Elevée au rang de chef-lieu de wilaya en 1975, Guelma, a connu un boom économique qui a contribué à son décollage et à son développement, puisque c'est désormais une métropole abritant plus de 160.000 âmes. L'université 8-Mai- 45, comportant 4 facultés et totalisant plus de 15.000 étudiants, dont quelques centaines originaires des pays du Sud sahara, est en pleine expansion. Des milliers de logements, toutes formules confondues, des lotissements viabilisés, des directions et des équipements publics ont poussé comme des champignons. Le parc roulant a été pratiquement décuplé grâce à l'amélioration du niveau de vie des citoyens due aux crédits bancaires destinés à l'achat de véhicules, à l'installation de nombreux concessionnaires, à la mise en place du transport urbain et universitaire, ainsi qu'à l'accroissement des taxis et transporteurs du secteur privé. Malheureusement, les élus locaux et les urbanistes n'ont pas accordé un intérêt particulier à ce volet crucial au grand dam des automobilistes qui évoluent dans un environnement qui ne répond plus aux exigences de l'heure. En effet, le tissu urbain n'a pas bénéficié de structures d'accompagnement à savoir larges avenues, tronçons à double voies, feux tricolores de signalisation, réactualisation du plan de circulation, devenu obsolète, et penser aux aires de stationnement et parkings. Pour des raisons sécuritaires remontant aux années 90 durant lesquelles les hordes terroristes imposaient leur diktat, les pouvoirs publics avaient pris des mesures draconiennes visant à interdire le stationnement aux abords des édifices publics, écoles, hôpitaux, banques , etc. Cette mesure est toujours en vigueur comme l'attestent les bordures de trottoirs revêtues de couches de peinture rouge et blanche. Les automobilistes qui veulent effectuer un arrêt momentané en ville pour faire des achats ou régler un problème d'ordre personnel, s'échinent, au prix d'un parcours du combattant, à trouver une miraculeuse place disponible. La circulation des véhicules est devenue infernale à Guelma, surtout durant les heures de pointe. Un autre phénomène a pris de l'ampleur ces derniers temps: c'est la présence de jeunes gens armés de gourdins qui se sont imposés comme gardiens dans différents sites urbains, exigeant quelques dizaines de dinars en guise de droits de stationnement. La côte d'alerte est atteinte. Les autorités locales gagneraient à inscrire la réalisation de parkings, même souterrains, pour répondre aux légitimes attentes citoyennes en général et des automobilistes en particulier. Elevée au rang de chef-lieu de wilaya en 1975, Guelma, a connu un boom économique qui a contribué à son décollage et à son développement, puisque c'est désormais une métropole abritant plus de 160.000 âmes. L'université 8-Mai- 45, comportant 4 facultés et totalisant plus de 15.000 étudiants, dont quelques centaines originaires des pays du Sud sahara, est en pleine expansion. Des milliers de logements, toutes formules confondues, des lotissements viabilisés, des directions et des équipements publics ont poussé comme des champignons. Le parc roulant a été pratiquement décuplé grâce à l'amélioration du niveau de vie des citoyens due aux crédits bancaires destinés à l'achat de véhicules, à l'installation de nombreux concessionnaires, à la mise en place du transport urbain et universitaire, ainsi qu'à l'accroissement des taxis et transporteurs du secteur privé. Malheureusement, les élus locaux et les urbanistes n'ont pas accordé un intérêt particulier à ce volet crucial au grand dam des automobilistes qui évoluent dans un environnement qui ne répond plus aux exigences de l'heure. En effet, le tissu urbain n'a pas bénéficié de structures d'accompagnement à savoir larges avenues, tronçons à double voies, feux tricolores de signalisation, réactualisation du plan de circulation, devenu obsolète, et penser aux aires de stationnement et parkings. Pour des raisons sécuritaires remontant aux années 90 durant lesquelles les hordes terroristes imposaient leur diktat, les pouvoirs publics avaient pris des mesures draconiennes visant à interdire le stationnement aux abords des édifices publics, écoles, hôpitaux, banques , etc. Cette mesure est toujours en vigueur comme l'attestent les bordures de trottoirs revêtues de couches de peinture rouge et blanche. Les automobilistes qui veulent effectuer un arrêt momentané en ville pour faire des achats ou régler un problème d'ordre personnel, s'échinent, au prix d'un parcours du combattant, à trouver une miraculeuse place disponible. La circulation des véhicules est devenue infernale à Guelma, surtout durant les heures de pointe. Un autre phénomène a pris de l'ampleur ces derniers temps: c'est la présence de jeunes gens armés de gourdins qui se sont imposés comme gardiens dans différents sites urbains, exigeant quelques dizaines de dinars en guise de droits de stationnement. La côte d'alerte est atteinte. Les autorités locales gagneraient à inscrire la réalisation de parkings, même souterrains, pour répondre aux légitimes attentes citoyennes en général et des automobilistes en particulier.