Beaucoup d'universitaires après avoir savouré le plaisir de voir couronnées d'un diplôme leurs années d'études et de dur labeur, ont vite déchanté. En effet ce diplôme était censé être le sésame leur permettant d'intégrer le monde du travail, mais dans la vraie vie «loin est la coupe des lèvres». Ces jeunes fraîchement diplomés sont bien trop souvent réduits, après avoir épuisé tous les recours possibles et souffert mille morts, de se résoudre à aller renforcer le contingent des revendeurs informels, occupation pour laquelle nulle recommandation ni C-V ne sont requis. Ils mettent de côté leurs diplômes en rêvant qu'un jour leur pays se souviendra d'eux et fera appel à leurs connaissances. Le rêve est permis ! Beaucoup d'universitaires après avoir savouré le plaisir de voir couronnées d'un diplôme leurs années d'études et de dur labeur, ont vite déchanté. En effet ce diplôme était censé être le sésame leur permettant d'intégrer le monde du travail, mais dans la vraie vie «loin est la coupe des lèvres». Ces jeunes fraîchement diplomés sont bien trop souvent réduits, après avoir épuisé tous les recours possibles et souffert mille morts, de se résoudre à aller renforcer le contingent des revendeurs informels, occupation pour laquelle nulle recommandation ni C-V ne sont requis. Ils mettent de côté leurs diplômes en rêvant qu'un jour leur pays se souviendra d'eux et fera appel à leurs connaissances. Le rêve est permis !