Les questions inhérentes à l'actualité pétrolière seront au centre des discussions, samedi prochain, entre le secrétaire général de l'OPEP, Abdellah El Badri, et le ministre algérien de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil. Les questions inhérentes à l'actualité pétrolière seront au centre des discussions, samedi prochain, entre le secrétaire général de l'OPEP, Abdellah El Badri, et le ministre algérien de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil. Les questions inhérentes à l'actualité pétrolière, notamment la situation et l'évolution du marché international et les fluctuations des cours du baril, ainsi que les problèmes préoccupant actuellement l'organisation des pays producteurs de pétrole (OPEP), seront au centre des discussions, samedi prochain, entre le secrétaire général de l'OPEP, Abdellah El Badri, et le ministre algérien de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil. N'arrivant pas à franchir la barre des 51 dollars, le prix du baril de pétrole a atteint 50,17 dollars à la fin de cette semaine à Londres, tandis qu'à New York, le baril de ‘'light sweet crude'' ne parvient pas à dépasser les 48,87 dollars. Néanmoins, ce prix est susceptible de connaître des baisses dans le cas où les stocks de pétrole brut américains et des gros pays consommateurs continuent à augmenter. Cependant, la stratégie prônée par l'OPEP en vue de réduire le niveau de production de plus de 2,4 millions de barils par jour pourrait se traduire par des conséquences favorables aux pays producteurs. Car le marché a connu des indices montrant la tendance au raffermissement des prix sachant que l'OPEP œuvre pour l'équilibre du marché, donc, pour le rétablissement de la loi de l'offre et de la demande afin d'ajuster et d'équilibrer les prix du baril. Rappelons que Khelil a indiqué, il y a quinze jours, que l'OPEP devrait décider de maintenir son quota de production lors de la réunion du 28 mai à Vienne, dans l'hypothèse du redressement de l'économie mondiale actuellement secouée par une crise financière sans précédent.A présent, l'OPEP a maintenu son objectif primordial de plafond de production à 24,84 millions de barils par jour. Cette restriction draconienne pourrait jouer en faveur d'une évolution des cours du baril à moyen terme. Les questions inhérentes à l'actualité pétrolière, notamment la situation et l'évolution du marché international et les fluctuations des cours du baril, ainsi que les problèmes préoccupant actuellement l'organisation des pays producteurs de pétrole (OPEP), seront au centre des discussions, samedi prochain, entre le secrétaire général de l'OPEP, Abdellah El Badri, et le ministre algérien de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil. N'arrivant pas à franchir la barre des 51 dollars, le prix du baril de pétrole a atteint 50,17 dollars à la fin de cette semaine à Londres, tandis qu'à New York, le baril de ‘'light sweet crude'' ne parvient pas à dépasser les 48,87 dollars. Néanmoins, ce prix est susceptible de connaître des baisses dans le cas où les stocks de pétrole brut américains et des gros pays consommateurs continuent à augmenter. Cependant, la stratégie prônée par l'OPEP en vue de réduire le niveau de production de plus de 2,4 millions de barils par jour pourrait se traduire par des conséquences favorables aux pays producteurs. Car le marché a connu des indices montrant la tendance au raffermissement des prix sachant que l'OPEP œuvre pour l'équilibre du marché, donc, pour le rétablissement de la loi de l'offre et de la demande afin d'ajuster et d'équilibrer les prix du baril. Rappelons que Khelil a indiqué, il y a quinze jours, que l'OPEP devrait décider de maintenir son quota de production lors de la réunion du 28 mai à Vienne, dans l'hypothèse du redressement de l'économie mondiale actuellement secouée par une crise financière sans précédent.A présent, l'OPEP a maintenu son objectif primordial de plafond de production à 24,84 millions de barils par jour. Cette restriction draconienne pourrait jouer en faveur d'une évolution des cours du baril à moyen terme.