile. Ce sont neuf Algériens sur dix qui ont accès au téléphone portable, contre 5 sur 10 en 2000, soit plus de 26 millions d'abonnés à la fin décembre 2008». Certains citoyens algériens possèdent plus de deux téléphones portables et l'utilisation du portable était basique, car limitée à passer des appels (voix) ou à échanger des SMS. Cependant, avec la mise en place de réseau permettant des trafics de données plus lourdes, affirme El Ouahdoudi, les trois opérateurs de téléphonie mobile, à savoir Mobilis, Nedjma et Djezzy, se préparent à l'évolution de usage des terminaux mobiles, en proposant des portails et des services permettant de télécharger ou de recevoir des contenus multimédias ou textuels répondant aux besoins des utilisateurs. ATM Mobilis, estime le P-DG de Mobilis, Lounis Belharrath, propose internet à ses clients via le service Blackberry en offrant à ses abonnés l'Internet mobile avec des débits qui restent corrects via la technologie «Adge'' atteignant un débit de 384 kbits. Pour la convergence Internet-mobile, Mobilis veut attendre les évolutions technologiques donnant des débits beaucoup plus importants, c'est-à-dire le développement haut débit. Pour l'EEPAD, la 3G est la solution pour la convergence Internet-mobile. Néanmoins, la convergence est le futur du multimédias, selon le SIMIT. Inauguré hier à Alger avec une affluence record composée essentiellement de professionnels et d'étudiants, le premier Salon international du mobile, de l'Internet et du télépaiement (SIMIT 2009) a donc suscité un exceptionnel engouement, sachant que les Algériens sont, de plus en plus, versés dans l'utilisation des nouvelles technologies de l'information et de la communication. Le président du Simit et directeur général de CJDIM (France), Mohamed El Ouahdoudi, estime que «cet évènement est un véritable succès, dans la mesure où pas moins de 1.400 inscriptions de professionnels algériens et étrangers ont été enregistrées, ce qui démontre l'intérêt pour ce salon. La problématique réside dans la vulgarisation des concepts et les technologies inhérentes au télépaiement, à la monétique et à la géo-localisation». La mission assignée à ce salon est de créer un cadre propice pour les professionnels et les médias et comprendre les enjeux et les thèmes abordés. A propos de l'externalisation, El Ouahdoudi dira qu'elle est en train d'avancer en Algérie, mais de manière discrète. Lancé par l'agence Sira Algérie, une boîte de communication spécialisée dans l'évènementiel professionnel, le Simit a réuni, pour cette première édition, plusieurs exposants représentant les thématiques et la géo-localisation, concepts phares de ce salon. Les organisateurs de cette rencontre estiment que «l'Algérie est entrée de plain-pied dans l'extension des NTIC à tous les niveaux de la vie économique, sociale et éducative. Pour autant, il manquait un espace professionnel dédié spécifiquement à ces solutions nouvelles facilitant la vie du citoyen et permettant de tirer profit des NTIC quotidiennement». Faisant l'état des lieux des NTIC en Algérie, les responsables du Simit soulignent que «le taux de bancarisation comme celui de l'équipement Internet restent encore loin des potentiels du pays. Les autoroutes de l'information doivent suivre le même rythme de développement et d'investissement que les autoroutes structurant chaque jour des pan sentiers du pays». La portée exacte du Simit est multiforme. Elle vise à confronter les expériences des acteurs et de faire connaître les solutions les mieux adaptées au marché algérien, comme elle projette d'aider également à la promotion d'offres nouvelles et innovantes. Lors d'une conférence de presse de présentation des résultats d'une double enquête sur le télépaiement et la convergence mobile et Internet, El Ouahdoudi a affirmé que «l'enjeu est purement économique et non technologique, et en matière de business intelligence, le télépaiement répond aux besoins du marché en apportant des solutions orientées vers la monétique». Selon cette étude empirique et scientifique, il ressort que «le marché algérien n'est pas suffisamment mature dans la convergence Internet-Mobile consistant en un rapprochement des technologies utilisées et des services proposés par les providers Internet et les opérateurs de téléphonie mobile». Aussi, le travail de fourmi effectué par Simit montre qu«'avec un taux de pénétration du mobile ayant atteint plus de 82 %, l'Algérien est devenu, en quelques années, un grand accro du mobile. Ce sont neuf Algériens sur dix qui ont accès au téléphone portable, contre 5 sur 10 en 2000, soit plus de 26 millions d'abonnés à la fin décembre 2008». Certains citoyens algériens possèdent plus de deux téléphones portables et l'utilisation du portable était basique, car limitée à passer des appels (voix) ou à échanger des SMS. Cependant, avec la mise en place de réseau permettant des trafics de données plus lourdes, affirme El Ouahdoudi, les trois opérateurs de téléphonie mobile, à savoir Mobilis, Nedjma et Djezzy, se préparent à l'évolution de usage des terminaux mobiles, en proposant des portails et des services permettant de télécharger ou de recevoir des contenus multimédias ou textuels répondant aux besoins des utilisateurs. ATM Mobilis, estime le P-DG de Mobilis, Lounis Belharrath, propose internet à ses clients via le service Blackberry en offrant à ses abonnés l'Internet mobile avec des débits qui restent corrects via la technologie «Adge'' atteignant un débit de 384 kbits. Pour la convergence Internet-mobile, Mobilis veut attendre les évolutions technologiques donnant des débits beaucoup plus importants, c'est-à-dire le développement haut débit. Pour l'EEPAD, la 3G est la solution pour la convergence Internet-mobile. Néanmoins, la convergence est le futur du multimédias, selon le SIMIT.