Nombreuses sont les gares routières dans la capitale à ne pas être dotées de toilettes publiques. Dénoncer l'absence de WC peut sembler incongru mais ne pas le faire, c'est également accepter le triste paysage que nous offre certains coins d'Alger reconvertis en urinoirs à ciel ouvert. Cette commodité, pourtant essentielle, n'a même pas été prévue lors de la réalisation de ces gares. Les nombreux usagers, qui transitent par ces endroits, n'ont de cesse de se plaindre de ce problème. Des usagers abordés dans une gare nous diront en substance : «L'absence de toilettes publiques dans les gares routières est un vrai problème. Imaginez la situation des personnes malades ou celle des enfants, l'attente d'un bus peut être très longue et l'on peut être confronté à des situations délicates. Le malheur, c'est qu'on ne trouve même pas des vespasiennes aux alentours de ces stations». Le comble dans cette malheureuse situation, c'est que les employés de ces gares eux-mêmes pâtissent de cette situation. Les agents de l'entreprise de gestion de la gare de Beziers, Taffourah qui souffrent également de ce manque nous diront, «Nous avons le même souci que n'importe quel voyageur, nous sommes obligés de nous déplacer jusqu'à la place Audin, ou Hassiba, pour pouvoir nous rendre aux toilettes». Le responsable de cette gare en réponse à notre question sur cette anomalie nous dira, «Les gérants de ces gares ont envoyé plusieurs écrits à leur société, qui est responsable de l'aménagement des gares routières de la capitale, mais jusqu'ici il n'y a pas encore eu de réponse». Nous nous sommes rapprochés de ladite société à savoir, l'UGCTU dont un des responsables s'exprimant sur le sujet nous dira, «l'entreprise a mis en place un programme à respecter, et de ce fait l'aménagement des gares routières d'Alger se fera par tranche selon le programme tracé. Le problème à la base réside dans le manque de budget, mais la situation se réglera prochainement et non uniquement à Tafourah mais dans toutes les gares routières de la capitale». En attendant que les stations de bus de la capitale bénéficient, enfin des commodités essentielles au bien-être des usagers du transport urbain, au moins on devrait leur permettre d'accéder au minimum les toilettes publiques n'étant pas un luxe, loin s'en faut et surtout éviter que les alentours de ces endroits, très fréquentés ne se transforment en des cloaques innommables où des odeurs immondes agressent odorat et yeux. Nombreuses sont les gares routières dans la capitale à ne pas être dotées de toilettes publiques. Dénoncer l'absence de WC peut sembler incongru mais ne pas le faire, c'est également accepter le triste paysage que nous offre certains coins d'Alger reconvertis en urinoirs à ciel ouvert. Cette commodité, pourtant essentielle, n'a même pas été prévue lors de la réalisation de ces gares. Les nombreux usagers, qui transitent par ces endroits, n'ont de cesse de se plaindre de ce problème. Des usagers abordés dans une gare nous diront en substance : «L'absence de toilettes publiques dans les gares routières est un vrai problème. Imaginez la situation des personnes malades ou celle des enfants, l'attente d'un bus peut être très longue et l'on peut être confronté à des situations délicates. Le malheur, c'est qu'on ne trouve même pas des vespasiennes aux alentours de ces stations». Le comble dans cette malheureuse situation, c'est que les employés de ces gares eux-mêmes pâtissent de cette situation. Les agents de l'entreprise de gestion de la gare de Beziers, Taffourah qui souffrent également de ce manque nous diront, «Nous avons le même souci que n'importe quel voyageur, nous sommes obligés de nous déplacer jusqu'à la place Audin, ou Hassiba, pour pouvoir nous rendre aux toilettes». Le responsable de cette gare en réponse à notre question sur cette anomalie nous dira, «Les gérants de ces gares ont envoyé plusieurs écrits à leur société, qui est responsable de l'aménagement des gares routières de la capitale, mais jusqu'ici il n'y a pas encore eu de réponse». Nous nous sommes rapprochés de ladite société à savoir, l'UGCTU dont un des responsables s'exprimant sur le sujet nous dira, «l'entreprise a mis en place un programme à respecter, et de ce fait l'aménagement des gares routières d'Alger se fera par tranche selon le programme tracé. Le problème à la base réside dans le manque de budget, mais la situation se réglera prochainement et non uniquement à Tafourah mais dans toutes les gares routières de la capitale». En attendant que les stations de bus de la capitale bénéficient, enfin des commodités essentielles au bien-être des usagers du transport urbain, au moins on devrait leur permettre d'accéder au minimum les toilettes publiques n'étant pas un luxe, loin s'en faut et surtout éviter que les alentours de ces endroits, très fréquentés ne se transforment en des cloaques innommables où des odeurs immondes agressent odorat et yeux.