L'ADEM a lancé en janvier 2009, et pour une durée de cinq mois, une série d'activités de loisirs au profit des enfants et jeunes myopathes dans la wilaya de Constantine. L'ADEM a lancé en janvier 2009, et pour une durée de cinq mois, une série d'activités de loisirs au profit des enfants et jeunes myopathes dans la wilaya de Constantine. Si parfois les associations sont incapables d'agir directement pour changer le cours des choses, pour le bien-être des personnes en difficulté ou des causes défendues, elles se replient, et heureusement d'ailleurs, dans le développement des moyens de sensibilisation et de prévention pour rendre la vie plus agréable. L'association défi et espoir contre les myopathies (ADEM) de Constantine fait partie de cette chaîne de solidarité qui s'est constituée autour des causes sociales justes et difficiles à mener. Depuis quelques années, elle tente aussi de joindre sa voix à celles des autres associations pour mener ensemble des actions en faveur des personnes en difficulté. Dans le cadre d'un projet financé par le Programme concerté pluri acteurs Algérie «Joussour», un programme initié par un réseau d'associations algérienne et française, l'ADEM a lancé, en janvier 2009 et pour une durée de cinq mois, une série d'activités de loisirs au profit des enfants et jeunes myopathes dans la wilaya de Constantine. Le projet prévoit, en effet, le montage de deux pièces théâtrales, une sortie à la station thermale Ouled Vales, à Sétif, une excursion vers les ruines romaines de Timgad, et des balades de découvertes dans les deux villes côtières Béjaia et Jijel. Un programme varié et riche sur le plan culturel notamment, en offrant à ces enfants l'occasion de s'ouvrir sur le patrimoine national et par ricochet sur l'histoire. Selon le président de l'ADEM, contacté à ce sujet, l'association tente, dans la mesure du possible, de garantir une meilleure prise en charge psychologique des malades myopathes, sachant que leur quotidien est assez difficile. «Ce genre de sortie apporte beaucoup à ces personnes», dit-il. Revenant un peu sur les activités de l'association, M. Ahmed Bouchelloukh raconte que depuis sa création en octobre 2001, l'association se lance des défis qu'elle se force à relever, malgré les difficultés rencontrés sur le chemin. «L'association a pu tisser un réseau depuis 2004 avec Handicap international et l'Association française contre les myopathies (AFM), une véritable collaboration, avec l'objectif de renforcer et d'appuyer des associations algériennes contre les myopathies», confie t-il. Ensemble, elles organisent également des journées scientifiques sur les maladies génétiques neuromusculaires et sur plusieurs pathologies comme la myopathie de duchenne, myopathie de becker, myopathie de ceinture et la myasthénie. Une équipe de psychologues intervient aussi à domicile auprès des familles des personnes atteintes de myopathie et ce, depuis 2006 à ce jour. Si parfois les associations sont incapables d'agir directement pour changer le cours des choses, pour le bien-être des personnes en difficulté ou des causes défendues, elles se replient, et heureusement d'ailleurs, dans le développement des moyens de sensibilisation et de prévention pour rendre la vie plus agréable. L'association défi et espoir contre les myopathies (ADEM) de Constantine fait partie de cette chaîne de solidarité qui s'est constituée autour des causes sociales justes et difficiles à mener. Depuis quelques années, elle tente aussi de joindre sa voix à celles des autres associations pour mener ensemble des actions en faveur des personnes en difficulté. Dans le cadre d'un projet financé par le Programme concerté pluri acteurs Algérie «Joussour», un programme initié par un réseau d'associations algérienne et française, l'ADEM a lancé, en janvier 2009 et pour une durée de cinq mois, une série d'activités de loisirs au profit des enfants et jeunes myopathes dans la wilaya de Constantine. Le projet prévoit, en effet, le montage de deux pièces théâtrales, une sortie à la station thermale Ouled Vales, à Sétif, une excursion vers les ruines romaines de Timgad, et des balades de découvertes dans les deux villes côtières Béjaia et Jijel. Un programme varié et riche sur le plan culturel notamment, en offrant à ces enfants l'occasion de s'ouvrir sur le patrimoine national et par ricochet sur l'histoire. Selon le président de l'ADEM, contacté à ce sujet, l'association tente, dans la mesure du possible, de garantir une meilleure prise en charge psychologique des malades myopathes, sachant que leur quotidien est assez difficile. «Ce genre de sortie apporte beaucoup à ces personnes», dit-il. Revenant un peu sur les activités de l'association, M. Ahmed Bouchelloukh raconte que depuis sa création en octobre 2001, l'association se lance des défis qu'elle se force à relever, malgré les difficultés rencontrés sur le chemin. «L'association a pu tisser un réseau depuis 2004 avec Handicap international et l'Association française contre les myopathies (AFM), une véritable collaboration, avec l'objectif de renforcer et d'appuyer des associations algériennes contre les myopathies», confie t-il. Ensemble, elles organisent également des journées scientifiques sur les maladies génétiques neuromusculaires et sur plusieurs pathologies comme la myopathie de duchenne, myopathie de becker, myopathie de ceinture et la myasthénie. Une équipe de psychologues intervient aussi à domicile auprès des familles des personnes atteintes de myopathie et ce, depuis 2006 à ce jour.